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Tout ce qui a été posté par Super_Pingouin
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[Accepté][Candidature de Citoyen] - Vincent169
Super_Pingouin a répondu à un sujet de rodrigo16 dans Citoyens
He did it, Picsou did it. +1 -
[Suggestion] Une pierre magique pour le nether
Super_Pingouin a répondu à un sujet de Socolin dans Suggestions
Bof, pas très utile, on a déjà les pistons + timer. De plus, il faudrait aller reposer un bloc après chaque passage -
Une bonne chose de faite devenir-chevalier-f894/intronisation-rang-chevalier-super-pingouin-t47692.html
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[Accepté]Intronisation au Rang de Chevalier - Super_Pingouin
Super_Pingouin a posté un sujet dans Chevaliers
Bonjour à tous, Comme vous avez du le deviner en me voyant poster dans cette section, je viens aujourd’hui pour demander mon intronisation au rang prestigieux qu’est le rang Chevalier. Je ne sais pas si j’ai l’étoffe pour, peut être est-ce prétentieux de ma part de le penser, mais je l’espère. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis arrivé sur le serveur il y a plus d’un an. Je me suis installé à la Baie Dryade, ville que je n’ai plus quitté. J’ai participé à de nombreux projets de la Team végétale (le Lotus, le Néreide, le Minirion et les Folias) ainsi qu’à d’autres de manière plus succincte comme à la création de Regly, par exemple. Je suis également à l'origine de la plus vielle corporation marchande du serveur, avec Modroncube, ce qui a permit de maintenir l'économie Maçonne a un niveau correct. Cependant, les projets auxquels je suis le plus attaché (en dehors de la Baie) restent et resteront “mes” projets à moi, c’est à dire la trilogie des donjons, achevée aux deux tiers, avec le Temple de Taelhyn et le Temple d’Athynel. J’ai gravit tout les échelons du serveur en passant paysan, voyageur, commerçant et enfin citoyen. Ma dernière candidature remonte à l’été dernier. C’est en partie ça qui m’a motivé à faire cette demande de grade Chevalier, la nostalgie des candidatures. Il y a également une volonté d’atteindre le plus haut grade atteignable (en dehors de noble ou modo), comme c’était le cas avant la création de ce grade et que j’étais citoyen et marchand. Ce grade serai également une reconnaissance de la part des Gouverneurs de mon implication pour le serveur. Ensuite, avouons le, il y a une part de vanité dans cette demande de grade. Chevalier, ça claque comme rang, et se dire qu’on fait parti de l’élite du serveur est toujours agréable pour l’égo. Enfin, je vous le concède aussi, les avantages matériels offert par ce grade (le deuxième home par exemple) ne sont pas pour me déplaire, même s’ils sont loin derrière dans la liste des choses me poussant à demander ce grade. Nous en arrivons donc au coeur de cette demande de grade, le Role Play. Ce RP est avant tout mon histoire sur Minefield, mes réalisations évoquées sous un angle RP. Je tiens également a précisé que j’ai arrangé certains éléments du RP du serveur pour le faire coincider avec le mien. J’espère que vous n’en tiendrez pas rigueur. J’ai commencé ce RP quand j’ai rédigé ma candidature Paysan et je l’ai poursuivi à chaque demande de grade. Ce RP est un tout, il ne peut être lu du milieu sans être incompréhensible, c’est pour celà que je vous le remet en intégralité. De plus, une grande partie des écrits antérieurs à ma candidature citoyen ont complètement été remaniés par soucis de cohérence et de constructions grammaticale bancales lorsque j’ai rédigé la nouvelle parti inhérente à cette demande de grade. Pour note : - Les 5 et 17 juin 1256 est une reprise de mon RP pour le passage Paysan. - Les écrits datés du 27 juin 1256 au 22 septembre 1260 sont des reprises de mon RP pour le passage Voyageur. - Ceux datant du 6 Juin 1261 au 4 Avril 1262 proviennent de ma demande de grade Commerçant. - L'histoire relatée entre le 5 Avril 1262 au 8 Mai 1262 sont ceux de ma demande de grade Citoyen. - Enfin, les écrits compris entre le 4 Mars 1263 et le 15 Août 1268 sont issus de ma demande de grade Chevalier. 5 Juin 1256 : Comment avaient-ils osés ? Comment avaient-ils pu n’avoir que serai ce l’idée de ce qu’ils m’ont fait ? Après tant de sacrifices … Moi qui avais dirigé les armées du Roi lui-même dans l’ultime combat qu’il avait mené pour ravir les dernières plaines gelées du grand Est aux mains des Rebelles. Moi qui avais tué tant d’hommes pour ma patrie, tout cela pour en finir là … Me voici errant, volant quelques miches de pain ci et là pour survivre depuis que le pécule que j’avais obtenu de la vente mes riches habit avait fondu. Moi que même les brigands ne craignent plus, moi, dont mon nom ne fait plus hurler la terreur. Comment le nouveau Conseil des Royaumes Unifiés du Grand Nord avait-il pu prononcer mon exil vers le vaste Sud inconnu ? Pour quelle faute imaginaire ? Comment mon Roi que j’admirai tant a-t-il pu laisser tomber son général et plus fidèle allié ? Pourquoi a-t-il signé ce fichu traité de paix avec les Rebelles ? Pourquoi a-t-il dit que c’était moi qui le manipulait dans l’ombre alors que lui et moi, ensemble, nous préparions ces vastes offensives ? Je ne comprend rien. Seul le gout amer de la trahison me reste. Je marche lentement, ressassant sans cesse ces mêmes bribes de mon passé révolu. Mon bras me brûle encore. La glace que j’y avais mis a beau avoir fondu, la morsure de l’aiguille est encore présente dans ma chair. Je n’ose même plus regarder ce bras. Plusieurs fois j’ai envisagé de le couper pour ne plus voir le tatouage des Bannis du Nord sur celui-ci. Je n’en ai jamais eu le courage ... Plusieurs fois j'ai levé mon coutelas sans oser l'abattre. Mais à quoi bon garder ce bras si sa propre vie n'a plus de sens ? Il me répugne, c'est comme s'il avait fait sécession de mon être pendant la cérémonie de mise à l'exil. 17 Juin 1256 : Plus j'avance vers le Sud, plus ma tristesse se transforme en rage. En rage de vengeance. Les reliefs des chutes de neiges se font de plus en plus rare, les grands pins laissent peu à peu place aux chênes, hêtres et bouleaux. Celà fait un moment que je n'ai pas croisé de ville. Je pense que j'ai quitter les Terres du Nord, j'ai dépassé les frontières de toutes nos cartes les plus lointaines, là ou personne ne s'aventure jamais. Les légendes racontent que le sud de notre monde est une terre maudite, où l'équilibre naturel a été brisé par la magie, ou l'âme de tout ceux qui s'y aventure est maudite. De toute façon, je n'ai plus rien à perdre. Je me suis remis à mes talents de traqueur pour me nourrir. Le petit gibier qui croise ma route fini le soir dans mon estomac. Je me sers de mon coutelas comme d'une arme de jet. Je ne suis pas devenu mauvais à ce petit jeu, j'arrive à harponner un lapin à 5 mètre de distance. Finalement ce bras ne m'est pas si inutile que ça, il me permet de subsister. Et puis ce bras, lorsque je lèverai mon armée pour aller faire tomber le Régime indigne de la Terre de nos Dieux, j’en aurai besoin. J’en aurai besoin pour manier moi-même l’épée qui tranchera la gorge du Roi corrompu. 