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TheGaudis

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Tout ce qui a été posté par TheGaudis

  1. Déjà, bravo à RedSky qui à réécrit deux fois sa candidature, on remarque qu'il est quand même motivé. Ensuite, il est là et nous aides quand même de temps en temps sur kutzenbach ! Il est agreable à entendre sur mumble, sais se faire discret aussi. Bref, un +1 pour notre camarade RedSky67 Et puis il habite en Alsace :-°
  2. * Prends son accents allemand * Che shuis hici fur le shoutien de Venusvitrix ! * arrête en à marre * Donc je suis là pour soutenir cette joueuse, de peur de me faire frapper par elle, et pour Opulon10^0 ( bah oui si c’est pas moi c’est lui qui va se faire frapper ) Tu es sympa et gentille sauf avec Opulon hin :/ Tu es aussi active dans ce que tu entreprends et tu sais donner des ordres ( again, surtout à Opulon ) Tu adore danser c'est très bien ! ( pour une fois Opulon ne le fait pas ) Donc je te +1 pour la joueuse que tu es, et surtout ne change pas ! Ps: Que ferais tu sans Opulon1 ?
  3. Je me baladais sur le forum quand je vis ceci ! Woooop wooooop zoee citoyenne ! Enfin ! Tu gère à fond et tu mérite ce grade ! Tu te donne pleinement dans les projets, et travaille dur dur dur dur dur dur. Bref, tu mérite aussi ce grade comme plusieurs joueurs qui le mérites aussi le grade ( brainfuck ) Donc un +1 für dich !
  4. * Sors la tête du foin * J'ai pas encore donné mon soutien ici ? * Cours s'habiller * Eh bien hum hum, Sir Stalroco Sifreddy tu as tout mon soutien ! m'enfin je dis ça à la légère mais au fond, Ils ont déjà tous dis tes qualitées ! Donc, oui je t'aime vraiment bien tu es sympathique et tu mérites vraiment ce grade d'arnaqueur de commerçant ! Tu es impliqué et tout et tout ! Et, alors là, tu peux exporté vers l'international, ta maîtrise de l'anglais est incontesté ! Enfin bref, comme tout les autres, un gros BIG UP à Stal ! Ps: je vais à la Nature One cette année aussi ...
  5. 1, 2 … 1, 2… Test. Oui voilà hum. BOOM !!! ... personne ne s’attendait à ça non ? Donc voilà, je vous prends tous au tournant et me présente à cette fameuse candidature Chevalier. Pourquoi ? Eh bien cela fait trois ans que je suis ici, et je trouve que c’est un cap. Je pense que c’est le moment de vous soumettre ma candidature. Et en plus nous somme 2015 et le 1er janvier, donc c’est un peu comme une bonne résolution on va dire, j'espère juste que celle ci se résoudra... Avant de commencer, voici les liens de précédentes candidatures : Candidature Paysan
 Candidature Villageois
 Candidature Citoyen

 Beaucoup savent déjà qui je suis, un alsacien mesurant 1m80 et ayant divers centres d'intérêts tels que les jeux vidéos, le modélisme et le sport. Pour plus de détails, je fais du triathlon, je m’amuse avec des petits trains de tailles 1:87, et je joue simplement à Minecraft et plusieurs jeux, aussi sur la console bien sûr. Sinon, je suis né le 7 février 97 et je vais donc avoir 18 ans ( cela dépend à quel moment je poste ceci ). A part ça, je suis en Terminale SSI donc, Scientifique Science de l’Ingénieur. Mais je ne compte pas faire un truc dans ce domaine, je ne sais pas pourquoi, mais au final, ce n’est pas si passionnant. Donc je compte devenir infirmier, et je prépare le concours ! Là, vous vous dites “Mais pourquoi avoir fait SSI ?”.Eh bien, je ne sais pas, j’avais envie d’essayer. Mais je préfère le contact humain, le fait d’aider les gens, de me sentir utile, d’être là pour tout le monde ! C’est pour cela que j’ai co-créé Kutzenbach ! Pour aider les gens. Sinon, j’aime le bleu, je suis plutôt comics Marvel et j’adore l’animé Elfen lied qui est juste magnifique ! Et j’allais oublier, la raison pour laquelle je m’appelle TheGaudis. Gaudi pour l’architecte ! J’adore son architecture, c’est vraiment magnifique ! Si vous pouvez aller à Barcelone, je vous le recommande chaudement ! Et “The” parce que hum... C’est moi ! Je n’ai pas vraiment d’explication à ça … Voilà un peu de tout sur moi ! Pour ceux qui préfère