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Je suis totalement de l'avis de mon voisin du dessus. Il serait indispensable ( pour ne pas voir les écrits de mauvaise qualité noyer les vrais livres, dignes d'intérêt ) d'instaurer une législation à ce sujet. Je suis pour le fait d'avoir une licence de Scribe, ça serait pas mal du tout. Seuls les scribes auraient alors accès à la totalité du Mod, les autres ne pouvant écrire que quelques phrases. On verrait alors de réelles bibliothèques sérieuses se construire, regorgeant de savoir et d'histoires. Aaaah, Alexandrie !
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Pas d'usine par pitié ! Minefield restera une terre se battant pour la survie des animaux dans un état de félicité !
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Le fracas me réveilla en sueur. Un bruit de bois brisé, jamais très bon à entendre sur un navire de la taille de celui sur lequel je vivais. Le Maelström subit deux nouveaux tremblements avant d’entendre une volée de détonations fendre l’air accompagnée de cris. Je jaillis de ma couchette dans le pont arrière et courut comme un diable sur le pont. La lumière du jour levant m’aveugla, et il me fallut quelques secondes avant de pouvoir retirer ma main de mon visage encore endormi. Ce que je vis me réveilla de suite : le vaisseau du Prince nous pilonnait d’une distance de presque un kilomètre. Nos canons ne faisaient pas le poids et la bordée que j’entendis tirer quelques instants plus tôt avait dû s’écraser à tout au plus deux longueurs de vaisseau du pont. Des cris fusaient de partout, les marins, pour la plupart réveillé comme moi, furent pris sur le vif et beaucoup fixaient mon père tout en s’affairant à d’urgentes tâches. Il manœuvrait la barre d’un air extrêmement concentré pour éviter les bordées du navire royal et nul ne songeait à le perturber ; il en allait de la survie de tout l’équipage. Tant que nous ne serons pas à portée de tir, aucune chance de riposte et nous formons une cible idéale. Je vis un morceau de la rambarde du pont qui avait volé en éclat, heureusement ne blessant personne. -« Canonniers ! Rechargez les fûts tribord en priorité ! Et toi mon petit va donc hisser cette foutue grand-voile ! On ne va pas se laisser faire comme ça ! » C’était Mac. L’éternel compagnon de voyage de mon père. Il avait été plus vaillant dans le passé et on racontait des histoires incroyables à son sujet, qu’il écoutait en souriant légèrement. Aujourd’hui, il était soutenue par une béquille, sa jambe gauche infirme suite à une maladie et avait perdu un œil à cause d’une rixe dans une taverne. Un coup de sabre mal placé disait-il une fois, ou bien un coup de choppe à bière. Je ne pense pas qu’on saura la vérité un jour. En tout cas je savais qu’il s’adressait à moi. Je le regardai et hocha la tête puis partir en courant escalader le grand-mât à l’aide du filet qui en pendait d’un crochet, une trentaine de mètres plus haut. Le Maelström était un fier vaisseau, sa coque brune avant vécue, ses quatre mâts supportés bien du vent et ses 80 canons fait bien des dégâts depuis que mon père l’avait racheté à la Couronne. Une fois arrivé en haut du mât, je défis les cordages et la voile tomba. D’abord mollement, une vive bourrasque la tendit avec un bruit de claquement effroyable et des clameurs s’élevèrent du pont supérieur. Je fis face à l’horizon. Notre navire avait beau être de taille et craint de la plupart des marchands, le Roi Philipp IV devait en avoir eu assez de nos pillages. Il nous avait envoyé son fils, un grand navigateur seulement âgé d’une trentaine d’année mais qui avait déjà bien plus vécu que nombre d’hommes sur cette terre. Son navire, la Rose Blanche respirait la puissance. Avec ses 140 canons, sa coque blindée de plaque d’aciers et ses mâts