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Tout ce qui a été posté par Pencroff
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56 Démévent de l’an 309, à Fort Herobrine. Si les bâtiments du Grand Quartier Général de la garde sont reconnus pour être le centre névralgique de toute la grande armée, c’est en réalité sous la surface, en deçà de ses luxurieux jardins, que se trouve le véritable épicentre de ses opérations. Car si les étages surfaciers du GQG sont occupés par les bureaux des nombreux généraux et officiers supérieurs de la garde, ce sont bien les niveaux du sous-sol qui abritent les principaux services de l’état-major général et du cabinet de l’armée. C’est là, sous plusieurs mètres de roches et de documents divers, que s’étire le long « Sentier de la guerre », surnom affectueux dont les généraux ont affublé le couloir menant à la salle du Conseil de Guerre ; conseil qui devait justement se réunir. Comme avant chaque séance, la vaste coursive était encombrée d’officiers des divers bureaux formant l’état-major et de soldats de la Garde Consulaire, marchant au pas de course ou montant la garde ; les bras chargés de cartes et de documents ou la main sur le pommeau de leur sabre. Un cri, venu de l’autre bout du couloir, fit brusquement cesser leurs norias frénétiques. « Fixe ! » Alors, comme un seul homme, tous les officiers et soldats cessèrent leur course et se rangèrent sur les bords du couloir, au garde à vous. De l’escalier, un bruit de bottes se fit alors entendre, et trois personnes s’avancèrent en direction de la salle de réunion. Ouvrant la marche, le bicorne sous le bras, le maréchal Pencroff s’entretenait avec la générale Marvell, qui marchait à sa droite, et la générale Marceline, à sa gauche. Quand le groupe arriva devant la grande porte, il s’arrêta un instant devant les deux sentinelles qui y montaient la garde. - Est-ce que tout le monde est là ? Demanda le maréchal. - Tout le monde, monsieur. Son excellence le Consul Zorn vient d’arriver. Répondit le plus gradé des deux gardes, un sergent-major du 1er grenadiers à pied. Sans attendre, l’autre sentinelle ouvrit la porte, et les deux hommes cédèrent le passage, l’arme au pied. Esquissant un signe de remerciement, le maréchal et les deux générales s’engouffrèrent alors dans la salle, et la porte se referma derrière eux. A l’intérieur, autour de la vaste et riche « Table du conseil », tout le reste de l’état-major général de l’armée avait déjà pris place. Étaient alors présents le Maréchal et Premier Consul Zorn, son premier aide-de-camp le général Lannes, son premier officier d’ordonnance le colonel Merle, Le général d’armée Thalkion et son aide-de-camp le général Von Lusset, le général Jihair et son chef d’état-major, le général Darkalne et son chef d’état-major, le général Suljii et son chef d’état-major, l’amiral Wariow et le vice-amiral Louis, le colonel De Lattre qui se trouvait être l’aide-de-camp de la générale Marvell et divers officiers d’ordonnance qui avaient déjà pris place aux tables de greffe. Voyant que le maréchal Pencroff et la générale Marvell s’étaient enfin joints au groupe, le Consul ordonna à l’assemblée de prendre place, et tous gagnèrent leur fauteuil. Quand le silence acheva de se faire, il prit alors la parole. - « Camarades, tout d’abord permettez-moi de vous dire que je suis fort aise de tous vous voir réunis. Ces derniers mois, nos affectations respectives et les aléas des armes nous ont souvent séparés, nous qui avons si souvent combattus ensemble. Depuis nos débuts de jeunes officiers, l’arme s’est considérablement agrandie, et bien que nos vertes années me manquent parfois je suis fier et serein de vous savoir aux commandes des corps qui font la force de notre armée. Cela étant dit, je ne vous ai pas fait mander ici par pure nostalgie, mais pour un sujet tristement plus prosaïque. Neuf ans se sont écoulés depuis notre grande réforme de l’an 300 qui a vu naître la Grande Armée. Nous avons développé nos tactiques, nos stratégies, nos méthodes, la composition de nos unités tout en accroissant considérablement le volume de nos troupes. Le siècle passé a vu la Garde devenir la première armée du monde connu, capable de se projeter en tous lieux et en tous temps, de vaincre des ennemis de tous poils, de venir à bout de nations entières et de faire reculer par la force les ambitions les plus obscures des ennemis de la paix. Mais si nous avons réussi, à présent, à sécuriser l’environnement qui nous entoure et à protéger les populations qui sont venues se loger sous notre bouclier, l’heure n’est pas encore venue pour nous de reposer les armes au-dessus de nos cheminées. Si le monde qui nous est familier est aujourd’hui en paix, il n’en est rien des grandes nations qui, au-delà des frontières impériales, jalousent amèrement la prospérité de nos sujets et l’abondance de nos terres. Nombreuses sont les légions qui, par-delà les montagnes et les mers, se lèvent et s’arment pour se disputer les landes fertiles, les mines, et même les forêts. Si aujourd’hui ces guerres lointaines ne nous concernent pas, les tourments des conflits ne cessent de se rapprocher de notre eden, et il est à craindre que nous soyons nous-même, dans un futur plus ou moins proche, la cible de hordes pillardes et de nations criminelles à l’appétit insatiable. Depuis l’an dernier, plusieurs rumeurs nous sont parvenues depuis le continent d’Oldmont, laissant justement entendre que nous serions la cible prochaine d’une coalition de royaumes puissants, anciennement alliés à la république des Titanides et dont le commerce aurait été ruiné par notre intervention et la dissolution subséquente des factions ennemies. Ces félons, qui comptaient sur le succès de la coalition des Titanides dans l’invasion de nos terres pour assurer leur propre prospérité, nous tiennent pour responsables de l’échec cuisant de leur honteuse manœuvre et de la ruine qu’ils en récoltent aujourd’hui. Face à leurs propres peuples qui, réduits à la misère par leurs choix désastreux, grondent dans les rues de leurs capitales ; les lâches se dédouanent en jetant sur nous la responsabilité de leur infortune, nous reprochant même, par une pirouette intellectuelle digne des saltimbanques qu’ils sont, de nous être défendus et de ne pas nous être laissés dévorer à leur profit par les légions Titanides. Leur infame manège aurait pu, et dû sans doute, s’arrêter à ces accusations grotesques. Or cette semaine j’ai appris, par l’intermédiaire des forces d’observation que nous avions dépêché sur