27 Juin 1256 : Alors que j'étais en train de sculpter un arc en bois d'if sous la clarté de la lune afin d'étoffer mes maigres repas, une lumière rougeoyante a attiré mon attention à l'horizon. J'ai profité du camouflage que m'offrait la nuit pour m'approcher. C'était un village. Ainsi donc, il existait des hommes au sud. Une fois l'aube passée, je me suis approché discretement de la bourgade. L'architecture des maisons était relativement semblable aux notres, à la difference près qu'ils semblaient privilégier le bois à la roche. Quelques champs de céréales étaient cultivés à proximité des habitations. Deux hommes parlaient au loin. Le vent porta leurs mots jusqu'à mon oreille. Leur langue me paressait très similaire à la mienne, seul le sens de quelques mots m'échapper. Ne savant pas quelles seraient leurs réactions face à un inconnu (surtout un inconnu portant la marque des bannis s'ils en connaissaient le sens), j'ai préféré repartir comme j'étais venu, silencieusement. 22 Juillet 1256 : La chaleur est insoutenable. Le soleil brule ma peau qui commence a brunir. J'ai pris confiance en moi et suis rentré dans une ville de moyenne taille il y a deux semaines environs, me melant à la foule des voyageurs de passage. Mon appartenance aux Terre du Nord est quasiment devenue indétectable, ma peau mate et la teinture noire de mes cheveux blonds doivent surement jouer … Je cache la marque des bannis de mon bras du mieux que je peux. Un bandage, je fais croire que je me suis blessé. Les aubergistes n’en demandent pas plus et me laisse dormir chez eux. Le plus souvent, je m'éclipse à l'aube sans payer mon dû. Je n'aime pas cela, c'est contraire à mes principes, mais c'est ma seul alternative à la nuit à la belle étoile avec les bêtes sauvages. Ici, personne ne connait mon nom, personne ne devine mon lourd passé. J'apprend la langue à une vitesse qui, même moi, me surprend. Je commence à m’habituer à cette vie, à ces pistes de terre battue, à toutes ces villes que je découvre avec émerveillement. 24 Juillet 1256 : J’ai entendu deux paysans en train de discuter à la table voisine de moi dans la taverne ou je me suis arrêté. Ils parlaient de la mort d’un roi. De la prise de pouvoir partagée de ses quatre fils. Et de la liesse dans la capitale. Stendel. C’est un joli nom. Je vais essayer de m’y rendre, de là, grâce aux cartes que doit posséder la bibliothèque de cette grande ville, je choisirais où me rendre. 30 Juillet 1256 : La chance à parfois de multiple visage. Un groupe de quattre bandit à essayer de voler ma bourse sur le chemin. Malheuresement pour eux, je suis rodé aux techniques d'escrime. Mon bras prolongé par mon coutelas, ils n'ont pas fait long feu, et c'est finalement ma bourse qui s'est remplis des leurs. Au vu de l'or qu'elles contenaient, plusieurs aventuriers avaient du perir dnas ses sous bois. Avec cet or, je vais pouvoir m'acheter des vetements plus dignes que ceux que j'ai actuellement, et peut être même, une vraie arme. 8 Aout 1256 : J’avance. Je me rapproche. Et plus « Stendel » est proche de moi, plus je sens la puissance monter autour de moi. C’est quelque chose d’indescriptible. J’ai peur. Je pense que je suis en train de m’imprégner de ce que les gens du nord surnomment « L’Hérésie ». La magie est taboue dans les Terres du Nord. Ses utilisateurs finissent au bucher. On parle de catastrophe si on l’utilise. De l’ouverture d’une brèche, du retour de Shwartz, seigneur des enfers que les 12 Dieux suprêmes avaient banni. Plus que jamais, j’ai peur. Mais cette puissance est là, partout, autour de moi. Et si c’était celle-ci qui me permettait de renverser le Roi ? 12 Aout 1256 : Je suis à une journée de marche de Stendel, et toujours d’après l’aubergiste, je devrais l’attendre peu après le coucher du soleil si je me dépêchais. …. La nuit est tombée vite. Une nuit sans lune, et un ciel nuageux. On n’y voit rien, je décide de camper ici. 13 Aout 1257 : Le soleil vient de se lever. Et devant moi une … une ... une … Ma main tremble … Comment formuler ça ? Une île. Voilà, une île flotte. Et dessus, Stendel. Tout cela grâce à la magie. Je ne pensais pas qu’elle pouvait avoir des effets bénéfiques. Après avoir monté les escaliers du pilier central quatre à quatre, j’ai découvert la Grande Place, noire de monde. C’est à croire que tout le peuple du royaume s’est déplacé ici. La liesse règne, les cris fusent, partout la musique résonne. Visiblement, le courronement devait avoir eu lieu il y a quelques jours. Une séduisante noble me fait un signe discret. Son père haut dignitaire de la religion du Bambou, l'a rapidement rappelé à l’ordre, mais son visage s’est fixé dans mon esprit. J’essaye de me rapprocher. J’entends murmurer son nom. Tenshinryu. Et là, soudain, parmi les vêtements colorés de tous les habitants, j’ai aperçut de grandes tuniques bleues acier. Une délégation des Terres du Nord ? Si loin de chez eux ? J'ai préféré fuir, vite. J’ai eu un jugement dans les Terres du Nord, cependant, nombreux des membres du nouveau conseil ont jugé que le bannissement était une peine trop faible. Je suis loin de chez moi, et je ne savais pas de quel coté ils étaient. S'ils me reconnaissaient et m'executaient ici, il n'y aurait personne pour le leur reprocher. Dans le doute, mieux vaut sauver sa peau que d’hésiter, comme me l’a appris mes nombreuses années dans l’armée du Roi. Je dévale une rue. Rue du château. Deux gardes semblent me suivre, de manière discrète. Une impasse, je suis arrivé sur un belvédère donnant sur la mer. Mon coeur accelère, sens l'adrénaline dans mon sang. Pas le temps d’hésiter, j’ai plongé. Le courant était fort, et au prix d’un effort surhumain, j’ai réussis à me hisser sur la berge. En haut, deux silouhette ont semblé scrutter les eaux, puis reprendre leur ronde. Une fausse alerte ? Hésitant, j'ai finalement choisi de ne pas jouer ma vie. Une route pavée sillonnait le long de cette berge, j’ai tiré à pile ou face de quel coté partir. Un panneau indique « Hypérion ». Je ne sais pas ou je vais, mais j’y vais. 9 septembre 1258 : Alors que j’arrivais au devant d’un arbre immense, lui aussi modifié par la magie ambiante, un loup, l'air affamé, s'est approché dans les sous bois. Ses yeux brillaient en me regardant. Soudain, il s'est jetté sur moi, suivi d'une dizaine de ses pairs. Mon bras armé de mon coutelas s'est lancé dans cet amas de poil. Un liquide chaud et épais a commencé à couler sur mes vetements. Deux cadavres gisaient au sol. Déjà, la meute revenait à la charge. Je n'allais pas leur offrir ma vie sans me battre ! Alors qu'un loup de plus tombait, une douleur insoutenable a explosé dans ma jambe droite. Les crocs d'un loup y était solidement planté, broyant muscles et tendons de chair sans distinction. Un quatrième cadavre tomba au sol. alors que ma tête commençait à tournait, j'ai entendu le plus gros des septs bêtes restantes hurler. Ils abandonnaient. J'ai marché quelques mètres ... Et puis le noir, le noir complet. D'après la femme qui m'a recueillit et soigné, je suis resté une semaine sans connaissance. 