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ackashi

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    ackashi

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  1. Bonjour, Je souhaite participer dans le camp des défenseurs.
  2. Bonjour à tous, Je suis amené à partir en mission sur le terrain pour une période allant jusqu'au 22 août. Cela va malheureusement impliquer que mon temps libre sera assez restreint (sûrement autant que ma connexion internet); aussi je préfère ne pas m'engager sur cette période. Je vais cependant tâcher de rester joignable aussi bien sur Discord que via la messagerie privée. Si jamais je suis injoignable, pour les questions relatives à Landy, contactez @Iona Spraggins qui pourra me transmettre rapidement. En espérant vous revoir vite, je vous salue, Ackashi
  3. Très bonne suggestion, aussi bien en dalles verticales, que quart de cubes anisi que les dérivés stériles. Un bon moyen potentiel d'ajouter du relief. +1
  4. Eh bien il ne faut pas lésiner avec la loi. La loi est là pour protéger le peuple c'est bien connu, donc rien ne peut s'opposer au rétablissement de ces peines. Pour moi qui ne les ai jamais connu, je pense que c'est un oui.
  5. Candidature Citoyenne de ackashi I. Les anciennes candidatures : Présentation : https://www.minefield.fr/forum/topic/61921-pr%C3%A9sentation/?tab=comments#comment-501385 Villageoisehttps://www.minefield.fr/forum/topic/61929-accept%C3%A9-candidature-villageoise-de-ackashi/?tab=comments#comment-501446 Névaine: https://www.minefield.fr/forum/topic/62115-candidature-de-ackashi-20/?tab=comments#comment-525706 II. La vie IRL : IRL je suis un étudiant en agro-développement international (en très gros : comment l’agronomie peut être un vecteur du développement) avec une préférence pour la partie agronomique et élevage de la formation. En dehors des cours, j’apprécie jouer de la guitare, chanter, suivre les ruches familiales et quand l’occasion se présente, aller naviguer (ne me lancez pas sur les deux derniers sujets je peux vite en parler des heures !). Quand toutes ces activités me laissent du temps, je suis bien entendu sur Minefield. III. En jeu jusqu’ici : Mon aventure Minefield a eu lieu en 2 parties : Une période de 1 an (ne pas se fier à ma présentation je l’ai faite 10 mois après mon arrivée parce que je n’avais pas compris qu’il fallait réaliser un topic), durant laquelle j’ai pu découvrir le serveur, réaliser des quêtes aux quatre coins de la map (n’a-t-on pas idée de mettre des villages PNJ aussi loin de la Capitale), et rendre de divers petits services aux membres de la communauté. Sur la fin de cette période, je me suis rapproché de la communauté névaine, avec laquelle j’ai participé à la reconstruction de la citadelle avant que l’IRL ne me rattrape et ne m’empêche de revenir pendant un long moment. Puis une période plus courte et bien plus récente, due à la récupération d’une connexion internet et d’un PC permettant de renouer avec Nevah et Minefield. J’ai, sur cette période, pu participer à la construction de ma maison près des îles Holmes qui a finalement été détruite , afin de reprendre la rénovation de la zone de Landy. De l’ambassade névaine de Nouvelle Azur Et à la rénovation du Pont et de la douane de Piedplat (encore en cours IV. Pourquoi j’aimerai changer de grade ? : Mes motivations sont somme toutes assez classiques. Bien évidemment l’accès à l’intégralité des métiers disponibles même si j’ai déjà jeté mon dévolu sur le métier de menuisier. En effet, bien que cela implique de devoir laisser derrière moi l’utilisation de la hache sertie, et l’autonomie sur les crafts de bûches, le métier de menuisier m’a énormément plu dès mon arrivée sur le serveur (quantité de crafts, réalisation de commandes pour différents projets pour les principaux) et, bien que plusieurs joueurs exercent déjà cette profession en tant que commerçant, les meubles étant un outil de décoration majeur, le risque d’une surabondance de menuisier est assez faible. Le droit à une maison en capitale et aux montures citoyennes m’intéresse également beaucoup tant dans l’optique de bâtir ma future échoppe dans celle-ci, que de pouvoir avaler efficacement les distances séparant les différents lieux de vente de meuble (toujours dans l’optique de devenir un jour commerçant.). Par ailleurs, après être devenu citoyen névain, il me paraissait dans l’ordre des choses de devenir citoyen de l’empire et ainsi arboré le magnifique bleu. V. Roleplay : VI. Remerciements : · Un immense « Merci » à @miti16, pour son implication In-Game et sur Discord, qui, en véritable encyclopédie vivante de Minefield, me permet à chaque discussion de découvrir un peu plus le serveur. · @Lettow Fauster Abitbol von Alessis-Bümsenzorus, Très Honorable Baron d’Alessis, pour m’avoir fait Très Honorable Pair d’Alessis, accordé sa confiance en me confiant la rénovation de Landy · La communauté névaine, qui jadis avait commencé à m’intégrer, mais surtout m’a donné l’envie de revenir même après mon absence prolongée.