aussi haut que les collines du Plat Pays, il avait fier allure, m’avouais-je à moi-même. Sa coque noire et blanche fendait l’eau et la fumée s’échappait de la gueule furieuse du côté bâbord qu’il nous exposait, bien qu’hors de portée. Le drapeau de la famille royale flottait haut et clair au-dessus de leur grand-mât, mais ce n’est pas lui qui attira mon attention. Je distinguai un pavillon se hisser petit à petit. Bleu. Ce n’était que la tête de pont, l’éclaireur, de toute la flotte royale. Il fallait fuir ou bientôt des dizaines de navires de la taille du notre allaient venir de la même direction, et supporter leur amiral. Cependant, mon père, borné à son habitude, fit voile droit vers le Prince. Je savais qu’il avait vu le pavillon, mais cela ne lui faisait pas peur. C’était peut-être une bêtise qui allait nous coûter la vie à tous. J’entendis la voix de Mac hurler aux hommes qui commençaient à regarder le capitaine d’un air ahuri de se remettre au travail et d’obéir aux ordres ou sinon il s’occuperait personnellement d’eux une fois que nous serions au calme à nouveau. Sa loyauté envers mon père et son dévouement étaient sans-égal et bientôt, tous se remirent à leurs tâches. Je redescendis le mât à la vitesse de l’éclair, et m’approcha de mon père, debout seul sur le pont arrière. Je me plaçai un peu en retrait, je ne voulais pas le déranger juste lui faire savoir que j’étais présent. Il m’adressa alors la parole et me dit ceci : -« Il faudra qu’on parle après cet épisode, tu préviendras ta mère, elle est concernée aussi bien que toi. Maintenant cesse de te tenir comme un piquet et va donc aider les matelots ! Ne désobéis à Mac sous aucun prétexte. Suis-je bien clair ? » -« Oui mon capitaine. » Je me mis en route et descendit les marches qui séparaient la plateforme arrière du pont supérieur, en jetant un dernier regard à mon père, qui me sourit et me fit un clin d’œil. Ou peut-être l’ai-je rêvé. La Rose Blanche était maintenant à portée de nos canons et nos canonniers bavaient d’envie d’envoyer une salve sur le pont du Prince. Comme d’un seul homme, Mac vociféra de se tenir prêt à faire feu au côté tribord et mon père fit faire l’embardée la plus violente que j’ai connu à son navire. Le lourd Maelström pivota à une vitesse incroyable pour un navire d’une longueur de 45 mètres et j’eu l’impression que tout craqua à bord. Des mâts aux murs en passant par le mobilier. Le bruit était assourdissant et je me demandai si l’on n’allait pas se briser en deux sous l’assaut conjugué du vent et de notre inertie. Une fois parfaitement en face de l’ennemi, Mac hurla de faire feu et son cri recouvrit celui du bois torturé. S’en suivit une volée détonante, qui alla s’écraser directement entre les ponts inférieurs et supérieurs du vaisseau noir et blanc et arracha un morceau de bois équivalent à un tronc d’arbre. Un hourra se joignit aux derniers boulets, partis trop tard. Puis le drame. On entendit jusqu’ici la voix impérieuse du Prince qui commandait à ses hommes de faire face et feu. Le vacarme me vrilla les oreilles et je fus projeté contre le bastingage bâbord. Comment diable une telle puissance pouvait provenir d’un simple navire ? J’étais sonné et resta quelques secondes à terre, face contre le bois chauffé par le soleil. Lorsque je me levai, je vis l’effroi dans les yeux de mes voisins de pont. A moins de trois mètres gisaient six corps déchiquetés et toute la partie supérieure du mât avait été réduite en miette et balancée par-dessus bord, les morceaux touchant les mâts éclatant en de multiples obus sylvestres, dont certains vinrent se planter dans la peau des canonniers restant. Je me retournai et vis Mac. Il avait perdu son bandeau dans le souffle de l’explosion et son orbite vide était à présent à l’air libre. La chair rose et humide