5 octobre 1258 : [Ou de l'installation à la Baie Dryade] Plusieurs semaines ont passé. J’ai découvert peu à peu le village ou j’ai échoué. A force de me faire manger des gâteaux, la femme qui m’a recueillit va finir par me rendre obèse. La quinzaine d'âme qui vit ici est tout aussi charmante les unes que les autres, quoi que certains fussent un peu bizarre, ils étaient hospitaliers. En discutant avec les habitants, j'ai appris qu'un puissant mage, celui là même qui avait poussé l'immense arbre, résidait à deux pas d'ici, au creux de l'arbre, nommé "Hypérion". Peut être pourrait-il m'enseigner la magie ? Le chef (à l’accent fort étrange) m’a proposé une parcelle dans le village, appellé par les autochtones "la Baie Dryade". J’ai accepté. Ce hameau situé au pied de l’arbre est l’endroit idéal pour m’établir. 22 septembre 1260 : [Ou de ma participation à la construction du Lotus] Après avoir passé deux ans à étudier, me voilà prêt pour mon premier test de magie. Le sage de l’arbre à convoquer d’autres mages, nous allons influencer la nature, reproduire le même miracle que l’Arbre. Nous sommes en cercle, autour d’un nénuphar en fleur. Sous nos incantations, il commence à grossir. Je n’ai pas oublié mon projet de vengeance. Mais tout vient à point à qui sait attendre. 6 juin 1261 : [Ou de ma participation à la création de la map d'Yggdrasil, mise lors de la Robinson 1.6] Mais qu’avions nous fait ? Quelle folie nous avait elle prit ? Quelle idée stupide ! Mes mains me répugnent … Plus tôt ce matin, nous avons tenté L’expérience, reproduire l’exploit des mages de Stendel. Ouvrir une porte vers un autre monde. Nous avons créé une brèche. Le maitre s’est engagé dedans, suivi par quelques mages. Les terres que nous apercevions depuis notre monde était magnifique … Nous avions sous nos yeux un arbre immense, plus grand que l’Hypérion lui-même, entouré de terres prolifiques. Alors que le maitre et les autres renforçaient le portail de l’autre coté, des pionniers se sont engagés, en nombre. Une flèche a surgit de nulle part, transperçant un de nos mages. La soudaine disparition de son flux d’énergie nous déstabilisa tous. Un second tomba. Nous n’étions plus que trois à maintenir ce portail. Nouveau jet de sang. La puissance énergétique nécessaire pour garder le portail ouvert était bien trop grande pour nos deux pauvres esprits. Il y eut une grande explosion. Un éclair blanc. Qui s’imprime sur nos rétines. La lumière pure qui rend aveugle. Puis plus rien. Le néant, qui dure une éternité et un instant en même temps, puis le brusque retour à la réalité. Le retour des sens. Douleur. Le mage qui était encore avec moi s’est sacrifié, il a utilisé son corps pour stocker une part de la vague magique. Il n’a pas tenu le coup. Le portail s’est refermé, à jamais. Je suis seul, debout, perdu. Je perçois la magie qui m’entoure différemment. La vague l’a altérée, c’est du moins la conclusion que j’en ai tiré. Je hurle, donne un coup de poing dans l’Hypérion. Rage et culpabilité. Tout est de ma faute ! Je regarde plus attentivement les flèches qui ont fait tomber mes camarades. Des plumes noires, la signature de la garde du Roi du Nord. Ainsi ils étaient là pour moi, mais visiblement il ne m’avait pas reconnu, ils avaient tiré au hasard. A nouveau la fuite, toujours la fuite. Ce soir je suis de retour à la Baie Dryade. Mes suppositions se confirment. Ma maison, imprégnée de magie et de sorts de protection, est en ruine, comme foudroyée par un tonnerre que personne n’a vu et ni entendu. Mon voisin m’a proposé son aide pour la reconstruire. 24 octobre 1261 : [Ou de ma participation à la construction du Minirion, des Folias et du Néreide] Un messager est arrivé ce matin à la Baie. Je savais que la vague avait modifié les alentours, des lotus et arbres géants avait poussés par eux seuls autours des zones que nous avions modifiées par magie. Mais ce que j’ai appris est pire que ce que je pensais : autour de Stendel (qui fut transférée par magie depuis un autre monde il y a longtemps comme je l'ai lu dans les livres rangés dans l'Hypérion) des ilots de terres se sont détachés du sol. Ils flottent autour de Stendel. Les empereurs ont décidé d’emménager ces nouvelles terres providentielles pour eux. Je me suis engagé, avec le forgeron (de petite taille, posséderait-il du sang nain ?) du village sur ce vaste chantier. En effet en retournant à Stendel, j’avais une maigre chance de revoir Tenshinryu. Aaaaah, ma belle Tenshinryu ! 25 Octobre 1261 : [Ou de ma participation à la construction d'un des Voltemont, avec HooderZB, la vache et StearnZ, le nain] A l'aube, nous avons sellé une vache, lui avons accrochés nos outils, et avons débuté la longue marche vers la capitale. 15 décembre 1261 : Alors que la neige a recouvert de son manteau blanc les terres environnantes, nous avons enfin atteins Stendel. Tout cela est stupéfiant. Simplement stupéfiante. Autour de la grande ville, plusieurs îlots lévitaient. La roche inerte stagnait au dessus du sol, presque naturellement. Plus un bruit ne troublait notre marche. Nous avancions en silence, fascinés. Au moment ou j'écris ces lignes, le ciel commence à se couvrir. Un blizzard se prépare, j'espère que nous arriverons à Stendel avant la nuit. 16 décembre 1261 : Les autres se plaignent du froid. Personnellement, cela ne me dérange pas, j'ai l'habitude. Nous étions encore à plusieurs lieues de la capitale lorsque la tempête s'est abattue sur nous. Heureusement, mon enfance dans les terres gelées du Nord m'a appris les rudiments de la construction d'un abri de fortune avec ce qu'on a sous la main, en l’occurrence, pas grand chose. Ma hutte en neige nous a protégé de la plus grande partie de la tempête. Le ciel s'est calmé, nous allons pouvoir reprendre notre route. 18 décembre 1261 : Quelle joie de dormir à nouveau dans un lit après ce long voyage ! La taverne de Stendel est aussi accueillante que dans mes souvenirs. Nous nous sommes rendu au château, pour recevoir nos instructions. D'après le morceau de parchemin qu'on nous remit, nous sommes affectés au chantier Ouest. Arrivé à l'extrême ouest de la ville, nous avons découvert notre futur lieu de vie. Il parait encore plus grand d'en haut que depuis la terre ferme ! Quelques volontaires étaient déjà présents sur l'ilot. Pour rejoindre l'ile, plusieurs planches de bois avaient été posées au dessus du vide. Le vent soufflait fort. J'ai hésité longuement avant de traverser ... Alors que nous n'étions plus qu'à quelques centimètres de l'autre bord, une bourrasque de vent traitresse plus forte que ses sœurs m'a déséquilibré. J'ai battu pitoyablement des bras dans les airs quelques secondes mais sous mes pieds, la sensation rassurante des planches a disparut. Je tombe. Dans un réflexe salvateur, agrippe le pont de fortune de la main. N'ai je pas l'air bête ainsi suspendu au dessus du vide ? Une main inconnue agrippe mon poignet, et me hisse sur l'ile. L'homme se présente, il dit se nommer Lulpaz. J'ai appris que cet homme était architecte royal, et le responsable de notre section. 