un côté " serieux " Full name : Florian U****** Hair color : Brown Eye color : Blue Size : 181 cm Blood Type : O+ Sex : Male DoB : 07/02/97 Ce que j’ai fait depuis mon arrivée … Au début, j’avais la flemme, oui j’ai posté ma candidature paysan 2 mois après mon inscription ! Mais à ce moment-là, j’avais déjà aidé sur Icarus, vous savez, le projet avec les îles volante sur ns ? Voici un petit aperçu de ce qu’il y a là-bas ! Images Icarus Ensuite, on va dire que j’ai aussi aidé sur Kélaire et pas qu’un peu… J’y suis conseillé sur tout ce qui est extra-muros. J’ai cependant aussi aidé à l’intérieur des murs de la ville. Quelques screens à l’appui : Images Kélaïre J’ai ensuite aidé pour la création du projet de keysington. J’ai proposé mon architecture et modifié certaines choses: Images Keysington Et pour finir, je suis co-créateur de Kutzenbach avec Xaxicouzoulou et je vous montre des screens, again, pour que vous puissiez vous forger votre propre avis: Images Kutzenbach De plus, au fil du temps, j’ai proposé quelques autres suggestions qui n’ont malheureusement pas été retenues, comme celle des pots de fleurs : Flower Power J’ai aussi suggéré des quêtes pour les villages/villes. Voilà, je pense que ces images valent mieux que tout long récit. Mes motivations… Très bonne question. Pour moi c’est pas simplement être chevalier qui m'intéresse, mais c’est de me dire, voilà cela fait bientôt trois ans que tu es ici et tu vas enfin finir ce parcoure. Finir par ce grade prestigieux qu’est Chevalier. Ne voulant surtout pas être commerçant, c’est pour moi le dernier grade. C’est sans doute le moment le plus redouté de tous, comment formuler quelque chose que vous avez bâti durant des innombrables mois dans votre caractère ? Quand je regarde les chevaliers actuels, je remarque que rien n’a changé chez eux. Ils sont toujours aussi gentils, à l’écoute de tous et aident au sein de Minefield, bon certain son nettement moins actif mais je peux les comprendres l’IRL passe avant. Je pense faire de même, aider les plus pauvres, défendre les plus faibles et surtout m’impliquer dans ce que je fais, comme je le faisais déjà avant, essayer de faire mon travail encore mieux qu’auparavant. C’est surtout à l’aide de cette couleur qui nous démarque tous, des autres, cette couleur bleu ciel. Je ne veut pas dire par là que je vais faire régner la terreur ou prendre un aire supérieur, bien au contraire ceux qui me connaissent savent que je m'énerve pas facilement et que je respecte tout le monde (Ne clique pas ici rebel) Si je souhaite devenir chevalier c’est que je suppose avoir apporté ma part dans divers projets, et soutenu plusieurs joueurs dans leurs quêtes vers la gloire et la réussite. En disant cela je ne me vante pas, je suis plutôt humble d’habitude, mais j’ai essayer de faire mon maximum à chaque fois avec mes temps de connections et j’ai souvent essayer d’apporter de nouvelles idées. Bien sûr, je vais continuer dans cette optique, et utiliser mon grade de chevalier pour en aider plus d’un! Je vais continuer à donner des conseils à tous ceux que je connais et je continue bien évidement à écouter ma music ( de fou pour certain ) sur mumble, deux fois plus fort s’il le faut ! Vu qu’on reçoit aussi un petit logis à la chevalerie de Stendel, je pourrais passer mes beaux jours auprès de mes autres amis tel que Glieps, Xaxicouzoulou, Anubis, Dom, etc. Je serais donc honoré de servir dans la garde de Stendel. Voilà, je pense que mes motivations sont claires et pourquoi j’aimerais devenir chevalier.. « Les deux jours les plus importants de votre vie sont le jour où vous êtes nés et le jour où vous découvrirez pourquoi. » — Mark Twain Lliliee, cette magnifique femme, ma femme. Cette femme unique que vous ne rencontrez qu’une seule fois dans votre vie, mais qui restera à vos côtés pour l’éternité. Elle m’aidait tout le temps, c’était un pilier fondamental dans ma vie. Rien ne décrirait mieux Lliliee qu’un joli tigre blanc : vous savez, cet animal un peu comme un gros chat à qui l’on a envie de faire