place, que ces consanguins de roitelets s’étaient mis en tête de lever les armes contre nous. J’avoue, camarades, que je peine encore à croire que les dirigeants de nations puissent avoir l’esprit malade au point de commettre pareille folie, car disons-le, il faudrait bien qu’ils soient fous pour jeter les soldats de leurs nations contre notre nation de soldats. Mais si le doute est encore permis quant à la finalité de leurs préparatifs, nos éclaireurs semblent tout de même formels : l’ennemi a déjà commencé la concentration de ses troupes et la levée progressive d’une armée. Est-ce là une manœuvre d’intimidation ? Cherchent-ils seulement à crédibiliser leur discours véhément pour détourner la colère de la population avant de démobiliser leurs forces une fois le calme revenu ? Ou prévoient-ils réellement de se lancer dans une guerre avec l’ambition folle, et même chimérique, d’en sortir victorieux et enrichis ? En réalité, qu’importe. La menace est trop réelle pour que nous prenions le risque de laisser plus longtemps l’initiative à nos adversaires. Vous connaissez nos doctrines et nos préceptes : Nous n’attaquerons que si une menace immédiate et directe chemine vers nous, mais en attendant, nous devons toute faire pour nous préparer à combattre. Le devoir nous commande, parce que la garde nous est confiée de cette partie du monde, d’être circonspects et réactifs ; aussi l’heure est venue de mettre en pratique une nouvelle fois ce pourquoi nous nous entrainons tant et ce que nous avons appris lors de nos dernières campagnes. Mes ordres sont simples, car vous connaissez déjà votre devoir en pareille condition : Faites battre le rappel au sein de vos corps, rappelez les permissionnaires, rappelez vos réservistes, mobilisez vos dépôts et débutez la concentration de vivres et de bois. Maréchal Pencroff, en qualité de commandant du corps de cavalerie, vous aurez à cœur de vous tenir prêt à partir séance-tenante sur mon instruction pour assurer l’avant-garde de l’armée et reconnaître devant nous le terrain des opérations. Général Thalkion, j’aurais sans doute à vous confier le commandement d’une armée de deux corps, dès lors que nous aurons établi notre ordre de bataille. Vous y assurerez également le commandement de votre propre corps, mais je vous laisse le loisir de vous y faire suppléer par un général de votre choix lorsqu’il vous faudra cheminer d’un corps à l’autre. Vous serez sans doute accompagné du 5e corps d’armée, quand le général Daugier recevra ses ordres. Général Jihair, général Darkalne, Général Suljii ; vous veillerez à tenir vos corps respectifs sur le pied de guerre et prêts à marcher. J’ai dans l’idée de vous garder auprès de moi, mais rien n’est encore décidé. Il se peut que nous devions adopter un ordre de marche séparé, aussi vous veillerez à garnir vos états-majors de nombreuses ordonnances et de messagers. Je vous autorise à réquisitionner pour cela les chevaux nécessaires au sein des préfectures. Générale Marvell, je laisse à vos services le soin de mobiliser le parc d’artillerie séance-tenante de sorte à ce que chaque corps parte avec au moins une batterie supplémentaire. Veillez également à organiser l’accélération logistique des régiments du train des équipage et du train d’artillerie en conséquence, afin que les livraisons soient assurées avant le début des opérations. Je vous ferai parvenir des instruction détaillées quant aux besoins en vivres, poudre, munitions et autres ressources dès que le secrétariat de l’armée m’en aura fait l’estimation. Amiral Wariow, vice-amiral Louis, veillez à faire rassembler près de Fort Herobrine tous les bâtiments de la flotte qui seront nécessaires pour assurer la projection de l’armée. Vous enverrez également des bâtiments dans les mers proches de nos adversaires en reconnaissance, de sorte à ce que nous ayons une idée de ce qui nous attend sur place tant en terme de puissance navale que d’infrastructures portuaires. Un résumé des instructions préparatoires vous sera communiqué à tous dans vos états-majors respectifs dès que les greffes et les ordonnances auront achevé leur rédaction et que j’en aurai révisé la substance. Encore une fois, il est possible que toute cette affaire ne soit qu’une fausse alerte. Je vous tiendrai informé des évolutions de la situation tous les jours, jusqu’à ce que la menace soit résorbée ou jusqu’à ce que la décision soit prise de donner l’assaut sur nos adversaires. Voilà, chers camarades, ce que j’avais à vous dire. Avez-vous des questions ?» Acheva le Consul Zorn, en reprenant sa place dans son fauteuil. Le général Jihair, à cet instant, prit la parole. - « Je crois savoir, mon Consul, que nous avons projeté sur place une demi-brigade d’exploration. Cette colonne est-elle revenue, et si oui, disposons-nous d’autres forces de reconnaissance sur place ? » - « Effectivement, c’est la 1ère demi-brigade d’exploration du général Malmaison qui avait été déployée pour développer sur ce continent notre réseau de renseignement. Elle s’y trouve encore, mais il est prévu de la remplacer progressivement par la 2e demi-brigade d’exploration du général Auxonne, qui partira dans les prochains jours. Nos forces actuellement sur place ont été déployées depuis le sultanat d’Aboukir, mais nous avons depuis pus prendre contact avec les autorités du royaume de Caltabello, où nous devrions pouvoir faire débarquer notre prochain contingent. » Répondit le consul. Le maréchal Pencroff, à son tour, prit la parole. - « Aux dernières nouvelles, les trois bataillons de la 1ère demi-brigade d’exploration se sont considérablement enfoncés dans les terres, et leurs groupes-francs sont aujourd’hui pleinement déployés. Il sera long et fastidieux de rapatrier l’ensemble des forces, alors autant ne pas attendre et déployer la 2e demi-brigade dès qu’elle sera opérationnelle. En outre, si la guerre éclate, nous n’en aurons que d’autant plus de troupes sur place pour lancer des opérations de guérilla. Il serait intéressant de profiter d’avoir toutes ces troupes si volatiles et déjà aux abords de l’ennemi pour faire sauter ses dépôts d’armes et de vivres et intercepter ses messagers. » - « Tu es bien un hussards, à toujours faire la petite guerre dans la grande, mais tu as raison. Si mes prévisions sont justes, l’ennemi sera en nombre et organisé, ne nous privons pas d’occasions de saboter sa mobilisation et d’arraisonner ses messagers… » Cette fois, la générale Marvell intervint. - « Vous êtes gentils, tous les deux, à bouger vos pions et vos cavaliers sur un échiquier