19 décembre 1261 : Nous avons dormi au campement des maçons, avec les autres hommes. La tempête s'est levée à nouveau, après ces quelques jours de répit. Le vent a arraché notre maigre pont. Nous sommes isolés de la ville, mais - grâce aux dieux ! - nous avons des provisions pour plusieurs jour. Malgré le froid, il nous faut travailler, pour finir ce chantier au plus vite. Nous ne pouvions recevoir aucun matériaux de Stendel, alors nous avons commencé ce qui ne nécessitait pas de pierre : nous avons aplani le terrain, à la pioche, et commencé à mesurer le terrain, à tracer l'emplacement des futures murailles, des futures habitations. J'ai longuement discuté ce soir là avec Lulpaz, lui demandant pourquoi tant de précipitation, pourquoi ne pas attendre le retour du beau temps pour entamer le chantier. Il m'a expliqué que tout au nord, des troupes se rassemblaient, d'immenses campements aux bannières des Terres unies du Nord poussaient. Après des millénaires d'ignorance mutuelle, les frontières des deux civilisations s'étaient tant étendus qu'elles se touchaient. Celà faisait bientot un an que toute tentative de discussion avec le conseil des Terres du Nord échouait. Selon tous, la guerre se préparait. Les petits royaumes environnant se ralliaient soit à une puissance soit à l'autre, formant deux coalitions grossissant chaque jour. Les escarmouches aux frontières se multipliaient. Deux si grands empires ne pouvaient coexister si proches. Si une bataille se déclanchait, la survie de l'un dépendrait de la disparition de l'autre. Or, ces grandes iles vierges étaient un point faible dans la fortification de la cité de Stendel. Il suffisait de les atteindre pour rentrer dans l'enceinte de Stendel ! D’où le besoin de construire des murailles autour de celles-ci au plus vite. 23 décembre 1261 : Le pont assurant la liaison avec Stendel a été reconstruit, et solidifié. La météo est redevenue clémente. Des pierres commence à arriver sur l'ile, tout comme les ouvriers affluent. En quelques heures, la population de l'ile a doublée, puis triplée. Les premières pierres des remparts sont posées. Plus le temps passe, plus je me rapproche de Lulpaz. 18 janvier 1262 : Alors que le chantier avance d'un bon rythme, Lulpaz m'initie à l'architecture, au choix des matériaux selon leur résistance, à la réflexion lors de la création de voutes ... Je suis devenu en quelque sorte son second, son apprenti. 6 février 1262 : Aujourd'hui est un grand jour. Lulpaz m'a introduit au palais royal. Je côtoie désormais les plus hautes sphères du pouvoir, lis des précis d'architectures antique, goute aux mets les plus raffinés et vit auprès d'un luxe intimidant. J'ai l'impression de retrouver ma vie lorsque j'étais Haut Général, dans les Terres du Nord. La formation d'architecte que m'a délivré Lulpaz touche à sa fin. Bientôt je pourrais briguer l'un des titres d'architectes royaux officiels. 16 mars 1262 : La douleur, encore. La rage de ne pas avoir pu aider, de ne pas avoir pu changer le cours des choses, de ne pas avoir été là comme lui avait été là pour moi. Une fois de plus le sentiment de revivre encore et toujours les mêmes choses, la perte. Comme celle du Sage. J'étais de l'autre coté. Je n'ai entendu que le cri, le hurlement des hommes. Le chantier touchait pratiquement à son terme, toutes les murailles étaient érigés, il ne manquait que quelques tours de guet, quand l'accident s'est produit. Lulpaz revérifiait une ultime fois les mesures des murailles extérieures pour être sur que tout concordait. L’échafaudage de bois sur lequel il se trouvait s'est effondré. Lui et 12 ouvriers ont disparu, engloutis par le vide. Les larmes, toujours, et le devoir de continuer et d'achever le chantier, pour Lulpaz. Pour Lulpaz. 4 avril 1262 : Aujourd'hui a eu lieu inauguration de la forteresse que nous avions construit, tous ensemble. Nous étions venus à bout des éléments, de la fatigue, des blessures pour la construire. Nous étions fiers. Triste pour tout ces disparus lors de la construction, tous ces sacrifices, mais fiers. En remerciement de ma direction du chantier de cette forteresse, les membres du conseil militaire ont souhaité me nommer architecte royal préposé à la construction des bâtiments fortifié. J'ai refusé, du moins j'ai tenté, jusqu'à ce qu'ils m'expliquent qu'ils avaient réellement besoin d'un architecte pour cela, avec la guerre qui menaçait. A cela j'ai fait une contre-proposition. Si Stendel avait besoin de se renforcer militairement, les terres du Nord aussi. Pour avoir été général là bas, même si cela datait de plusieurs années, je savais que la frontière Sud du Royaume était très mal défendue. En effet, avant aujourd'hui, il n'y avait pas de réelle tension et donc de réelles raisons de se préoccuper de cette frontière, puisque nous étions, à l'époque, persuadé que rien n'existait au sud. Les efforts étaient concentrés en tous les autres points. Cependant, avec l'unification des autres terres, la frontière avec les terres de Stendel est devenue la nouvelle et unique priorité des Terres du Nord, ce qui impliquait la construction pour eux de forteresses autour de tous les points stratégiques proches de la frontière avec Stendel. Or, tous ces chantiers allaient leur demander des ressources. J'ai donc proposé aux généraux militaires de créer, moi, une guilde de maçons à l'extrême nord des terres de Stendel. Nous allons vendre à l'ennemi des ressources nécessaires à l'érection de leurs propres forteresses. Nous allons gagner leur confiance, tout en gagnant de l'argent qui servira à financer les efforts de guerre de Stendel, à renflouer les caisses du royaume. Cette stratégie militaire est suicidaire, bien sur, sans la seconde action de la guilde que je souhaitais créer. Saboter depuis l’intérieur les futures forteresses ennemies. Y créer des points faibles discrets, pour les rendre facilement envahissables, lorsqu'on sait précisément où frapper. Pour réaliser mon plan, je n'avais besoin que de quelques fonds, et de l'autorisation d'exploiter les carrières de pierre du Nord. J’attends encore leur réponse. Ils délibèrent encore, dans la salle derrière moi. Je suis content de mon idée, je vais pouvoir accomplir ma vengeance tout en aidant ma nouvelle patrie. Je suis prêt à retourner vers les Terres du Nord sous une nouvelle identité, si c'est pour accomplir une tache aussi noble que celle ci. Mon tatouage de banni est déjà recouvert par un autre tatouage. Il ne me reste qu’à trouver quelques hommes. Et un nouveau nom d'emprunt ! Voyons voir ... Ah ! Les chaises griffent le plancher de l'autre coté de la porte ! On se lève ! Je vais avoir ma réponse. Enfin ! 