de nombreux câlins. Mais cependant pleine de mystères, pleine de force et de vertus, les unes meilleures que les autres. Elle est à elle toute seule, un équilibre. Ensemble nous formons le Jing et le Jang, nous nous compensons. L’un ne se concevant pas sans l’autre. À travers mes épreuves, elle m’aidait, me conseillait, n’hésitait pas à donner son avis, même négatif. Je ne puis imaginer de vivre sans elle. Nous avons quitté notre humble demeure dans cette île volante qui se situait à Icarus pour se loger sur Kélaïre, la ville entre rives et canaux. Mon travail, si important soit-il, se trouvant à présent là-bas, j’aidais avec mes outils, que je fabriquais minutieusement moi même à l’aide de technique que je développais au fur et à mesure, et mon savoir pour mettre en relation les divers peuples qui logeaient sur le vaste territoire de Kélaïre. Je devenais donc, de plus en plus, un véritable contrefort de cette ville et tout cela se concrétisait, quand le grand roi qu’est Raidentiger me nomma conseiller des « Gestions et aménagements spécifiques du territoire extérieur » Un grand nom pour pas grand-chose. Lliliee était fière de moi, comme d’habitude. Je n’avais cependant plus trop de temps pour ma maison c’est donc, naturellement, que Lliliee et moi avions opté pour une petite tente. Cette tente était orange et rouge ; mais pas n’importe quel orange, un orange brûlé qui allait en parfait accord avec le rouge cardinal. Deux couleurs atypiques de la région, certes, mais c’était normal. Ma femme adorait le changement, les choses différentes telles que ce contraste, qui a fait grincer les dents de plus d’un croûton. Mais bon, nous aimions bien notre tente, si petite soit-elle. Sur Kélaïre même, j’avais amplement de quoi travailler. J’avais réussi à remettre en marche Kurund, ce village de mineurs qui était déserté il y a des années déjà. Il n’était à l’époque composé que de quelques maisons délabrées, d’une pauvre mine effondrée et d’une muraille brûlée. J’avais, à l’aide de plusieurs amis, miné une grande partie de la mine effondrée et reconstruit les maisons abandonnées. La muraille nous prit plus de temps, mais tout revint en ordre. Les maisons étaient de simples maisons, fondées d’une base en brique solide, et une charpente en bois. Parfait donc pour les mineurs et leurs familles. Cependant, nous nous y prenions à cœur ! Les premiers mineurs commençaient déjà à miner quand nous n’avions pas encore fini toutes les maisons. La motivation ne manquait donc pas. Ce hameau était une véritable mine d’or ; nous y avons extrait plusieurs gros minéraux. Après avoir fini Kurund, le village minier, j’étais en route pour Péridère, le village des fermiers. J’étais passé pour leurs demandes d’agrandissement, concernant leurs champs. La demande et l’augmentation de la population de Kélaïre nécessitaient un meilleur aménagement pour faire profiter à la ville de cette exploitation. C’est donc avec mes outils que je les aidais d’abord à couper le bois de la forêt, une forêt dense et impressionnante et ensuite à ameublir le terrain pour avoir une terre plus fertile. Je vous raconte ceci avec légèreté, mais il fallait beaucoup d’huile de coude et de rigueur pour finir à bien ce chantier. Car la terre était parsemée de grosses racines et de petits branchages. C’était, sans doute, une des terres les plus fertiles, mais avec le plus de parasites. Une terre comme celle-ci, on n’en trouvait pas partout. Elle se trouvait à un endroit idéal. Après des semaines de travaux et de nombreuses ampoules sur nos mains rugueuses, nous avions enfin fini avec cet ouvrage. Durant cette période, Lliliee était une réelle consolation pour moi, le soir avec ses repas qui étaient bons comme sa tarte aux citrouilles ! Cependant, Raidentiger, le croûton de la cité, était inquiet. Les moines affluaient de tous horizons pour célébrer l’Azul, ce véritable Dieu aux yeux des kélares. Nous ne savions pas où les loger, pour ne pas les déranger durant leur prière. C’est là que je m’étais rappelé d’une connaissance ancienne, un