qui se trouve à plusieurs centaines de lieues d’ici ; mais vous oubliez que c’est moi qui m’occupe de faire envoyer vos ordres aux quatre vents. Le bureau des transmissions de l’armée a en permanence plus d’une cinquantaine de coursiers en vadrouille et le commissaire aux postes a dû en recruter de nouveaux parmi les gens de la réserve. » - « C’est fâcheux en effet, d’autant plus que nous sommes en paix pour l’instant, mais il est à prévoir que la guerre à venir n’augmente considérablement nos besoins en messagers. Colonel Merle, vous veillerez à faire former à Fort Herobrine un bataillon de dépôt des postes, pour que nous disposions rapidement d’un vivier de ces coursiers qui sont les globules de notre institution. Vous recruterez à ces postes des gens fidèles et sûrs, que nos messages soient en de bonnes mains. » Répondit une nouvelle fois le consul Zorn. A cet instant, la grande porte de la salle du conseil s’ouvrit à nouveau. Le grenadier, qui y montait la garde, annonça le visiteur. - « Le Capitaine Vasseur, ingénieur-géographe. » - « Faites entrer. » Un jeune homme, d’aspect solide mais peu assuré, entra alors et salua. - « Mes amis, ce jeune capitaine porte avec lui une des clefs qui, je l’espère, fera notre victoire prochaine sur les troupes ennemies. En effet, lorsque nous avons fait déployer la demi-brigade d’exploration sur Oldmont en reconnaissance, j’ai fait envoyer parmi eux ce jeune géographe que l’on m’a chaudement recommandé pour qu’il nous fasse les plans des régions qu’il nous faudra traverser. Voyez à présent ce qu’il porte sous le bras ! » Annonça le consul Zorn qui, se levant, tirait déjà les rouleaux de cartes. Puis, s’approchant de la grande table du conseil, il déroula la première d’entre elle en grand, l’imposante carte mesurant plus d’un mètre et demi de largeur. Les généraux, quittant leurs sièges, vinrent le rejoindre et regardèrent ensemble les détails du document qui était devenu en une seconde le centre de l’attention. Sur la fine couche de papier, tracé en couleurs et annoté de toutes parts, se trouvait la plus fidèle représentation du continent que l’on put trouver. Capitales, chefs-lieux, villes, fleuves et surtout forteresses ; le fruit de plusieurs mois d’observation et de navigation méthodique ne déçut pas son commanditaire, qui était aux anges. - « Générale Marvell ! Veillez à faire copier ces cartes au plus vite, pour en fournir à tous les états-majors. Et vous-autres, camarades, vous tâcherez d’en mémoriser chaque tracé, chaque ligne, chaque montagne, chaque repli ; car il vous faudra bientôt faire campagne entre ces montagnes qui ne sont ici que des courbes manuscrites ! Mais je vois que ce n’est pas tout, d’ailleurs ; qu’as-tu d’autre sous le bars ? » Enchaîna ne consul, soutirant au capitaine les cartes qui lui restaient. - « Ce sont des cartes plus détaillées de chaque pays, et des cartes topographiques… Elles ne représentent que ce que j’ai pu voir, excellence, car nous n’avons pas pu quadriller tous les pays. Les zones vides que vous voyez me sont inconnues… » Répondit le capitaine à voix basse, intimidé. Mais le consul, extatique, ouvrait déjà devant lui une carte qui n’accentua que plus son euphorie. Puis, se retournant vers le jeune officier, il l’interpella. - « Quels sont vos états de service, capitaine ? » - « Sept campagnes, excellence. Sous-lieutenant à la campagne verte, Lieutenant à la Maur’ya, Capitaine aux Titanides. Géographe au 4e corps d’armée d’abord, puis au régiment du génie de la moyenne-garde, et aujourd’hui à l’état-major. » - « Bien, tu es un brave, tu as des enfants ? » - « Deux, excellence. » - « Ils peuvent être fiers de toi. Tu as passé ces derniers mois loin d’eux, mais tu nous as rendu un fier service en nous portant ces cartes ! Mon garçon, je te nomme Commandant ! Tu prendras tes fonctions dans ton unité, va ! » Déclara le consul. Le capitaine, à ces mots, salua avec déférence et se retira. Dans la salle, on tourna encore un instant autour des cartes, mais tous reprirent en quelques minutes leur place. La réunion touchait à sa fin, aussi le consul vint à conclure. - « La guerre, mes amis, est encore une fois à nos portes. Nous la connaissons bien, car c’est une vieille amie ; aussi ne la craignons-nous plus. Je connais votre valeur, mais je sais ce qu’un excès d’assurance peut entrainer de malheurs. Quand nous partirons en campagne, marchez avec assurance, mais mesurez vos pas ; et ne pêchez ni par orgueil ni par paresse. Préparez vos batailles, relisez vos cartes, visitez vos généraux et passez vos troupes en revue. Au reste, il conviendra aux dieux de jeter nos dés, mais il nous appartient de défier le sort. Advienne que devra. » Et tous, à ces mot, se levèrent. - « Advienne que devra. »
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Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création de 16PNJs sur Novi: - Novi citoyen H1 - Novi citoyen H2 - Novi citoyen H3 - Novi citoyen H4 - Novi citoyen H5 - Novi citoyen H6 - Novi citoyen H7 - Novi citoyen H8 - Novi citoyenne F1 - Novi citoyenne F2 - Novi citoyenne F3 - Novi citoyenne F4 - Novi citoyenne F5 - Novi citoyenne F6 - Novi citoyenne F7 - Novi citoyenne F8 (que ces civils cette fois, encore) Total: 16x300 soit 4800PAs. Argent décompté de la caisse commu de la garde volontaire. -
[Important] Nouvelle capitale et relogement
Pencroff a répondu à un sujet de Pencroff dans New Stendel - la capitale
Hello, Les parcelles sont désormais disponibles à tous ! Pour en obtenir une, il suffit d'y faire un ticket. Le prix de la parcelle est celui du cuboid. Attention, premier arrivé, premier servi ! Attention également: toutes les parcelles n'ont pas encore été ajoutées: il n'y a pas encore de commerces et d'autres habitations seront ajoutées lors de la prochaine update de la capitale ! Si vous ratez cette occasion d'obtenir une maison, vous pourrez retenter votre chance ! Des topics seront créés sur le forum pour faciliter le suivi des parcelles, mais pour l'instant, les tickets suffisent. Faites un ticket sur place, un gouverneur vous contactera avec le devis. Une fois le paiement effectué le cubo sera créé. -
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Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création de 16PNJs sur Tolwhig: - Tolwhig citoyen H1 - Tolwhig citoyen H2 - Tolwhig citoyen H3 - Tolwhig citoyen H4 - Tolwhig citoyen H5 - Tolwhig citoyen H6 - Tolwhig citoyen H7 - Tolwhig citoyen H8 - Tolwhig citoyenne F1 - Tolwhig citoyenne F2 - Tolwhig citoyenne F3 - Tolwhig citoyenne F4 - Tolwhig citoyenne F5 - Tolwhig citoyenne F6 - Tolwhig citoyenne F7 - Tolwhig citoyenne F8 (que ces civils cette fois, impossibru) Total: 16x300 soit 4800PAs. Argent décompté de la caisse commu de la garde volontaire. -