5 Avril 1262 : [Ou de ma participation à la création et à la réalisation du donjon « Le Temple de Taelhyn » et de la création de l’état de Sylve] Des palabres, toujours et encore des palabres. Comme à chaque fois que l’on pense avoir des certitudes, tout s’effrite et se disperse dans le vent. Ah, la politique ! Encore une chose que je ne comprendrais jamais. Pendant le conseil, un émissaire des Terres du Nord est arrivé. Les Terres du Nord proposent donc un cessez-le-feu, un pacte de non-agression à la coalition Stendelienne. Quelle idiotie, quelle ineptie, quelle utopie de croire en cela ! Ils gagnent du temps c’est évident ! Et moi j’enrage. Le conseil a décidé de suspendre temporairement l’élaboration des stratégies militaires pour se concentrer sur les termes de cet accord. Tout est donc au point mort. J’ère sur la Grand Place de Stendel. Les gens se bousculent, les commerçants hurlent pour appâter le chaland, des gens en haillon mendient la vie en ville. Je me fraye tant bien que mal un chemin jusqu’à la Taverne du « Cochon Grillé », ou je loge depuis un moment. Un établissement très convenable, bien qu’un peu cher que je recommanderai par le futur. Je m’éloigne … Ou en étais-je ? Ah, oui ! Les gens discutent autour de moi. C’est fou tous qu’on apprend en laissant trainer ces oreilles dans une taverne. Il faut apprendre à faire abstraction des racontars des ivrognes qui se saoulent sans fin avec leur bière et qui parlent de temple perdus à la gloire de déesses aux noms imprononçables renfermant de grands trésors dans quelconques univers secondaire et savoir où écouter. C’est comme cela que j’ai appris, en dégustant de succulentes cotes de porc au miel et au thym, que le hameau que j’ai quitté il y a des mois est devenu prospère, et a même fondé son propre état indépendant (bien que faisant parti des coalisés autour de Stendel). 25 Avril 1262 : Les jours passent, lentement. J’attends désespérément des nouvelles. J’occupe mes journées dans la bibliothèque à dévorer de vieux ouvrages, pour chasser l’ennui qui s’installe. Et toujours aucunes nouvelles … Ma chambre au « Cochon Grillé » me semble de plus en plus petite … Peut être va-t-il falloir songer a un autre solution si mon séjour dans la capitale s’éternise. 29 Avril 1262 : Aujourd’hui, entre deux précis de magie oubliés et couverts de poussière, j’ai fait une triste -ou heureuse ?- découverte. C’est toujours quand on s’y attend le moins qu’on fait des découvertes. C’était les reliefs d’une enveloppe qui avait du servir autrefois de marque page. Elle ne contenait rien, mais là importe peu. Sur une face, on distinguait un sceau à la cire bleu acier. Le motif avait été ravagé par le temps, mais je connais que trop bien l’ours du sceau royal des Terres du Nord. Sur l’autre un nom, le nom que j’aurai préféré ne jamais lire. Celui du Sage de l’Arbre. Il entretenait donc une correspondance avec les Hautes Instances du pouvoir Nordique ? Mais qu’est ce que cela peut bien signifier ? 30 avril 1262 : Pendant ma nuit dans le lit miteux de la taverne, tout s’est soudain éclairé, un détail m’est revenu en mémoire brutalement. Comme un coup de feu dans ma mémoire. Comment n’y avais-je pas fait attention plus tôt ?! Le Sage possédait un immense tatouage sur l’épaule, et j’en possédais moi-même un. Pour masquer un tatouage non désiré, celui imposé lors du bannissement des Terres du Nord ! De là toutes les pièces se sont assemblées logiquement. Il avait probablement était banni pour usage de sortilège. Sauf que contrairement à moi, lui n’avait pas nourri son désir de vengeance, tout se qu’il désiré était une révocation de son exil. Il alors proposé de frapper Stendel de l’intérieur avec sa propre arme, et tout cela sans que le rapport entre cet « accident » et les Terres du Nord ne puisse être fait. Il avait probablement prévu que la vague énergétique déstabiliserait suffisamment la magie et les dirigeants de Stendel pour que l’attaque militaire de Stendel ne soit qu’une formalité. Peut être même avait il envisager une chute de l'île volante qui supportait Stendel. Il n’y avait une qu’une faille dans son plan, le sacrifice de l’un d’entre nous pour stocker la magie libérée lors de la perte de contrôle du portail. Une attaque suicide redoutable et aussi fulgurante qu’inattendue. Si les Terres du Nord avaient été prêtes à s’abaisser à de telles bassesses pour gagner la guerre pourquoi demanderait-il un traité de non-agression ? Cela n’avait pas de sens, sauf à gagner de temps pour un nouveau coup fourré ! Je suis parti quérir le conseil militaire pour une audience, nous verrons bien le résultat … 8 Mai 1262 : [De l’achat de ma parcelle dans New-Stendel] Grâce à mon intervention, les négociations des Terres du Nord ont volées en éclat. La guerre gronde de nouveau. Le conseil militaire a accédé à ma requête, j’ai reçut les fonds, l’accès aux carrières du Nord proche des frontières Stendelienne, et l’autorisation d’envoyer des hommes aux frontières démarcher les hommes des Terres du Nord. Ainsi est né le réseau « Tête de Roc ». Le conseil a demandé une contrepartie à cet accord : laisser des hommes de confiance mener cette opération sans moi au front. Moi je reste à Stendel, je dirige la formation à distance, m’occupant des besoins matériels et financiers. Tout cela en parallèle de mon second nouveau poste, stratège. Finalement, je suis revenu à mon point de départ, mais de l’autre coté da frontière … Ah, oui, j’allais oublier ! C’est décidé, je quitte le « Cochon Grillé », j’ai trouvé une maison à acheter en ville. Je ne supporte plus de ne pas avoir d’endroit ou je me sens chez moi. Visiblement ma situation va s’éterniser à Stendel. Le tonnerre gronde dehors. Tout va enfin commencer. 4 Mars 1263 : [De ma participation à la création de la ville de Regly et à l’évenement une Fleur pour Stendel] L’hiver touche à sa fin. Un vent glacial balaie cependant encore les rues de Stendel au dehors, faisant grincer ma porte. Je ravivait le feu mourant dans l’âtre de ma cheminée, tout en essayant de décrypter des rapports provenant du réseau Tête de Roc grâce à la lumière tremblante des braises. Avec l’arrivée du froid, les préparatifs de la guerre paraissaient s’être autant engourdis que mes doigts gelés. A la frontière, les forces armées Stendelienne s’étaient installé dans un amas de tentes en toile épaisse et font face aux forteresses du Nord. Jusqu’ici tout s’est déroulé comme prévu. Les forteresses ennemis avaient été sabordé et le dégel attendu pour lancé les hostilités. Pendant ce temps, une nouvelle politique urbaine a été mis en place à Stendel, en partie financée par les bénéfices du réseau Tête de Roc. Les faubourgs mal-famés situés sous la ville ont été rasé afin de renforcer les défenses militaires de la ville, rendant la cité imprenable. Les habitants des quartiers détruits ont été relogés dans de nouvelles bourgades voisines, crées pour fournir la capitale en nourriture. 12 Mars 1263 : Le conseil militaire a décidé que lancer les hostilités n’avait que trop tardé. Une armée immobile coûte cher à nourrir. Le conseil a choisi de se déplacer sur les lieux de la bataille afin de pouvoir la superviser au plus près. J’ai donc rassembler quelques affaires afin d’être prêt pour la longue chevauchée du lendemain. 