  6. Le noob du PVP, le punchingball des PVE s'inscrit lui aussi pour cette compétition et si possible dans l'équipe des Langnäse. Équipe adverse prenez garde... il est mauvais.
  7. Bienvenue à toi. Au plaisir de te croiser en jeu!
  8. Très bonne idée pour les joueurs qui, fainéants comme ils sont, n'auront même plus à sortir du navire (et aussi cool pour les autres trucs pour les vagabonds et tout et tout!)
  9. Bienvenue à toi, Si jamais tu as besoin d'aide ou d'informations n'hésites pas! Au plaisir de te croiser en jeu, ackashi
  10. Je passe pour plussoyer la candidature villageoise de Ajuga69. Une joueuse très sympathique qui s'est mis en tête de réaliser un grand nombre de quête pour découvrir le serveur. J'ai eu la possibilité de réaliser quelques une d'entre elles en sa compagnie qui était des plus agréables. Je ne doute pas que le moment venu elle rejoindra un projet pour s'intégrer bien plus dans la communauté. +1
  11. Et voilà! petite/grosse mise à jour de ma candidature névaine. En espérant vous revoir toutes et tous in-game pour la cérémonie de la Tundrah si ma candidature est retenue. Ackashi
  12. ackashi

    Journal d'ackashi

    Chapitre 3 : L'absent. Bon cela fait longtemps. Et pour être franc, je n’ai pas eu de bol. Cela fait quoi ? Une vingtaine de mois que je ne suis pas revenu ? Bon vous devez certainement vous demandez vous qui lisez mes aventures ce qui a pu se passer. Je crois que le lendemain ou le surlendemain de ma demande, j'ai été appelé sous les drapeaux. Mais pas ceux de Nevah, malheureusement. Non j'ai été appelé sous les drapeaux de la Grande Académie Militaire de l'Empire de l'Est. Je m'interroge d'ailleurs sur le moyen qu'ils ont utilisés pour me retrouver après toute ces années ni comment ils avaient survécu à la destruction de leur monde. Mais je m'égare et ne suis certainement pas très clair, donc commençons par expliquer ce qu'est la Grande Académie Militaire de l'Empire de l'Est. Comme vous le savez, j'ai dans ma jeunesse participé à de nombreuses expéditions de colonisations et l'une d'elle m'avait emmené dans l'empire industriel de l'Est ; dont l'exploitation des ressources du sous-sol et des forêts avait provoqué l'essor. Durant cette expédition, j'avais embarqué dans une des caravanes qui reliait en quelques mois, la place centrale de notre monde à la capitale de l'Empire de l'Est. Arrivé là-bas, j'avais à l'époque fait quelques « bêtises » qui m'avaient conduites à être invité (de façon plus ou moins forcée) devant la directrice de ce respectable établissement. Une femme impressionnante. Non seulement par sa taille mais par sa carrure, des épaules bien plus larges que la plupart des hommes que j'avais côtoyé jusqu'à là et des mains si grandes qu'elles auraient pu faire le tour d'une chopine sans problème. Elle m'avait alors annoncé que j'avais par mes agissements, contracté une dette envers l'académie. Et pour la rembourser, tôt ou tard j'aurai à faire mes classes et apporter ma pierre à l'édifice de l'Académie. En effet l'Académie Militaire n'est pas réservée à une élite de la population mais est même obligatoire pour tous et toutes durant un certain nombre d'années qui, elles, dépendent du rang social. Elle constitue également un lieu de répression des peines, à l'image d'un établissement de réinsertion. N'étant qu'un adolescent de caravane, et soumis à un contrat, ma peine de service n'eut pas lieux sur le coup et après m'avoir fait signer un engagement indiquant que je finirai par purger ma peine, je fus gentiment reconduis à la sortie de l'Académie. À la suite de cette remise en liberté, je pensais que cet entretien servait plus de mise en garde et que cette peine n'aurait