lui donnait un air de cadavre venu de l’outre-tombe chercher son dû. Il avait l’air encore plus remonté que d’habitude. -« On retourne à son poste, cria-t-il, on retourne à son poste, on le garde et on fait face ! Ce n’est pas une putain de bande de royalistes qui vont couler ce rafiot ! Rechargez et faîtes feu à volonté, ceux qui n’ont plus de canons, prenez vos mousquets et abattez moi ce cuistre de Prince ! » Il avait réellement l’air effrayant. Mon père, lui, impassible, luttait pour garder le navire dans la ligne du vent avec des mâts abîmés par l’explosion, et gagner de vitesse la façade de la Rose Blanche pour se placer devant-elle. Cette manœuvre nous rapprocha du Prince et je le vis, debout sur le pont, un pied sur le bastingage. Il portait un somptueux manteau blanc et avait de la carrure. J’aperçus mon père tourner la tête quelques secondes et le Prince lui dit quelque chose que je n’ai pas compris. Le fils du Roi se retourna et disparut du pont. Les minutes passaient. Les deux bâtiments rechargeaient les canons qu’ils leur restaient. Tous savaient qu’une deuxième bordée comme celle-ci nous serait fatale et nous enverrait par le fond. Mais de l’espoir subsistait, nous étions en train de gagner le lourd vaisseau blindé de vitesse et bientôt nous sortîmes de son champ de tir bâbord. Un second hourra s’éleva parmi les hommes et je vis Mac se joindre à eux, les bras en l’air. Bientôt nous fûmes face à leur proue, ornée d’une naïade d’or et d’opale, qui nous fixait d’un œil de rage, l’épée à la main. Le Maelström cracha ses derniers boulets contre cette statue de proue et elle vola en éclat pour s’enfoncer dans les eaux noires de la Mer du Sud. Nous avions endommagé le bâtiment ; de profondes lacérations laissaient entr’apercevoir l’intérieur même de la Rose Blanche. Je souris à cette vue : ainsi le titan n’était pas immortel, il pouvait saigner. Puis tout s’acheva très vite. La Rose Blanche fit une embardée tribord semblable à la nôtre mais plus extraordinaire encore ; telle une majestueuse créature des mythes, elle pivota dans un cri de souffrance et faillit percuter l’avant du Maelström. Elle était distante d’une dizaine de mètres, et le côté bâbord était chargé. Les canons royaux firent feu avec une puissance digne d’un cataclysme et s’en suivit le chaos. Je ne rappelle plus de rien ensuite. Tout ce que je sais c’est que je me réveillai dans ce qui restait du navire de ma famille, un morceau de coque miteux. Je ne vis pas mon père à bord, ni ma mère. Ni aucun marin d’ailleurs. Seul subsistait Mac. Il était affalé contre un monceau de débris et du sang se répandait de derrière son dos. Étonnamment je me levai vite et me jeta vers lui dans l’espoir de le trouver vivant. Il ouvrit son dernier œil, que je vis injecté de sang et me sourit. Il tourna faiblement la tête vers la droite, un trou dans notre abri et je suivis son regard. La Rose Blanche fonçait droit sur nous. Elle était à moins d’un kilomètre. D’ici moins de trois minutes nous mourrons écrasés par la formidable machine de guerre du Roi Philip IV. Son regard revint se poser dans le mien et il m’adressa quelques mots. Je tendis l’oreille et rapprocha mon visage du sien pour mieux les entendre. -« Je devais te passer ce message… De la part de ton père s’il lui arrivait malheur. Je t’en prie écoute-moi. Personne ne savait à bord, à part moi. Pas même ta mère. Tu es encore jeune, une fois que le Prince se sera suffisamment approché pour créer des remous, saute dans l’océan et fais le mort. Flotte, tout simplement. Ils partiront, et d’ici quelques heures tu pourras monter sur ce qui reste du Maelström et tenter de regagner un rivage amical. Maintenant je t’en prie, écoute ce que j’ai à te dire. Ton père n’est pas celui que tu penses. Je sais qu’il t’a conté maintes fois