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Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création de deux PNJs sur Tolwhig, paiement de 600PAs fait depuis la communauté de la garde. -
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Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création d'un PNJ sur Novi, paiement de 300PAs fait à l'instant. -
Pour projet Les Zones d'Ambiance
Pencroff a répondu à un sujet de Lettow dans NPC & Décoration & Flypath
Création d'une zone d'ambiance sur Fort Herobrine, paiement de 25PAs fait par Thalkion ! -
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Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création de 3 PNJs sur Novi, paiement de 900PAs fait à l'instant. -
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Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création de 4 PNJs sur FH, paiement de 1200PAs fait à l'instant -
Pour projet Les Zones d'Ambiance
Pencroff a répondu à un sujet de Lettow dans NPC & Décoration & Flypath
C'est fait ! -
Garde Volontaire, Fort Herobrine, Commandement, 15 Holevent de l'an de grâce 308, Par le Maréchal Pencroff, inspecteur général de l'armée, Pour publication à l'ordre du jour de l'armée. Réforme des demi-brigades d'exploration. Préambule Ces dernières décennies, les bataillons d'exploration de la garde avaient connu une montée en puissance qui avait conduit à la création de deux demi-brigades d'exploration. Ces deux demi-brigades étaient alors composées de deux bataillons d'infanterie au modèle des régiments d'infanterie légère, et d'un escadron de cavalerie mixte composé de dragons et de hussards. L'idée de cette nouvelle formation était d'accroitre considérablement les capacités opérationnelles de ces demi-brigades, de sorte à les déployer seules sur des opérations complexes et lointaines, dans un contexte d'extension des horizons opérationnels de la garde et de la montée en puissance de cette dernière. Malheureusement, cet accroissement massif de la taille de ces unités a montré de nombreuses limites qui ont entravé leur fonctionnement. En effet, ayant vu leurs effectifs passer de 500 personnels à quelques 2000, l'emploi des demi-brigades a demandé des efforts logistiques considérables et a ajouté une inutile complexité de commandement, mais a surtout rendu beaucoup moins efficaces et fluides les opérations de ces unités devenues trop lourdes. En outre, il s'est avéré fort compliqué d'articuler des opérations complexes à partir du large panel d'unités présentes au sein des demi-brigades: chasseurs, voltigeurs, carabiniers, dragons et hussards. L'emploi de tant de formations diverses a considérablement compliqué leur gestion et leur commandement, là où les opérations qui leur étaient dévolues demandaient un juste équilibre de fluidité et d'encadrement. Pour ces différentes raisons, il a été décidé de remodeler complètement les unités d'exploration, afin de simplifier leur emploi et de réadapter la taille des unités aux besoins des missions qui leurs sont habituellement confiées. Contenu de la réforme Changements d'échelons La première, et plus importante, mesure de cette réforme est la réorganisation des échelons des unités d'exploration. La demi-brigade, jusqu'alors devenu l'échelon de manoeuvre, servira désormais d'échelon administratif dont la seule fonction sera de superviser et d'organiser le déploiement des bataillons. Une compagnie de commandement est donc conservée sous l'égide directe de l'état-major de la demi-brigade afin de répondre aux besoins de logistique et d'intendance. Le bataillon, échelon originel de ces unités, redevient l'échelon de manœuvre stratégique. Dès lors, ce sont donc les bataillons et non les demi-brigades qui sont déployés sur les opérations, revenant à un effectif de 500 hommes projetés. Cette réduction de l'échelon et des effectifs doit permettre une meilleure dissolution de l'unité sur le terrain qu'elle doit reconnaître, et simplifier le commandement des sous-unités du bataillon. Un état-major bataillonnaire est créé pour superviser la conduite de l'opération sur le terrain en autonomie. Le groupe, nouvel échelon remplaçant la compagnie dans le cadre spécifique des bataillons d'exploration, devient ici l'unité de manœuvre tactique. Il compte 100 hommes. Sous le commandement de l'échelon bataillon, les groupes sont alors chargés de se séparer et de remplir les différentes missions qui composent l'opération. Sur le terrain, les groupes peuvent donc agir indépendamment les uns des autres, et doivent s'appuyer sur leurs propres sous-unités pour remplir leurs objectifs. Le peloton, sous-unité du groupe, devient l'unité de manœuvre avancée; c'est à dire au plus près des objectifs. Un groupe compte quatre pelotons de 25 hommes répartis comme suit: Deux pelotons de reconnaissance, un pelotons d'appui et un peloton de réserve. Changements dans l'arborescence du commandement Le commandement de la Demi-brigade est confié à un Général de brigade, secondé d'un colonel au rang d'adjudant-commandant. Ce commandement peut, à défaut, être attribué à un colonel expérimenté. Le commandement du chaque bataillon est confié à un Lieutenant-colonel ou à un Commandant, en fonction des besoins et des disponibilités. Dans tous les cas, il s'agit d'un officier supérieur issu des unités d'exploration et promu en son sein, sauf exception. Le commandement des groupes est attribué à un Capitaine, mais peut dans certains cas être confié à un commandant. Le commandement des pelotons peut être confié à un lieutenant, un sous-lieutenant ou dans certains cas à un adjudant. Création d'une nouvelle spécialité interarme Comme il a été mentionné dans le préambule, l'utilisation simultanée de compagnies d'infanterie et de cavalerie issues de formations différentes s'est révélée inutilement compliquée et handicapante dans la réalisations des missions dévolues aux unités d'exploration. Pour palier à cela, il a été décidé que les soldats des bataillons d'exploration seraient à présent formés aux combats montés et démontés, de sorte à pouvoir s'adapter aux nécessités du terrain et du moment. Cette nouvelle formation unique aux unités d'exploration prend désormais la désignation de "Chasseur-éclaireur". Ces soldats deviennent alors des troupes hybrides, facilitant leur action en autonomie.