jamais lieu, car je n'entendis plus parler de l'Académie pendant des années jusqu'à mes 18ans. Mais le jour de mes 18 ans, un homme en uniforme aux couleurs de l'Académie vint me trouver sur Novum où je m'étais installé, pour m'annoncer que ma peine commençait aujourd'hui. Je n'étais à l'époque qu'un simple paysan qui oscillait entre des petits boulots pour des commerçants afin de gagner un peu d'argent et me faire une petite réputation dans certaines villes. Aussi l'hypothèse de commencer la purge de ma peine ne me posait outre mesure pas de problème, bien que cela ne m'enchantait guère. Ma peine devait durer deux ans avec pendant les premiers mois une formation hors de l'Académie avec un précepteur qui devait m'inculquer les prérequis pour pouvoir servir sous les drapeaux de l'Académie qui avait alors acquis un statut d'institution dirigeante de l'empire qui s'était formé autour d'elle. Les premiers mois filèrent très vite car je passais mes journées entre l'apprentissage des mathématiques complexes, des réactions alchimiques ainsi que de la biologie théorique et autres théories alambiquées, tout en suivant un entraînement physique intensif et pratique (j'appris le maniement d'autres outils que la hache et la pioche, en les utilisant aussi bien pour leur fonction première que dans l'optique du combat). Néanmoins la formation me laissait encore le temps de me déplacer sur Stendel et New-Stendel, et de passer villageois (ce qui fit la fierté de mon précepteur qui vit cela comme une vraie réussite de son enseignement) et de travailler efficacement à la Guilde des Vagabonds Chasseurs dans le but de devenir névain. Mais le temps passe vite et les premiers mois de ma formation sur Novum s'achevèrent juste après le dépôt de ma candidature pour devenir névain, et je dû partir pour l'Académie. Le voyage fut court pour ne pas dire instantané, car les précepteurs se déplacent par le biais de portails portatifs à usage unique qui peuvent transporter jusqu'à 5 personnes. Une fois arrivé à l'Académie, on me remit immédiatement mon uniforme et on m'indiqua la section de l'académie qui était dédiée à ceux de ma formation (car ma peine consistait à rejoindre d'autres condamnés mais également des apprenants volontaires pour une formation afin de, je cite, « me sortir de ma délinquance et de mon ignorance »). Notre formation se déroulait dans un vieux bâtiment loin des institutions centrales, dans une zone où nous habitions tous autour dans de petits logements privatifs. La zone bordait les grandes serres expérimentales de l'Académie mais était assez proche des espaces dédiés à l'entraînement militaire et surtout, placée en périphérie de l'Académie, elle était une porte ouverte vers la campagne environnante qui s'esquissait rapidement au profit des montagnes et d'une vaste forêt parsemée çà et là de petits avants postes. Il était encore tôt dans la soirée donc mon percepteur me fit visiter les lieux et m'expliqua le fonctionnement des locaux et des différentes parties proches de l'Académie avant de me raccompagner chez moi. J'allai donc intégrer à partir du lendemain une des plus vieilles formations de l'Académie : le Régiment du Génie de Biologie Agronomique dont les armoiries sont frappées soit de la vache, symbole de la nécessité de nourrir les Hommes, soit du cerf emblème de notre lien à la Terre, du devoir de la protéger et de notre bravoure au combat. Très excité, je dormi très peu cette nuit-là. Le lendemain, je me levai très tôt, un peu stressé d'arriver en retard à mon premier jour. En réalité j'arrivé dans mon bâtiment près d'une heure en avance. Aussi je pu identifier certains de mes aînés des promotions précédentes, qui je l'avoue n'avait