son enfance dans le Port de Frannois. C’était un mensonge inventé de toute pièce. Il a grandi à la Cour du Roi. » -« C’était un servant ? Demandais-je » -« Laisse-moi parler. Ton père n’était pas un servant. Il était bien mieux né que cela. Ce n’est autre que Jehan II, le fils du Roi Philip IV soi-disant perdu en mer à l’âge de 19ans lors d’un naufrage. La véritable histoire est que ton père aurait dû devenir héritier du trône à ses vingt-deux ans, comme le veut la loi, mais le Prince Joachim Ier, celui même qui nous arrive à toute vapeur dessus en ce moment même, songeait que les choses ne devaient pas se passer ainsi. Alors qu’il n’était le benjamin que de deux ans, il commanda un accident terrible. Le naufrage de la Santa-Anna n’était pas une erreur de cartographie comme on le dit. Mais bel et bien un crime de lèse-majesté contre ton père, le vrai Prince. J’étais avec ton père ce jour-là et je su trop tard la machination de Joachim Ier. Je ne pus rien empêcher et encore aujourd’hui je le regrette. Si tu savais à quel point… Le stock de poudre du vaisseau explosa durant la nuit et nous fument, pour ceux dont les corps n’avaient pas été transformés en charpie, jetés à la mer. Ton père et moi survécûmes. Nous décidâmes de revendiquer le vrai trône un jour ou l’autre et cette bataille en était l’élément final. Le Prince Joachim Ier devait mourir et ton père retrouver Philip IV et lui dévoiler la vérité quant à son fils parjure. Maintenant fuis, fuis petit ! Le Prince arrive et il va nous passer dessus si tu ne pars pas… » J’étais estomaqué. Puis reprenant mes esprits je serrai Mac dans mes bras et sentit qu’il me donna un coutelas richement orné dans la main droite puis je sautai à l’eau et cessa de bouger. Un grand fracas de bois brisé et un hurlement furent les derniers sons dont je me souviens avant de sombrer dans le froid et l’engourdissement. HRP Ceci retrace l'adolescence de mon personnage, Hytaj. J'espère que l'histoire vous aura plu, excusez moi pour les coquilles je n'ai pas relu le texte très consciencieusement, pressé de le publier après l'avoir écrit.
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Le tronc est aussi illuminé que la Tour Eiffel un soir de la St Sylvestre, cependant il est clair que des torches dans les branches ne feraient pas de mal, j'y suis mort ce soir, coincé dans les boyaux de l'arbre en compagnie d'un squelette et d'un zombie. Je pense que ce sera ajouté
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Arf, dommage, ça aurait rajouté un petit côté bucolique assez sympa.
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Merci, je vais me renseigner.
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Et les plus beaux poèmes de la littérature française
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Je n'ai pas tout lu, je ferait ça plus tard, promis ; mais en survolant je trouve le style très bien, largement au dessus de la moyenne ! Bravo L'Héroïc-Fantasy c'est pas franchement mon truc mais j'avoue que les histoires sont assez bien faîtes, de prime abord comme j'ai dit
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Est-ce que ce mod permet le copié-collé à la différence des panneaux du Vanilla ? C'est bien pratique pour les caractères spéciaux.
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Excusez-moi si ceci n'est pas la bonne section mais je n'ai pas aperçu de section " question " ou " aide " en particulier, bref, voici ma question : Est-il possible, sachant que l'ont peut tirer vers soi les animaux, de créer un enclos, dans lequel on entreposerai ( si j'ose dire ) des moutons afin de récolter leur laine ? Je ne parle pas d'élevage industriel, le bobo qui est en moi refuse même de faire ceci virtuellement, mais de trois ou quatre moutons dans un enclos de barrière.