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Déplacements de navires et zeppelins par copie
Pencroff a répondu à un sujet de Pencroff dans NPC & Décoration & Flypath
Hello, C'est fait ! -
24 Iffélia de l’an de grâce 307 Grand Quartier Général de la Garde Volontaire, Fort Herobrine, Stendel De l’état-major du Maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs Pour l’état-major général de l’armée et la maison militaire du Premier Consul Opération « Moloch » Non confidentiel, rapport destiné au classement et à la documentation. Maréchal, Premier Consul, J’ai l’honneur de vous rendre compte des faits suivants. Comme vous le savez, le 41 Fifrelune de l’an de grâce 141, un groupuscule d’enchanteurs praticiens des arcanes obscures avaient rendu possible, par une honteuse conspiration, l’invocation sur notre monde d’une engeance démoniaque qui ; après les avoir massacrés, s’était évanouie dans la nature en échappant à tout contrôle. Cet incident, inédit à l’époque, avait donné lieu à la prohibition de la magie noire par nos services, avec les conséquences que cela impliqua jusqu’en l’an de grâce 223. Si la prohibition a, pendant ce laps de temps, eu des effets fort bénéfiques dans la limitation des débordements liés à l’utilisation des magies occultes ; elle n’avait malheureusement pas permis de retrouver la trace du démon, que l’enquête minutieuse de la gendarmerie a permis d’identifier sous le nom de « Moloch ». Or c’est justement de la réouverture récente de cette enquête qu’est venue, dans les premiers mois de l’an de grâce 307, la conclusion de cette embarrassante affaire. En effet, reprenant les bases du dossier et des rapport laissés par ses pairs, le commandant Desjardins est parvenu à remonter une piste qui avait à l’époque été abandonnée faute de moyens et de connaissances en sorcellerie. Formant une cellule d’investigation composée de chasseurs de démons et de mages de la moyenne-garde, le commandant Desjardins a pu identifier une série d’acteurs qui étaient passés entre les mailles de notre premier filet et qui, après des interrogatoires appuyés, ont donné à nos services de précieuses informations. Ces nouvelles données ont permis d’identifier un secteur géographique dans lequel un recoupement d’informations issues des archives du commissariat à la sûreté consulaire semblait indiquer une étrange concentration de disparitions inquiétantes sur une large plage de temps. En d’autres termes, la cellule d’enquête a identifié un « point chaud » dans lequel il y avait fort à penser que le démon avait trouvé refuge et vivait terré. Informé de ces rebondissements, le général d’armée Thalkion, colonel-général de la Gendarmerie, m’en a immédiatement fait le rapport. Devant l’importance de cette découverte, j’ai immédiatement ordonné la mise en place d’une demi-brigade de conjuration, premier dispositif du genre, dont je prenais le commandement en personne dans le souci d’assumer ce que je considère comme le fruit d’un manquement de ma part dans les investigations de l’époque. Je réunissais alors autour de moi une compagnie de la Gendarmerie d’élite dont je confiais le commandement au commandant Desjardins, une section de chasseurs de démons sous le commandement de Commandant Lauzier, une section de mages de la moyenne-garde sous le commandement de l’archimage de 3e classe Moebius ainsi que deux bataillons de voltigeurs de la jeune-garde. Fort de ces moyens, je m’engageais donc dans une vaste opération de recherche et destruction dans la zone désignée par les investigations de la gendarmerie, et qui se trouvait être la Forêt d’Estaroth dans l’Est Stendelien. Arrivé sur place, et dans le souci d’assurer la sécurité des rares populations civiles vivant dans la région comme des nombreux voyageurs empruntant ses routes ; je demandais le renfort d’un bataillon de gendarmerie consulaire pour entraver les voies et interdire l’accès à la forêt. Une fois la zone isolée, j’ordonnais alors le commencement des opérations. Les deux bataillons de Voltigeurs, particulièrement aguerris aux missions de reconnaissance, se scindèrent alors en pelotons de recherche commandés par des officiers du bataillon des chasseurs de démons et appuyés par des gendarmes d’élite. Ces pelotons effectuèrent alors un tapissage méticuleux de la forêt, qui dura quatre jours, avant de finalement identifier une aspérité rocheuse ouvrant sur un réseau de galeries apparemment occupées. Les gendarmes d’élite ne tardèrent pas, aux abords de l’entrée des galeries, à relever les traces de pratiques occultes des plus dérangeantes, ainsi que les restes de rites sacrificiels d’une nature odieuse. Le doute n’était dès lors plus permis : un démon, ou du moins une engeance maléfique avait vécu ici. Assumant mon rôle et ma responsabilité, je prenais alors le commandement direct d’une colonne de conjuration composée de l’effectif complet de la section de chasseurs de démons ainsi que d’un groupe de gendarmes mené par le commandant Desjardins. Je descendais alors dans l’abîme suivi de ces troupes d’élite, décidé à terminer ce volet de l’histoire de la Garde et à abolir l’existence de ce démon. Notre chemin dans ce dédale fut jalonné de visions abominable qui, j’ose le dire, m’ébranlèrent personnellement malgré ma grande habitude des champs de bataille. Plusieurs hommes, des plus robustes et aguerris pourtant, durent remonter à la surface pour ne pas succomber à l’effroi, tant le spectacle sanglant et putride s’empirait à mesure que nous descendions. Finalement, nous arrivâmes dans une vaste cavité concave au sol plat et aux parois hautes ; dans laquelle le sol semblait tapissé de restes humains divers. Sans surprise, la bête s’y trouvait, en proie à une sorte d’hibernation, couchée sur un lit de pierre aux allures de monolithe. Le commandant Desjardins, qui avait étudié les rapports d’époque et les déclarations des témoins qui avaient aperçu le monstre, reconnut alors le démon « Moloch ». Nous restâmes tous immobiles, prenant le mesure de ce que nous avions face à nous. Évidemment, puisque la bête semblait en sommeil, il me sembla hors de question de risquer inutilement la vie de mes hommes dans une confrontation. Je décidais alors de faire remonter un homme