pas l'air méchant mais restaient à première vue intimidants. Une fois ceux-ci ayant rejoint leurs cours, je vis arriver, petit à petit les membres de ma promotion. Certains se connaissaient déjà, d'autres néanmoins étaient d'horizons différents, tant géographiquement que socialement. Une fois installés dans le grand amphithéâtre, le chef du régiment nous fit son traditionnel discours d'accueil, et son intervention fit place à un interminable enchainement de formalités administratives. Je me liai rapidement d'amitié avec deux camarades, tous deux particuliers dans leur genre, un grand sec, et fin et une fille rousse très sympathique de par son caractère bien trempé et très proche de ceux des tributs barbares. Ce fut avec eux le début de longues soirées de franche rigolades et de beuveries assumées. Au niveau de la formation, cette fin d'année fila comme le vent, l'été approchait à grand pas alors que s'enchainaient les cours, aussi bien d'anatomie, que de sciences pures, mais à ce stade très peu d'agronomie. Je pourrais vous faire le récit détailler de mes apprentissages, des nombreuses phases pratiques semaines après semaines, car bien que 2 années se soient écoulées au moment où j’écris ces mots, leur souvenir est encore très vif en moi. Et ne serait que peu pertinent. En de rares occasions, quand l’absence d’examens nous laissait un peu de temps pour souffler, j’essayais de prendre le temps de venir saluer les névains, mais j’avais du mal à passer plus de quelques jours. De plus, j’avais réussi à me faire élire par mes paires et le corps des officiers au rang de responsable évènementiel de ma promotion et celle à venir l’année suivante. Je m’investis donc au maximum dans cette tâche afin de maintenir un bon esprit de cohésion au sein du régiment. Puis durant l’été, nous fûmes obligés, toute la promotion, de nous occuper des diverses fermes de l’école, afin de nous initier aux tâches agricoles. Ce fut pour moi une période très sympathique, et ayant été assigné dans une partie reculée de la ferme, près des coteaux, je me retrouvais séparé de mes camarades mais bien encadré pour les travaux viticoles et d’élevage. Cet été fila comme le vent et ne me laissa que peu de temps pour préparer l’arrivée du nouveau contingent, mais néanmoins leur accueil fut plutôt bon. La deuxième année de formation s’annonçait plus ardue que la première et m’obligeait à travailler plus durement pour maintenir ma position. De plus, s’accompagnait de nos classes, les travaux en groupe qui me demandaient une attention toute particulière, car mon détachement était chargé de préparer la réception en l’honneur des 250 ans de l’ouverture de notre régiment, et de favoriser le recrutement pour ceux qui souhaitaient nous rejoindre. Et les Dieux m’en soient témoins, travailler sur ces thématiques avec un lieutenant caractériel et des camarades non intéressés voir fainéants est une tâche ardue. L’insouciance de la première année avait disparue pour laisser place à une certaines froideurs et compétition entre ceux qui souhaitaient pouvoir intégrer les classes supérieures permettant d’accéder à therme aux postes d’officiers. Et, chose surprenante, j’avais désormais envie de continuer dans cette voie, mais l’envi ne fait pas tout et j’étais donc mal classé et bien mal barré pour mon dossier. Il fallut également partir seul sur le terrain une nouvelle fois sur le terrain pour faire mes preuves afin d’apporter la confirmation que j’avais atteint le niveau requis pour obtenir mon certificat. J’eu la chance de partir vers les terres du Sud du pays, dans un lieu de savoir et de recherche… sur l’abeille. J’étais enthousiaste mais les 4 mois sur le terrain furent pour moi un