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J'en avais assez, assez de toute cette vie, cette frénésie, c'est peut être triste à dire ; mais j'en avais assez. Un beau matin, je quitta New-Stendel et ses tours, ses foules de badauds et l'odeur prenante de déchets qui emplissait certaines de ses rues mal-famées. Je mis mon sac à dos, emporta mes maigres biens, se résumant à quelques planches, un coutelas, une pioche que mon grand-père adoptif m'avait offerte avant de mourir dans un éboulement dans les Mines du Nord, et une statuette trouvée sur le bateau qui l'avait amené ici et quelques livres, un bien rare par les temps qui courent. Je partis tôt le matin, dans cette clarté encore timide je me sentais invisible, un début de liberté ? Les escaliers descendus, l'air pur pénétra dans mes poumons et ne fit que renforcer ma décision. Je mis le cap vers la droite, est, ouest, nord, sud, peut m'importait, tant que je marchais. Je marcha des jours durant, infatigable, grimpant les plus haut monticules de terre, m'enfonçant dans le sable le plus profond et traversant difficilement les plus sauvages forêts ; faisant halte seulement quelques heures à chaque fois, pour manger des fruits ramassés de-ci de-là et boire l'eau des rivières. Au bout d'une durée qui me sembla longue comme mille et une journées, je vis la plus haute montagne qu'yeux humains eurent jamais aperçue. Un haut piton de terre et de pierre lisse comme le marbre, parsemée d'arbre plusieurs fois centenaires au vu de leur taille admirable. Un peu à gauche se trouvait un monticule à ma portée que je gravis, et là la surprise m'étreint. Ce paysage, d'un romantisme lyrique digne des plus grands poètes. Pas un de ces lyrismes qui vous chuchotent des mots doux à l'oreille, non : un lyrisme hurlant tel un ouragan à vous en vriller les tympans. Je savais que j'étais arrivé. Cette cascade sortie du coeur des falaises entourant le lac d'un bleu-vert rappelant les oiseaux vus lors de mes voyages, cette herbe d'un vert sain, ces arbres forts et vigoureux, et surtout l'absence de présence humaine. Aucun bruit, aucune odeur, à part le gazouilli des oiseaux et celle de la terre humide. Je planta un panneau fabriqué de bric et de broc, à partir d'un morceau d'écorce de d'une branche trouvée au sol, et y grava l'inscription suivante " Lac D'Emeraude ". Plusieurs jours furent nécessaires à l'élaboration d'un camp digne de ce nom, je coupais du bois tous les jours, me refusant à utiliser ce matériau indigne et sortit des entrailles de la terre dans un déchirement de douleur, la pierre. Ce fut long mais le jeu en valait la chandelle, au bout de quelques semaines, une jolie masure toute de bois construire prit forme et je m'y installa, moi et mes précieux livres. Si un jour vous trouvez ce mot, je vous inviterai cordialement à venir prendre un thé dans ma demeure et parler littérature avec moi, tant que vous respectez le Lac. Voici le RP ! Maintenant un peu d'explication : - Premièrement, l'emplacement : Un emplacement rêvé, la mer, le soleil et des plages de sable blanc à quelques dizaines de mètres. Des falaises magnifiques et un lac bien formé. Héhé, bande de jaloux. Je ne pense pas que l'emplacement pose problème quant à la proximité avec Hypérion ( qu'on n'aperçoit même pas du haut de la montagne ) ou bien Stendel. La Mine Publique a été chaleureusement accueillie ! Elle crée un réseau minier organisé d'une façon exemplaire, et à portée de main ( en effet, quand il sera étendu il sera normalement relié à ma propre mine héhé une nouvelle fois ), je tiendrai tout de même à prévenir les mineurs : sous le lac se trouve un réseau de cavités immense, avec nombres de chutes d'eau... et de laves, prenez garde à ne pas en percer une. - Deuxièmement, les constructions : Je me suis installé en premier, dans les jours suivant la