17 Mars 1263 : Je n’imaginais pas notre armée aussi imposante. Les plus hauts gradés nous ont rassemblé dans la tente du commandement pour nous informer que chaque stratège allai prendre la tête d’un des cinq Bataillons d’homme de notre armée. A l’aide d’une carte, ils nous ont exposé le plan du lendemain. Sept forteresses flambant neuves alignées et reliée par une muraille marquaient la fin de nos terres et le début de celles du Nord. Les forteresses étaient éloignées de quelques dizaine de kilomètres chacune (sauf la troisième et la quatrième) et remplies de soldats nordiques. La plus à l’ouest était construite au pied d’une falaise. Un groupe d’archer était déjà en position en haut de celle ci. Le plan prévoyait d’éliminer un maximum d’homme depuis en haut. Plusieurs de nos espions profiterait de la panique pour ouvrir les grilles et laisser entrer le Premier bataillon de notre armée. Les forteresses trois et quatre étaient construite de part et d’autre d’une même rivière. Celle ci avait été détournée pour qu’un canal passe dans chacune des forteresses. Un barrage avait été construit en amont, dans nos terres, depuis plusieurs mois. Il retenait une grande partie des eaux de la rivière, tout en en laissant passer assez pour ne pas attirer les soupçons. A l’aube, des hommes en place au niveau du barrage le feront céder. La vague crée noiera les soldats pris au piège dans les deux forteresses. La sixième des forteresse possédait des bases souterraine en poutre de bois. Plusieurs barils de poudre avait été dissimulé a proximité des poutres porteuses. Une fois un incendie “accidentel” déclaré dans les sous sol, les barils exploseront, rendant la bâtisse fragile comme un château de carte. Si elle ne s'effondre pas d’elle même, une dizaine de nos catapultes l’aidera. Les seuls vrais objectifs restaient les bâtiments numéro deux, cinq et sept. La seules choses sur laquelle nous pourrons compter sera l’effet de surprise dans nous pénétrerons dans les forteresses par des passages secrets souterrains. Mon bataillon, le Troisième Bataillon de l’armée, était chargé de prendre la cinquième forteresses. J’aurai, demain, sous mon commandement, plusieurs milliers d’hommes, sous un peu moins du cinquième de la globalité de notre armée. En effet, les quatre premiers Bataillons de l’armée de Stendel prendraient part au combat tandis que le cinquième était restait à la capitale pour la protéger au cas ou. 18 Mars 1263 : Cette journée fut un massacre. Un vrai massacre, une boucherie humaine. Nous nous sommes levés longtemps avant le soleil comme il avait été prévu. Nous nous étions rendu, mon Bataillon et moi, à l’entrée du souterrain d’accès à la cinquième forteresse, qui était dissimulé dans une caverne naturelle. Le haut commandement coordonnait les bataillons via un lien magique de communication entre eux, et les stratèges dirigeant chaque groupe, en l'occurrence, moi pour le Troisième Bataillon. Afin de conserver l’effet de surprise, toutes les attaques devaient commencer en même temps. Nous avons progressé dans notre souterrain, et attendu silencieusement dans le sous-sol de la forteresse l’ordre d’attaquer. Quand le signal est enfin arrivé, nous nous sommes rué dehors. J’ai appris grâce à la communication par esprit que les plans visant les forteresses trois, quatre et six avaient fonctionné. Nous sommes arrivé au coeur des remparts de la forteresse pour découvrir des centaines d’arc bandés et autant de lance dardées sur nous. Ainsi ils étaient au courant. Le stratège en charge de la prise de la première forteresse nous informa qu’ils venaient d’entrer et que la prise de la forteresse allait être une formalité. Cependant, devant le mutisme des responsables de l’assaut des forteresses deux et sept, j’en déduis qu’ils devaient être, comme moi, trop abasourdis par le piège qui se refermait sur eux pour communiquer. Et ce fut la débandade. J’hurlais aux hommes de se replier, mais ils n’écoutaient que leur soif de sang et se précipitaient l’un après l’autre vers une mort certaine. Le sang rougissait les pavés de la cour. En moins de 10 minutes, les archers avait réduit les effectifs de mon bataillon à néant. Je continuai à m'époumoner pour appeler à la retraite … Mais appeler qui ? Tous ou presque étaient mort. La trentaine de soldat encore en vie revint à la lucidité et se précipita à ma suite dans le souterrain. J’appris que la forteresse une était tombée entre nos mains. Joie de la nouvelle gâchée par ma peur de nous faire rattraper par les soldats ennemis lancés à notre chasse. Je tentais de garder mon calme et d’expliquer au commandement ma situation tout en courant pour ma vie. L’ordre général de retraite pour tout les bataillons fut donné. Cependant, personne dans les Bataillons Deux et Quatre ne fut en état d’entre ce message. Le haut conseil nous prévint qu’un groupe d’homme venait d’envahir les reliefs de notre campement, probablement des gens du Nord attendant les éventuels survivants qui se rassembleraient au camp pour les achever. Le haut conseil fuyait à cheval jusqu’à la capitale, notre nouveau point de rendez-vous. Le Bataillon Un, pratiquement indemne évacua la forteresse Un et commença marcher en direction de la capitale. Nous étions vingt-cinq survivants. Le bataillon Un ne pouvait nous attendre sans prendre le risque que les armées des forteresses Deux, Quatre et Sept ne les rattrapent. Nous nous sommes donc retrouvés livrée à nous même, seuls. Nous avons abandonné nos lourdes armes (à l’exception de deux arcs) qui ne faisaient que nous ralentir et nous avons couru toute la journée, talonnés par les fantassins de la forteresse Quatre dépêchés pour nous exécuter. Quand la lune s’est levée, nous étions exténué. Au loin, la silhouette d’une immense maison perchée sur un plateau de roche aux pentes abruptes pour apparus comme notre dernier espoir. Le seul accès à la bâtisse délabré était une échelle en bois vermoulu maladroitement fixé à même la roche. Nous avons gravi les barreaux quatre à quatre. Arrivés en haut, nous avons usé de nos dernières forces pour désolidariser l'échelle de la roche. Quand le bois a enfin cédé, nous avons fait basculé l'échelle dans le vide. Elle est tombé au sol, une vingtaine de mètre plus bas, en une dizaine de morceaux sous le choc de la chûte et l’usure du temps et de la pluie. La centaine de soldat nous poursuivant se trouva déconfite en bas. Nous avons établi un campement de fortune en haut de notre perchoir, dans le salon délabré du manoir abandonné. 19 Mars 1263 : [De ma participation à la rénovation du Manoir de Globos] L’inconfort du plancher comme tout matelas nous a tiré très tôt du sommeil. La lumière du jour nous a permis d’inspecter les lieux où nous nous trouvions. La masure était visiblement abandonnée depuis des années. Tout ce qui avait de la valeur avait été pillé. Le plateau de roche sur lequel était posé la maison, était minuscule et la falaise qui entourait le plateau était abrupte et ne laissait aucune prise permettant de l’escalader. Nous jouissions d’une sécurité précaire en haut. La garde ennemie semblait l’avoir compris et avait opté pour une tactique simple mais efficace : encercler notre promontoire et attendre que nous descendions de notre propre gré, tiraillés par la faim. Et ils n’avaient pas tort, nous avions quitté notre camp sans nourriture et la maison n’en contenait pas. 21 Mars 1263 : Mes hommes sont affaiblis. Nous avons abattus un oiseau grâce à l’un des deux seuls arcs que nous possédions, nous nous les sommes partagé. Nous avons commencé a réfléchir à un moyen de nous échapper. Nous observions avec attention leurs mouvements. La nuit, seuls deux soldats montaient la garde, avec une relève par heure. Notre solution de sursis ? 