enfer. Difficulté physique dû au travail sur ruchers et en parallèles aux formations terrain, en plein soleil et surtout la chaleur. Dans ces contrées, ce n’est pas la canicule, c’est normal. Ce n’est pas le désert, mais les 40°C, vous les sentez Le chant des insectes, leurs piqures. Cela peut vous user si vous n’êtes pas préparés. Heureusement, entre les phases de terrains, il y avait la possibilité de travailler dans les grandes bibliothèques, afin de chercher des connaissances plus importantes, et ces pièces étaient fraiches. L’autre difficulté qui n’arrangeait rien à la fatigue physique, était ma supérieure, sous les ordres de laquelle j’avais été placé. Par respect pour son travail et sa personne (et parce que ces observations seraient purement subjectives) je ne m’épancherai pas sur ce sujet mais servir sous ses ordres fut pour moi très difficile. Cependant c’est là que je fis la connaissance d’un semi-nain des plus étranges, et d’une autre humaine qui, quoi que plus réservée que le semi-nain, se révéla être une comparse des plus sympathiques. C’est avec eux que je pu tenir les longs mois de travaux, au cours de longues beuveries et autres activités que nous laissaient les permissions. C’est au cours de cette période que je fus reçu dans une école d’officiers. Ayant échoué à toutes mes demandes d’intégration aux régiments d’élite, je fus néanmoins recruté par un régiment moins connu car des plus spécialisés : le Commando Colonial. Il me fallut donc quitter avec regrets, les membres de la Grande Académie Militaire de l'Empire de l'Est, pour partir vers la caserne du Commando Colonial, pour une durée de 3 ans. Celle-ci était située dans la ville fortifiée de Enji, qui rassemblait plusieurs casernes, dont celle d’un des régiments d’élites que je visais. L’année fut difficile, tant par la vie sous une météo des plus capricieuse, au temps toujours doux et souvent pluvieux, sans réel hivers, autant dire, un éternel automne. Couplez cela avec des habitant issus d’une petite bourgeoisie, au caractère peu sympathique, le moral peut être attaqué. Mais je crois que le pire de tout fut le fait de ne pas être logé en caserne, par manque de place, je fus contraint d’être logé chez une dame d’un âge fort avancé, vivant avec moult canidés, dont la plupart nouvellement nés, et les autres agressifs. Cette dame été de plus atteinte de nombres de pathologies mentales, rendant la vie dans son logement infernale. Un incessant jeu de cache-cache, afin d’éviter de la croiser elle ou ses chiens, tenter tant bien que mal de faire abstraction de ses crises solitaires contre le monde lui-même, et des aboiements nocturnes de ses chiens presque aussi fous. Aussi, j’essayais de passer le plus de temps possible à la caserne, mais les membres étaient si différents de ceux que j’avais connu auparavant, que j’avais souvent l’impression de ne pas être à ma place. Ils sont tout aussi disparates que nous l’étions au Régiment, mais auparavant, nous étions une famille, plus soudés, ou peut-être plus regroupé au sein de notre académie. Sans doute est-ce que je n’ai pas assez fais pour m’intégrer au mieux ou que je ne voulais pas leur ressembler, et rester fièrement fidèle à mes idéaux. Cependant, tous et tous eurent la courtoisie de ne manifester aucune antipathie à mon égard et de rester des plus polies, ce dont je les remercie. Quoi qu’il en fût, je fis cependant la connaissance de membre du Commando ou du Régiment d’élite, qui par certains aspects me ressemblaient, ce qui nous permit de nous lier d’amitié. Par ailleurs, le classement ne servant plus à définir nos futures affectations, il me suffisait de rester à un niveau correct, mais sans devoir m’esquinter sur les