nouvelle map. Une fois maison crée et champ aménagé, je voulus des voisins. J'invita donc AlexDLeNoeliste à construire, il bâtit une maison majoritairement sous-marine au milieu du lac et un complexe de lumière au dessus de la vallée ( réussi ). Suivit Nuggets121, qui bâtit une maison à façade de bois intégré dans une falaise, très jolie elle aussi. Nous possédons des champs communs ( en ce moment non exploités, il est vrai ) et des cultures de bambou ainsi que nombre d'arbre dans les alentours. Nuggets bâtit ensuite un tunnel faisant le tour du lac dans la montagne, utile pour relier les maisons entre elles, la sortie se trouvant à proximité de l'entrée de la Mine Publique ( je préviens les voyageurs étourdis qui débarqueraient au mauvais endroit, je pense que cela a déjà dut arriver, et ce malgré les panneaux ! ) Je me chargea de bâtir une maisonette à deux étages, pour l'instant inoccupée mais qui a pour vocation ( si Edilin ne nous fait pas d'ombre ) à devenir un centre de troc des produits de la vallée. Si ce n'est pas possible pour une quelconque raison, alors elle sera rasée ou trouvera un autre usage ( refuge anti-mob,... etc ) Un mur de pierre lisse ou de bois est en projet pour l'instant, faisant le tour du lac. D'une hauteur de 2cubes, il serait suffisant pour stopper les mobs dans leur invasion du lac ( venez donc bande de skel, je vous attends sabre haut et clair ! ) Pour le moment aucun autre habitant ne sera accepté, pas besoin de construire votre maison ici, merci. J'ai d'ailleurs un message à ce sujet. Denismicc2, je t'ai souvent contacté ingame mais tu ne m'as jamais répondu, je m'acharne donc ici dans l'espoir d'une lecture : tu seras le bienvenu si tu le souhaites, tes champs étant placés ici depuis plusieurs jours, la chose qui serait bien est la suivante : que tu t'installe de façon définitive, avec au moins un cabanon, et non juste une dizaine de pousses et des barrières qui avouons le gênent les passants, il reste de la place pour toi. Si tu ne le souhaites pas, je t'invite au moins à faire un meilleur design de tes champs qui sont parsemés de-ci de-là et ce devant la maison de ce cher Nuggets121. PS : Je poste car ici car au début, j'étais seul et le Lac a pris de l'ampleur jusqu'à devenir un hameau, je voulais être sûr que tout ceci soit officialisé dans les règles de l'art. Merci de m'avoir lu. EDIT : Liste des Lacustres ( non définitive, je peux en oublier certains, merci dans ce cas de me le signaler par MP et je m'excuse d'avance ) - Denismicc2 - Moug_atine - Hytaj - AlexDleNoeliste - Tybalt - Yukishi - Hamster_jovial - Jazzzy - Arcadelord - Nuggets101 (actuellement absent )
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Excuse moi pour les arbres, c'était juste un test, mais je comprends pas trop le souci des stacks de tronc qui y sont liés, ça consomme juste un bloc de terre, une pousse puis un autre bloc de bois une fois l'arbre poussé pour remplacer la base, non ? Sinon pour l'entrée oui, avec jbt on a tenté d'améliorer le trou qui faisait office d'entrée pour la serre avant, et comme dit, on peut tout recouper et replacer si besoin est. Pour les salles sous les racines palétuviennes, c'était une idée comme ça mais c'est vrai que j'avais complètement zappé le fait qu'on puisse refaire un petit arbre à côté pour certains bâtiments, c'est plutôt stupide d'oublier ça de ma part haha Je pense que des maisons pomme de pins seraient pas mal du point de vue esthétique, j'avais réfléchi aussi au fait de les suspendre pour gagner de la place !
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J'ai testé le plantage d'arbre le long du tronc cet aprem, merci de pas les couper, j'aimerais voir le résultat par moi même Je pense que le feuillage sera le plus gros défi depuis la Beta et le LeafDecay, mais haut les coeurs et on y arrivera !