porteur d’un ordre, intimant au contingent resté en surface de faire venir sur le champ une escouade de sapeurs et une large quantité d’explosifs. J’ordonnais également que les troupes descendues avec moi se tiennent à distance du monstre, en attendant de recevoir les renforts que j’avais fait mander. Il fallut une journée entière pour que, dépêchés depuis Middenheim, nous soyons rejoints par les sapeurs de la 17e section du 2e régiment du génie. Ces derniers, comme nous avant eux, descendirent avec grand peine dans le dédale horrifique de tunnels jonchés de restes humains de toutes natures. Ils n’en arrivèrent pas moins à notre hauteur, ayant apporté à bras d’hommes dix barils de poudre. Sans perdre de temps les sapeurs, protégés par les chasseurs de démons, installèrent autour du monolithe et de la créature en sommeil les dix barils ; qu’ils raccordèrent par une longue mèche de mise-à-feu. Pendant qu’ils procédaient à ces préparatifs, j’envoyais un homme à la surface pour indiquer aux voltigeurs et aux gendarmes qui s’y trouvaient mon intention de faire sauter le monstre et pour leur intimer l’ordre à se tenir prêt à combattre si d’aventure les explosifs ne devaient pas suffire à venir à bout de la menace et que nous nous fassions tous massacrer sans pouvoir empêcher le « Moloch » de regagner la forêt. Enfin, les préparatifs terminés, nous nous repliâmes de la grande cavité pour nous abriter dans un boyau adjacent. De là, après avoir compté mes hommes, j’ordonnais la mise à feu. Une violente déflagration ébranla la roche autour de nous, et une formidable onde de choc parcourut des galeries jusqu’à notre abri ; laissant à penser que la charge de poudre avait fait son office. Par sécurité, et pour éviter d’être incommodés par les fumées âcres qui résultent des explosions, j’ordonnais alors d’attendre dix minutes avant de se lancer dans une reconnaissance de la cavité. Lorsque nous y retournâmes, ce ne fut que pour découvrir avec horreur que la détonation, bien que puissante, n’avait pas suffi à tuer la bête. Le Moloch se tenait devant nous, éveillé, son corps corrompu affreusement mutilé par l’explosion dont il ne s’était pas tout à fais remis. Une substance visqueuse s’écoulait de ses plaies, à l’endroit où par symétrie je devinais qu’un membre avait été amputé. Le démon, qui ne nous avait pas encore aperçu, poussa alors un hurlement sordide. J’ordonnais immédiatement le feu à volonté, et déclenchais en direction du démon une violente salve de mousquetons. La créature hurla de plus belle, visiblement atteinte, mais cela ne sembla pas suffire à entamer sa vitalité. Le moloch se tourna alors vers nous, sonné mais conscient. Un âpre combat commença alors, la bête usant contre nous à la fois de magie occulte et d’attaques physiques, déployant à volonté des sortes de racines qu’elle pouvait étendre à volonté et dont les coups fendaient sans mal les roches de granit derrière lesquelles nous tentions de nous abriter. Dans la mêlée, les chasseurs de démons de la moyenne-garde utilisèrent alors contre elle plusieurs armes destinées à la conjuration qui avaient été développées pour eux par le génie. En outre, les quelques mages de la moyenne-garde qui s’étaient joint à l’expédition furent dans cette lutte d’une grande utilité. Enfin, après plus d’une demi-heure de combats, nous parvînmes à venir à bout de la créature, qui succomba non d’un coup fatal mais de la somme de tous les coups que nous lui avions portés, ainsi que d’une hémorragie provoquée par l’explosion et empirée par les blessures qui suivirent. Malheureusement, nous eurent à souffrir de la pertes de sept gardes, dont les corps furent remontés à la surface pour rapatriement. En outre, quinze blessés vinrent s’ajouter à l’état des pertes, et furent pris en charge par le chirurgien bataillonnaire et son équipage. Par sécurité, j’ai alors ordonné que l’on démembre la bête et que l’on incinère ses cendres au sein même de la cavité. Quand ce fut fait, notre groupe regagna la surface, laissant la place aux sapeurs du génie à qui je confiais la tâche de détruire le réseau de galerie. Il fallut une journée, encore, pour que ces derniers achèvent les travaux de sape des cavernes et la mise en place des explosifs qui allaient leur permettre de faire effondrer la cavité et ses boyaux qui y conduisaient. Les mines de sape en place, je veillais à la destruction totale des cavernes, avant de finalement reprendre la route de Fort Herobrine. J’ai donc l’honneur de rendre compte, mon Consul, de l’abolition de cette menace et de la mort du démon « Moloch ». J’attire également votre attention sur les services éminents rendus par le commandant Desjardins de la gendarmerie d’élite, dont le travail d’investigation et la bravoure personnelle ont été pour beaucoup dans le succès de cette opération. Je vous le recommande donc pour une promotion au grade de lieutenant-colonel, et pour une citation à l’ordre de l’armée. J’aimerais également demander des citations pour les gardes suivants : Une citation à l’ordre de l’armée pour le commandant Lauzier et l’archimage Moebius. Une citation à l’ordre de la garde consulaire pour les officiers, sous-officiers et gardes de la gendarmerie d’élite, de la gendarmerie consulaire, des mages de la moyenne-garde et des chasseurs de démons présents au cours des opérations. Enfin, pour revenir sur nos pertes, j’aimerais porter à votre attention la mort des gardes suivants : - Le Capitaine Felix Monto, des chasseurs de démons - Le Lieutenant Maxime Carier, de la gendarmerie d’élite - Le Lieutenant Thomas Liotey, des chasseurs de démons - Le Sergent-major Charles Lazko, des chasseurs de démons - Le Sergent Andréa Taicho, des chasseurs de démons - Le Sergent Merime Kerino, de la gendarmerie d’élite - Le mage de 2e rang Vlad Hoffman, des mages de la garde J’ai également demandé une citation à l’ordre de l’armée pour ces gardes, en plus de l’attribution de la croix du sang versé qui leur est dûe. J’aimerais également faire citer à l’ordre du corps d’armée les quinze blessés, dont la liste sera communiquée ultérieurement par le Colonel Pierrot. Avec mes salutations, Le Maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs, inspecteur-général de l’armée.