parcours, ou me ruiner la santé à préparer les épreuves théoriques. La plus grande contrainte étant celle de trouver une affectation en unité pour les 4 mois de terrain obligatoires en fin d’année. L’année fila donc à grande vitesse, je ne sortais de chez moi que pour aller à la caserne, et en de rares occasion, aller retrouver des amis dans les tavernes de la vieille ville. Ces soirées-là étaient magique, mais elles me rappelaient aussi un temps où, nos soirées se faisaient chez moi ou dans le territoire de New-Stendel, et me laissaient souvent un amer goût de nostalgie. Mais je validais mes classes, certaines formations étaient plus captivantes que d’autres, et certaines relevaient d’un ennui mortel. Parmi les plus intéressant, un projet en groupe de combat me permis d’identifier certaines de mes forces et certaines de mes faiblesses (en plus d’identifier certains éléments du groupe qui brillèrent par leur incapacité et leur absence). Mais ce projet fut dans l’ensemble une réussite, et j’en garde encore aujourd’hui, de très bons souvenirs. Cet été avait néanmoins été long, et éprouvant. Bien que l’objectif de ce projet fût de se retrouver en autonomie, de se confronter aussi bien à sois même qu’à d’autres dans le cadre de la coopération inter-armée, il est parfois difficile de supporter ses camarades d’armes. Ce sentiment pouvait être régulièrement renforcé par l’impossibilité de prévoir leurs réactions et surtout l’incapacité de ceux-ci à accepter l’autorité logique de personnes aussi gradées. Mais après cet été long et chaud, je pu revenir dans ma caserne pour poursuivre ma formation. J’étais en chambrée avec 2 amis, dont une issue des commandos d’élites locaux. La vie dans cette chambrée était merveilleuse, nous passions nos permissions ensemble, et bon nombre de nos soirées nous virent finir en fort état d’ébriété, ce qui nous valut plus d’une fois de nous retrouver au trou. Les premiers mois fièrent à vive allure, avec un projet absolument affreux, qui se soldat par un échec cuisant. Nous continuions de nous séparer d’un entrainement pratique, nous concentrant de plus en plus sur la direction et la théorie (nous devenions de gradés en somme). Tous au long de l’année, avec ce même groupe, nous avions à préparer notre suivante mission dont l’objectif était d’apporter un soutien logistique à une institution de défense du littoral. Cependant, nous avions du mal à trouver un capitaine pour nous conduire à travers l’océan de l’Ouest vers ces anciennes colonies, la logistique et les méthodologies à appliquées étaient sans-cesse remises en cause par nos supérieurs, et nous avions le sentiment que rien n’avançait. Puis vint la grande épidémie. Une maladie inconnue, qui touchait de plus en plus de monde et qui fit cesser l’activité de bon nombre de commerçants, et interrompant notre formation. En effet, les hauts gradés du Commando Colonial jugèrent qu’il nous fallait avant tout rester opérationnels, et qu’il fallait nous écarter des centres épidémiologiques. Cependant, au lieu de rester à la caserne, je préférais retourner dans un endroit qui ne serait pas touché par cette terrible maladie. Aussi, alors que les mages en charges des portails se voyaient donner l’ordre de les fermer pour éviter la propagation, je pu, grâce à mon grade, passer par l’un d’eux et me rendre sur New-Stendel. Eh oui, après près de 2ans après mon appel sous les drapeaux. Après près de 2 ans de formations m’interdisant de pouvoir revenir. 2 ans loin de chez moi, le destin me permettait enfin de reposer le pied chez moi jusqu’à ce que la situation soit calmée. Pendant 2 ans j’ai été absent ; mais ce jour-là, je n’avais qu’une chose en tête : j’étais de retour !