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[Refusé] Demande de citoyenneté : Bossofkill
Khanat a répondu à un sujet de bossofkill dans Citoyens
Oh non mais je n'ai nullement besoin de pierre pour refaire un phare, j'en ai pas envie, c'était juste un trip sur la map Robinson. Mais merci. Je pense juste que lumière n'a pas été faite à ce sujet, c'est tout. Bonne année également. -
Honteux ce grief, DrMamba...
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[Refusé] Demande de citoyenneté : Bossofkill
Khanat a répondu à un sujet de bossofkill dans Citoyens
Je ne sais pas si j'ai le droit de poster ici n'étant pas admin ( si ce n'est pas le cas, supprimez sans vous gêner), mais je m'oppose pour ma part ( avec ma faible voix de paysan nouvellement arrivé ) à cette candidature. Voir le forum des plaintes suffit à me conforter dans mon idée. -
Peut être, faudra voir une fois fini. Mais ça doit pas être de l'élargir un peu si jamais c'est le cas
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Bonsoir ! Navré pour le double post mais une idée m'est venue. Pourquoi pas créer, à la base du tronc, des ramifications un peu comme celles des palétuviers ( http://julien.jacobs.free.fr/images/mad ... uviers.jpg ), ce qui permettrait de créer plusieurs salles, semi à l'air libre, semi couvertes. Je pense particulièrement à certaines maisons ou bien des salles communes ( banque, bibliothèque, salon de thé même ) Pour ce qui est de la bibliothèque, avec la discussion sur l'ajout du mod sur les livres " écrivables " pourquoi ne pas se faire connaître en abritant une bibliothèque immense ? Qu'en dîtes vous ?
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Je vote pour aussi
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J'appuie tous ses dires sur le chat, j'étais témoin de la conversation.
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Pour ce qui est de mettre de la terre à la place du haut des branches en bois je suis contre personnellement, il est clair qu'il faudra en incruster de ci-de là mais pas partout pour créer une platforme. Ca serait plus intéressant de " tisser " ces plates-formes ( de petite taille ) entre les branches, comme des nids d'oiseaux, voir de les suspendre aux branches les plus hautes. Sinon je reviendrai sur le chantier demain, j'ai passé la journée d'aujourd'hui à Paris je n'était pas disponible, navré.
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Skero, xDenim, Powlin et moi ( Hytaj ) avons travaillé sur l'arbre. On doit être à la slice 20-25 environ, tout en tronc, on a éclairé l'intérieur. Il faudrait que quelqu'un du projet qui sache manier le logiciel ViewVox se connecte et continue, même en terre, pour qu'on puisse continuer à remplacer la terre par du tronc, parce que personne n'y comprends rien Ps : Powlin qui habite à côté met à notre disposition sa mine.
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Projet très intéressant, je trouve qu'une ville commerciale pourrait avoir de grands atouts ! Faciliter le partage des ressources et regrouper des gens, bref, j'aime ce projet, si tu as besoin d'aide je suis prêt à en fournir, dans la limite de mes capacités, car je suis déjà engagé sur Hypérion bien que je n'arrive pas pour le moment à utiliser Viewvox...
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Je suis tout à fait opérationnel pour reporter ce projet à plus tard quand vous pourrez construire un temple qui collera avec l'ambiance Le temple que tu as fait est très joli, j'aime le contraste bois/pierre. Bravo ! Bon, je dois vous laisser, je ne peux me permettre que ce bref commentaire, mais j'ai du boulot en retard et je dois l'achever avant demain. Sigh.
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Je ne veux pas faire un temple chinois. J'ai pas le niveau pour faire un temple chinois, et puis le terme est assez vague. Juste un caractère. Mais soit, je pense donc que le projet est refusé. Ensuite pour ce qui est de la remarque du RP en ce qui concerne l'harmonie avec le paysage, je vois pas franchement le soucis.