22 Mars 1263 : Notre plan était simple mais osé. Trois heures après la tombée de la nuit, nous avons abattu discrètement les deux gardes avec deux flèches silencieuses. Nous avons lancé une échelle de corde tissée pendant nos jours d’oisiveté. Ils nous était impossible de traverser le camps ennemi sans réveiller aucun soldat. C’est d’ailleurs exactement pour cette raison que nous ne l’avons pas fait. A la place nous avons enflammé une flèche et envoyé au loin. J’ai envoyé les autres se cacher dans le sous sol du manoir, puis, à l’aide d’une pierre j’ai réveillé un soldat en contrebas. Comme nous l’avions prévu, en découvrant les cadavres des sentinelles, l’échelle de corde ballante et la lumière du feu au loin, ils ont cru que nous nous étions enfuit et qu’ils distinguaient la lumière des torches des fuyards. Sans se poser plus de question, ils se sont dirigés comme un seul homme vers la source de lumière. Nous fêtions silencieusement notre victoire en descendant l’échelle et en courant dans la direction opposé à la leur. Même si je m’étais promis de ne plus utiliser la magie, j’ai effacé les traces de nos pas du mieux que j’ai pu afin de rendre impossible notre traque. Visiblement cela a fonctionné puisque nous n’avons pas entendu le bruit des ennemis durant la journée. 12 Avril 1263 : Nous avons atteint Stendel il y a plusieurs jours, sans encombre depuis notre fuite du manoir abandonné. Nous avons perdu les deux tiers de notre armée dans ce fiasco militaire. Cependant, les Terres du Nord on également perdu des hommes. Peu, certes, mais assez pour les obliger a ne pas attaquer de nouveau immédiatement. Ils doivent panser leurs plaies, réparer leurs armes et trouver de nouvelles montures. Et puis, pourquoi se précipiteraient-ils alors que leur victoire est déjà acquise ? Il nous reste tellement peu d’hommes par rapport à eux que nous ne pourront pas leur tenir tête lors d’un autre affrontement. Il nous faut un plan, trouver une nouvelle ruse pour sauver les Stendeliens. 15 Avril 1263 : L’heure de notre fin est arrivé. Les troupes du Nord ont commencé à s’agiter à la frontière, leur retour en mouvement n’est qu’une question de jour au mieux. A défaut d’une autre solution, les Empereurs ont appelé tout le peuple à se réfugier dans les enceinte de la ville. Heure après heure, les rues de la cité volante se remplissent de paysan ayant laissé leurs terres et leurs bêtes ou de commerçants des cités voisines, orphelins de leurs échoppes. Beaucoup de citoyens, moi y compris, ont ouverts leurs portes aux nouveaux venus, pour leur assurer une nuit décente et un repas chaud. 17 Avril 1263 : Les rues sont bondées. Le moindre espace a été mis à profit. Plus tôt dans la matinée, nos informateurs nous ont signalé que les troupes du Nord était à un jour de marche de la capitale. Les derniers rescapés ont couru jusqu’aux portes de la ville jusqu’au dernier moment, avant que celles ci ne soient scellées par de lourdes poutres de fer sur lesquelles étaient gravées des runes magiques, les rendant pratiquement indestructibles. 18 Avril 1263 : Stendel s’est réveillée assiégée. L’armée du Nord nous encercle, mais la ville ne faillit pas à sa réputation de citadelle imprenable. L’armée ennemie ne semble pas avoir trouvé de faille dans notre défense. Alors ils attendent, ils savent très bien que nos denrées comestibles ne sont pas illimitées. Ils n’ont pas tort, trouver de la nourriture est déjà très dur alors que notre première nuit d’assiégés n’a pas encore commencé. Je pense que nous ne tiendrons pas une semaine dans cette position. 19 Avril 1263 : [De l’ouverture de Stendel] Un coup de génie. Le plan parfait pour tous nous sauver. Voilà ce qu’avait trouvé les Empereurs. Nous devons sortir de la ville, c’est une évidence. Mais, puisque ne nous pouvions sortir par les portes d’en bas sans tomber sur nos assaillants, nous sortirions par la magie. La grande place a été évacuée, et tout les personnes possédant un minimum de notion de base en magie volontaires (tous en fin de compte, moi y compris) y ont été réunis. Nous étions plus d’une centaine a plasmodier en coeur la même mélopée magique, dont l’écho se répandait dans la moindre ruelle où régnait un silence réligieux des gens partagés entre l’espoir et la peur. Je n’avais jamais sentis une puissance magique aussi grande. Une immense porte de fumée violacée se matérialisa au centre du cercle que nous formions. Plusieurs mages la traversèrent afin de la renforcer de l’autre coté. Quand la moitié des mages furent de l’autre coté, la population commença a traverser la porte à son tour. Chacun était chargé d’emporter des choses précieuses pour notre nouvelle vie dans ce nouveau monde. Certains portaient de la nourriture, d’autre des outils ou des tentes par exemple. La grande bibliothèque de Stendel fut même vidée de son précieux contenu qui traversa la porte à dos d’homme, petit à petit. Je fus rassuré de reconnaitre dans la foule les visages des habitants de la Baie. La lune était déjà haute dans le ciel quand la longue file devant la porte s’éclairsema. Des personnes ne souhaitant pas abandonner leurs terres étaient restées en retrait. Elles exprimèrent le voeu aux Empereurs de rester ici, chose qu’ils ne purent refuser. A leur tour, les Empereurs puis le Conseil, traversa la porte, suivis peu à peu par les derniers mages restés sur la place. Je fus dans les derniers à traverser le portail. Quelques minutes après, la fumée derrière moi disparu, emportant les dernières traces de notre ancienne ville. Les uns après les autres, tout ceux qui avaient participé à l’ouverture du portail tombèrent au sol, plongés dans un lourd sommeil, proportionnel à l’effort fourni. 20 Avril 1263 : A en juger par la place du soleil, il devait être a peu près midi quand je me suis réveillé. Les réfugiés commencent à s’organiser, à se répartir les tâches. Les tentes emportées avaient été montées, les vivres restant distribués et des petits feu de camp étaient allumés partout. Le portail nous avait emmené dans une vaste plaine verdoyante. On entendait au loin le bruit de vague s’écrasant contre des rochers. L’endroit était loin de paraître inhospitalier. Quelques un des groupes partis explorer les environs à l’aube commençaient à revenir au camp, portant sur leur dos pour la plus part des baies ou des fruits, parfois même la carcasse de porcs sauvages fraîchement abattus. Aucune activité humaine autre que la notre n’avait été trouvée. A la tombée de la nuit, une minute de silence fut observée, à la mémoire des soldats morts et des personnes restée de l’autre coté du portail. 29 Avril 1263 : [De ma participation avec l’équipe de Socolin à l'évènement du Grand Rephasage] Il a été décidé que nous resterions ici, et que nous rebâtirions une nouvelle capitale à cet endroit même. Pour cela, tout le monde s’est mobilisé. J’ai été nommé dans le groupe d’architecte préposé à la construction de la ville pour que je conçoive les défenses de la nouvelle ville, en raison de ma participation aux constructions défensives des Voltemonts de l’ancienne ville et de ma qualification militaire de stratège. Tout le monde a mis la main à l’ouvrage. Certains ont commencé à miner dans les carrières de roches pour fournir de quoi bâtir la ville, d’autres coupent du bois pour les échafaudages et certains bâtiment, par exemple. 