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[Important] Nouvelle capitale et relogement
Pencroff a répondu à un sujet de Pencroff dans New Stendel - la capitale
Hello ! Effectivement, déplacer l'ancienne île sur Nimps va poser quelques soucis de place et en terme tant de vue que d'accessibilité ça risque de pas être idéal. Cela dit, sur le plan technique il risque d'être un peu compliqué de créer une nouvelle map pour ce seul usage, pour un public aussi réduit. Une autre idée qui m'a été soufflée par Xadrow serait d'envoyer l'ile volante sur Nabes, hors des frontières, au milieu du ciel et au dessus de la mer de nuages. L'ile serait accessible par un portail en capitale et passée en cubo tourisme, mais on laisserait aux anciens propriétaires la possibilité de faire faire un sous-cubo sur leur parcelle pour continuer à y avoir accès. On y remettrait une petite zone d'ambiance et quelques PNJs histoire de donner un cadre sympa, et l'ancienne-ville pourra continuer à exister comme lieu touristique et de résidence; mais sera juste non-canon en terme RP. Ça m'a semblé être un bon compromis, est-ce que ça conviendrait ? -
[Important] Nouvelle capitale et relogement
Pencroff a répondu à un sujet de Pencroff dans New Stendel - la capitale
Hello ! Effectivement pour le quartier noble il faudra attendre qu'il soit construit et ajouté, mais il y aura de nouveau un délai d'un mois pendant lequel l'accès aux parcelles sera réservé aux anciens propriétaires; Ce sera le cas à chaque ajout de quartier, de sorte à ce que les anciens propriétaires qui souhaitent attendre un quartier qui leur conviennent mieux soient certains de pouvoir se reloger avant que les parcelles soient ouvertes à la vente o/ pour ce qui est de nimps, je pensais installer l'île en hauteur près de la copie existante de la très ancienne NS mais j'avoue qu'on a pas précisément regardé où encore. -
[Important] Nouvelle capitale et relogement
Pencroff a posté un sujet dans New Stendel - la capitale
Bonjour à tous ! Comme vous le savez, la capitale de New-Stendel a entièrement fait peau neuve ! L'ancienne ville, temporairement déplacée corps et biens sur Novum, sera bientôt installée sur Nimps où elle deviendra un site historique visitable. La nouvelle ville, elle, vient d'adopter sa nouvelle place dans le ciel neostendelien. Ces dernières semaines, il avait été proposé aux anciens propriétaires de parcelles de récupérer leurs biens sur la copie temporaire de la ville. Cela est toujours possible, mais nous pouvons maintenant vous proposer la suite du plan ! En effet, un premier quartier ayant été reconstruit, il vous est désormais possible de vous y installer gratuitement et en priorité ! Mais attention, cela n'est possible que pour les anciens propriétaires, et l'exclusivité de l'accès aux parcelles ne durera qu'un mois, après quoi les parcelles seront mises en vente à tous les joueurs du rang de citoyen et plus ! Pour obtenir une nouvelle parcelle gratuite, c'est très simple: Répondez à la suite de ce topic avec le nom de votre ancienne parcelle, si possible le lien de votre achat ou autre preuve. Faites un ticket sur la parcelle de votre choix, pour peu qu'elle soit libre. Vous pouvez également voir en direct en jeu avec un gouverneur si vous en croisez un. Ceci étant dit, attention ! La nouvelle capitale connait une charte architecturale particulière ! Comme vous pouvez le constater sur place, les parcelles sont déjà construites. Vous pouvez vous installer directement et prendre possession des lieux, ou demander à ce que la parcelle soit remise à plat pour construire votre propre demeure. Mais dans ce dernier cas attention: votre construction doit se fondre dans son environnement et respecter le style de son quartier. Veillez à utiliser des matériaux et des couleurs proches s'il vous plait ! Bon jeu à tous ! -
Les PNJ décoratifs pour projets
Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création d'un PNJ sur Fort Herobrine, paiement de 300PAs fait à l'instant ! (aussi xadrow j'ai retiré la respiration sur le NPC de ton portoir d'armure) -
Oyez oyez mesdames et messieurs, Depuis hier soir 20h, le concours de farm de l'évènement de reconstruction de NS est terminé et nous disposons enfin, après un méticuleux décompte, du classement final ! Vous avez été non moins de 53 à participer, et New-Stendel vous en remercie ! Nous vous donnons d'ailleurs rendez-vous ce dimanche 16 octobre en fin d'après-midi pour découvrir ensemble le premier quartier de cette nouvelle capitale, après (ou avant) quoi nous commencerons la distributions des nombreuses récompenses ! Notez qu'alors qu'un seul accessoire était prévu en récompense de palier, trois accessoires seront en fait distribués à toutes les personnes ayant franchi les paliers suivants: - Un accessoire pour tous les participants ayant marqué plus de 100 points - Un autre accessoire pour tous les participants ayant marqué plus de 1000 points - Un dernier accessoire pour tous les participants ayant marqué plus de 5000 points Evidemment, cela s'ajoute aux shulkers de récompense et autres minetoys prévus pour les personnes ayant marqués entre 500, 2000 et 5000 points ! Mais trêve de tergiversations, passons maintenant à l'objet de ce message: le très attendu Classement Général ! Sur le podium, d'abord En 1ère place: Wariow, avec un total de 51 644 Points ! En 2nd place: Polichaud, avec un total de 51 033 Points ! En 3e place: Le trio Jihair, MrFaclar et Napo50 qui ont tous accumulé 49 000 Points ! Tous les cinq repartiront avec 10 000PAs et le choix entre un accessoire ou un item unique. Ils sont suivis de près par les deux autres joueurs du top 5: En 4e place: Titi-Montagnard, avec un total de 20 400 Points En 5e place: Feustein, avec un total de 150806 Points Tous les deux gagnent également la somme de 10 000PAs ! Dans le top 10, nous retrouvons: En 6e place: Grisbi_Fr avec 14 000 Points En 7e place: Darkalne avec 11 111 Points En 8e place: Le quatuor Hrigou, Kleig_korliob, Lugnasad et Rtdu24 avec 5 300 Points En 9e place: Skykkou avec 5 276 Points En 10 place: BossK8teur