  13. ackashi

    problème certificat mumbe

    Je viens de tester et ça marche. Merci beaucoup pour votre aide. Cordialement ackashi
  14. Bonjour, bonsoir, Après une longue absence et un changement de pc, j'ai voulu retourner sur Minefield. Pas de souci de connexion au serveur mais à Mumble. J'ai revérifier mon mdp, donc je pense que le problème se situe au niveau de la demande de certificat. Aussi je requière l'aide d'une personne compétente pour m'indiquer où j'ai pu faire une erreur ou bien me porter assistance. Merci d'avance pour votre aide. ackashi
  15. Bonjour à toutes et à tous, Voici ma version réactualisée de ma candidature névaine, la première ayant été sans suite, à cause de mon départ précipité. Je me nomme Blaise, j’ai maintenant 22 ans, je suis une formation d’ingénieur en agro-développement international. Ces études et leurs contextes m’ont laissé peut de temps pour pratiquer une activité sportive ou minefieldienne. J’ai depuis ma première candidature, progressé en guitare, et j’affectionne toujours autant le RP et les RPG. Le RP je le pratique pour relater ma vie sous forme minefield, à l’époque de ma première candidature nous étions au chapitre 2 : Depuis, bien des choses se sont passées et si vous êtes désireux et désireuses d’en savoir plus, voici le RP du chapitre 3. Pour ce qui veulent un résumé : j’ai été en étude, avec un besoin de classement pour rentrer en école d’ingénieur donc peu de temps pour jouer, et je n’ai pas eu le materiel adéquoit (ordinateur ou internet) pour faire tourner minefield. Pour la partie RP qui me pousse à reposter ma candidature névaine voici le chapitre 4 : Retour au Pays Bonsoir à toutes et à tous, Il y a plus de 3 ans j’arrivais sur les terres de Nevah, la Cité Fortifiée. A cette époque, j’étais un jeune villageois, rang tout juste obtenu des mais du Gouverneur Antenio. Je cherchais encore mes marques sur ce monde, cherchant un toit autre que celui que je possédais illégalement sur Novum, cherchant des personnes avec qui je pourrais lier des liens. Ces marques furent les frontières de Nevah, ce toit fut celui de la guilde des Vagabonds Chasseurs, et ces personnes furent les névains que j’ai pu évoquer à plusieurs reprises dans le récit de mes aventures. Pour Nevah, je n’ai pas abattu une Montagne, je n’ai pas dévié un fleuve de son cours, je n’ai pas non plus planifié sa défense ; mais pour Nevah et ses habitants, j’ai participé à la démolition de l’ancienne citadelle, construit certains des piliers de l’actuel château, construit certains des escaliers permettant d’accéder aux remparts surplombant la mer, rapporté des ressources à la guilde des Vagabonds Chasseurs, construit une ambassade et je participe à la rénovation de ses infrastructures du mieux que je peux. Ces exploits n’ont, je le concède, rien d’exceptionnels mais j’ai été heureux de les accomplir car ils me donnaient le sentiment d’être utile à la ville et j’en suis fier. J’ai été contraint de m’absenter durant de longues années, loin des terres de New-Stendel et je n’ai pas donné signe de vie. Face à ces faits je vous prie de m’accorder, toutes et tous, votre pardon. Aujourd’hui, j’ai repris la plume pour vous rédiger une seconde fois ma candidature. Celle-ci est celle d’une personne qui a, je le crois, mûri, qui ne peut promettre d’être présent à chaque instant pour sa patrie, mais qui a l’envie de l’être. Comme pour nombre d’entre vous, il se peut que la volonté de Phôs, Soïlah et Déméteros, me pousse un jour à quitter ces terres pour un temps. Mais je souhaite être jusqu’à ce jour, et à mes retours, l’un des votre : un névain. Recevez donc mes plus sincères et respectueuses salutations, Ackashi
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