15 Août 1268 : [De ma participation à la conception et à la réalisation du Temple d’Athynel, de mon installation et de l'ouverture de mon échoppe dans Stendel] Le chantier de la ville touche aujourd’hui à son terme. Cela fait plus de cinq ans que nous travaillons chaque jour sur la ville, cinq ans de labeur mais cinq ans de paix. La nouvelle Stendel (nous avons gardé le même nom pour la mémoire) est magnifique. Même si quelques constructions sont encore en cours, le plus gros du travail est fait. La nouvelle ville est bien plus grande que l’ancienne. Elle permet de loger la quasi totalité des immigrés de notre ancien monde, du moins ceux qui ont souhaité y rester. Plusieurs groupes d’homme ont décidé de s’établir plus loin. De fil en aiguille, certains de ces hameaux ce sont transformé en village et atteignent aujourd’hui une taille respectable. Nul doute que ce seront les futures grandes ville du royaume. La vie a repris un cours relativement normal, mais nous continuons de célébrer tout les ans notre arrivée dans ce monde. Une académie pour former les mages a été ouverte, une autre également pour les guerriers. J’ai entendu dire que les mages de la ville avaient commencé des recherches pour établir des portails vers des mondes isolés autrefois habités par les hommes où se trouveraient peut être des vestiges contenant des informations importantes sur la magie, que ce soit à travers des livres, des bas-reliefs ou autre. Quand à moi, étant donné que mes services d’architecte comme de guerrier ne servent plus à grand chose pour le moment, j’ai ouvert une échoppe de maçonnerie dans la capitale. Mon affaire est, par ailleurs, plutôt florissante et me permet de vivre confortablement en ville. En même temps, j’ai fait ma demande officielle pour devenir Chevalier, l’élite du peuple, pour service rendu au royaume. J’espère vraiment recevoir cet honneur, de la part des gouverneurs. Cependant, pour le moment, je ne peux qu’attendre. A tout ceux qui ont eu le courage de me lire, je vous en remercie, ça m’a demandé du temps et me fait plaisir qu’une autre personne que le modérateur en charge de la section ait pris le temps de le lire. J’espère également que cela vous aura plu, bien que l’écriture de RP n’ai jamais été ma plus grande spécialité. Avant de conclure, j’aimerai remercier encore une fois toutes les personnes que je côtoie chaque jour sur le serveur et qui font que c’est toujours un plaisir d’être ici, même un an après. Bien à vous tous, Super_Pingouin PS : Un grand merci à Yuna pour la mise en forme des screens. -
Jeu : caractères des joueurs de Minefield..
Super_Pingouin a répondu à un sujet de Smilou5336 dans La taverne (non RP)
kmairiaux -> belge -> yuna -
[Suggestion] Une pierre magique pour le nether
Super_Pingouin a répondu à un sujet de Socolin dans Suggestions
C'était mon idée mais soco me l'a encore plagié ... (private troll) Plus sérieusement, +1 Je plussoie pour l'idée du craft vraiment pas gourmand (style 4 cobble ou 4 dirt pour 4 blocs) ou pour le give via pnj. Un tel bloc peut avoir non pas seulement une utilité pour se déplacer dans le nether, mais aussi dans les autres mondes, évitant les escaliers creusés dans les montagnes et autres joyeuseté -
[A Lock]Ce nouveau cube du nether
Super_Pingouin a répondu à un sujet de Happy dans La taverne (non RP)
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Mais quel connard ce forum, on peut jamais rien lui confier.
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Nouveaux Gouveneurs et Nobles - Topic Félicitations
Super_Pingouin a répondu à un sujet de Ashugeo dans La taverne (non RP)
Enfin c'est un cactusolien noble contre deux spongieux modos Bref, encore une fois félicitation à vous. -
[Accepté]Demande d'Adoubement de J0hn_Locke
Super_Pingouin a répondu à un sujet de jodox dans Chevaliers
Je soutiens également cette candidature, john est un joueur très ancien et toujours actif. Il porte aujourd'hui pratiquement seul le projet du St Trident comme il portait seul celui de Caras Galladon avant qu'il soit repris par Flylink. -
Le Cartel des Armuriers
Super_Pingouin a répondu à un sujet de Lotharion dans Les Corporations Minefieldiennes
Je ne suis pas armurier, mais vendre l'obsi au même que le fer alors que l'obsi est plus efficace, c'est complétement abérant. -
Bon anniversaire Saigo
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BONANIV
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Mise à part certaines capes (celle de St Patirck, des 2 IRL, du grand rephasage et des BoS), tu peux effectivement tout avoir. Après je ne te cache pas que certains items rares (comme certains posters Ate Bits) peuvent atteindre des sommes folles.
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Fait gaffe kmai, dans 6000 ans on aura plus de 7 milliard de petit elfons.
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Bonjour à tous ! Bien que discrète, cette corporation est sans doute une des plus anciennes du serveur. En effet, elle a été crée quelques mois seulement après l'apparition des spécialisation sur Minefield. Regroupant à la base moi même et Modroncube, elle s'est étendue avec l'ouverture de Stendel à Gasvelos, MatthieuG et Wenbist. Voici le lien du RP de la Corporation : valides/guilde-des-tailleurs-pierres-t28968.html Si vous êtes maçon marchand et adhérer à la corporation vous pouvez me contacter. Je vous vous communiquerai alors la grille des prix de vente et rachat que nous pratiquons au sein de la corporation. Si vous postez aussi ici, j'essaierai d'éditer ce post pour vous ajouter à la liste ci-dessous. Adhérents Marchands : - Super_Pingouin Fondateur - Modroncube - Gasvelos - Rangers41 - Pulcomaru - Nuttelcraft - The_dionysos - Yaptaz Super_Pingouin
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Yep, itou.
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Bon anniversaire !
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[Accepté]Postulation : Chevalierisation du Sieur Tybalt
Super_Pingouin a répondu à un sujet de Tybalt dans Chevaliers
Tybalt est un joueur très ancien, mais également très investit. Bien que sa ville soit moche, je ne peux que soutenir la candidature chevalier du gestionnaire de la dernière province annexée par la Baie Dryade. Tybalt est un joueur qui a toujours été droit, et présent quand on avait besoin de lui. Je me dois également de souligner son courage d'être resté ici, fier, malgré la cuisante défaite militaire que nous lui avons fait subir. Bref, je soutiens la candidature de notre meilleur ennemi -
Tout est up. Tu as bien entendu téléchargé le launcher en cliquant sur JOUER en haut ? Pour les candids, tu as bien entendu essayé de poster dans la sous section "devenir paysan" et non pas dans la section générale "candidature" ?
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[Ceci est un fail lock]
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+1 également
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C'est quoi toutes ces ressources ? Oo
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/!\ A lire /!\ Les PA / L'économie
Super_Pingouin a répondu à un sujet de Spaceman dans La taverne (non RP)
/me enleve le revolver de la tempe de Kmairiaux pour le pointer sur Tiret et le faire taire Sinon, jbt, ça me choque pas, non. (T'as oublié les nobles et les chevaliers) -
A voté pour l'ardoise ! Tu l'achetera chez moi hein ?