avec 5 003 Points Tous repartent avec la somme de 5 000PAs ! Dans le top 15, nous retrouvons: En 11e place: _Galaxian_ avec 4 554 Points En 12e place: Juxyo avec 3 117 Points En 13e place: ReNoLife avec 2 726 Points En 14e place: Pierrot avec 2 000 Points En 15e place: Nerofir avec 1 294 Points Tous repartent avec la somme de 2 500PAs ! Enfin, hors-top nous retrouvons tous les autres valeureux participants: Thalkion avec 1 210 points Fabio5973 avec 1 176 points Raidentiger avec 1 063 points Kehnte avec 709 points Carnegie_Fr avec 660 points Stalroc avec 648 points Dudbreak avec 553 points Shalaevar avec 546 points Guillaume73 avec 505 points Lakorah avec 503 points Ankorkibil avec 503 points Lorewin avec 501 points Alexas avec 501 points Squirkiz avec 486 points Le_loup_garou avec 339 points Sabowh avec 294 points Yanniches avec 232 points Hearl avec 223 points Okuubokuu avec 152 points FitchII avec 130 points StrangerP avec 115 points Makiange avec 108 points Gloryflix avec 105 points Antho61 avec 104 points Lettow avec 104 points Xadrow avec 100 points SherlokkJr avec 100 points Lahgolz avec 46 points Meikah avec 46 points Minerator81 avec 27 points Evantelmo avec 22 points Ewina avec 13 points Et pour finir _Mapper avec 1 point Il se peut qu'il y ait une disparité de 1 à 5 points entre votre score affiché ici et les points comptés dans votre journal de réputation, si c'est le cas et que ça impacte votre classement n'hésitez pas à nous MP pour corriger le souci. Encore félicitations à tous les participants, à dimanche et bon jeu à tous !
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Les PNJ décoratifs pour projets
Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Hello, C'est fait ! -
Les PNJ décoratifs pour projets
Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création de 17 PNJs sur Fort Herobrine, paiement de 5300PAs faits à l'instant. Edit: ajout de 3 créations, prélèvement de 900PAs sur la commu de la garde volontaire -
FreeField : Libérez votre créativité - Demande de copie de bâtiments
Pencroff a répondu à un sujet de Thorgrin dans FreeField - le monde créatif
Hello, C'est fait ! Bon jeu ! -
Les PNJ décoratifs pour projets
Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Création de deux PNJ pour Fort Herobrine ! Paiement de 600 PA's fait à l'instant. -
Les PNJ décoratifs pour projets
Pencroff a répondu à un sujet de Antenio dans NPC & Décoration & Flypath
Spawn de 10 PNJs sur Mirovitch, paiement de 1000PAs fait à l'instant (aussi fait pour la commande de wariow) -
58 Pampélune de l'an de grâce 305, Château des empereurs de Stendel, Le gouvernement impérial, par la voix du gouverneur Pencroff, agissant en délégation du gouverneur Squirkiz sur sa demande. À l'attention du gouvernement de la République de Freiwald, Au Grand-Ouest Stendelien, Freiwald. Chers membres du gouvernements de Freiwald. Nous avons bien reçu votre missive datée du 14 Léroilia de l'an de grâce 301 qui annonçait, en votre qualité d'intermédiaire diplomatique, la volonté des populations locales de Bruyère de faire valoir leur existence par la reconnaissance officielle de leur contrée. Nous avons également pris acte de la volonté d'union entre les peuples d'Eryn, de Murae et de cette nouvelle région Bruyère en un territoire placé sous la régence de la république de Freiwald et dénommé, sauf erreur de notre part, Sherwood. Il est plaisant de voir que la vie suit à présent un cours paisible dans cette région, à plus forte raison après les drames qu'ont été l'incendie et cette guerre aux émeraudes qui ont si violemment meurtris ces pauvres populations. Il est, à ce propos, toujours regrettable de voir des sujets de l'empire se déchirer et combattre pour des questions aussi triviales que la possession de richesses minérales; aussi abondantes fussent-elles. Il est d'autant plus révoltant que ces conflits soient provoqués par des factions sans aveux usurpant éhontément le service du bien commun pour satisfaire leur intérêt financier, au nom de l'empire qui plus est. Il n'est nul besoin pour l'empire de contrôler quelques émeraudes dont il ne saurait quoi faire; et il existe bien assez de véritables croisades à mener pour assurer la sécurité de la population civile pour que l'empire ne s’embarrasse de contrefacteurs en quête de futiles pierreries. Je me réjouis donc que cet épisode fâcheux se soit clos par la disparition de ces importuns usurpant des noms et des causes qui me sont chers à titre personnel, et qu'ils ne saliront désormais plus. La lutte pour la défense des peuples doit être désintéressée, et sa voie pavée d'honneur, il ne saurait en être autrement. Enfin il nous semble des plus satisfaisant que le peuple de Sherwood se soit désormais rendu maître de ces précieuses ressources dont le commerce semble avoir assuré sa prospérité pour le siècle à venir. La question, plus épineuse, de la capture du territoire de Bruyère comme prise de guerre ne s'est, en passant, pas avérée si problématique car dans la mesure où il n'était jusqu'à présent ni administré ni peuplé par personne, cela ne ferait en réalité qu'une épine en moins dans le pied de l'autorité impériale des forêts; si je puis me permettre l'expression. En somme, pour en revenir à notre réponse à vos requêtes, j'ai l'honneur de vous faire part par le présent document de leur acceptation par les autorités impériales. Toujours attaché à la prospérité et à la liberté des populations, l'empire accorde à la nouvelle "contrée de Bruyère" la reconnaissance du statut de territoire. L'empire accepte également la réunion des territoires d'Eryn, de Murae et de Bruyère et reconnait leur existence nouvelle sous le nom de "contrées de Sherwood". Pour finir, l'empire avalise le protectorat assuré sur ces territoires par la république de Freiwald, dans la continuité de ce qui était en vigueur à Murae et Eryn. Puissiez-vous, gouvernants de Freiwald, veiller à la prospérité de ces terres et assurer à son peuple paix, abondance et sérénité. Avec nos salutations les plus impériales, Le gouverneur Pencroff, pour l'autorité impériale des territoires.