ami, Xadrow. Le meilleur architecte asiate que j’avais dans mon bordereau. J’avais besoin d’un bâtiment nouveau, quelque chose de différent. Nous nous étions donc contactés pour en discuter. Le jour de son arrivée, venu de la terre du soleil levant, il avait vieilli d’après mes souvenirs, il était encore plus rouge qu’auparavant. L’usure de la vie se faisait ressentir en lui, les durs labeurs étaient gravés sur son visage. Mais ses talents n’avaient guère changé, ils étaient encore meilleurs. Je l’avais invité à souper dans ma tente, avec un magnifique et délicieux repas de Lliliee. Nous étions là, à table, en train de discuter des moments passés ensemble, notre rencontre hors du commun et surtout notre amitié. Il n’arrêtait pas de complimenter l’extraordinaire repas de ma chère épouse. Comme je le dis toujours, elle est parfaite, ma femme ! Au dessert, nous avions entamé l’art de concevoir et de construire les édifices, en soi l’architecture. Il m’avait parlé d’un projet de ville japonaise qu’il aimerait fonder sur New-Stendel, un petit coin différent des autres remplis de grâce et de verdure. Il vous en parlera sans doute plus amplement à ce sujet que moi. J’avais, à mon tour, parlé du bâtiment pour les moines ; nous ne savions pas quoi faire au début, mais nous nous étions tournés vers un monastère. Xadrow disait que c’était courant, c’est d’un monastère qu’il venait. Beaucoup de moines s’y recueillaient pour y prier et apprendre la vie, philosopher. Notre monastère, donc, serait plutôt de forme géométrique et remplie de détails. Il fallait que ce soit du jamais-vu. Les moines devaient l’aimer et l’apprécier. Quelque chose de simple, mais joli, avec au centre, un petit parc, des bancs et une fontaine dérisoire. Sur le bord, une petite église pour pouvoir se replier et prier le Dieu, et diverses chambre et salle à manger pour séparer les moines convers des autres moines. Il ne fallait surtout pas les mélanger, sinon nous aurions un problème au sein du culte. La fontaine sera bâtie par un ami à moi, Xaxicouzoulou, un conseiller de Kélaire. Le meilleur faiseur de plans d’eau dans mes connaissances. Il a, à lui seul, fait toutes les fontaines de Kélaïre et d’Icarus, pour vous dire, il a la côte dans le pays pour ses fontaines. Après maintes démarches pour la construction de ce monastère, nous étions enfin prêts pour la grande construction de l’édifice sur la falaise qui allait l’accueillir. Plusieurs longues semaines de passé, le monastère prenait tout doucement sa forme. Je laissais finir ces travaux faramineux, et un beau matin, j’entendis frapper contre ma petite tente. Lliliee, effrayée me demandait d’ouvrir, car qui pouvait déranger les autres à une heure si matinale ? C’était l’homme à chat. Non, l’homme n’était pas un chat, il ne ressemblait pas non plus au félin, mais il en avait beaucoup, vraiment beaucoup. Il est d’ailleurs impossible d’en avoir autant que lui. Il les adorait et l’Azul sait à quel point ce mot est petit, tel son amour envers ces petites boules de poils. Il les câlinait à longueur de journée, du matin au soir, et du soir au matin. Non pas qu’il soit nonchalant, bien au contraire, il travaillait beaucoup, il n’hésitait pas à aider quiconque le lui demandait. Mais il passait son temps libre avec ses chats dans sa petite demeure, remplie de chat. Il était là, devant ma tante, à l’heure où l’on apercevait à peine quelques lueurs du soleil, où une douce brume parcourait le territoire, où le coq n’avait pas encore chanté, et où les fleurs étaient encore mouillées. Je le distinguais à peine, une brève silhouette, mais ses nombreux chats l’avaient trahi. Il était déjà bien habillé et moi encore dans ma robe de chambre. Lliliee demandait en criant : qui est-ce? Je répondais, avec habitude, et avec un petit sourire quand même, que c’était encore Glieps. Glieps, un des conseillers de Kélaïre, celui qui fut récemment auréolé chevalier de la garde de Stendel. Un titre bien prestigieux. C’était quelqu’un de vraiment bien. C’était lui qui m’accueillit au tout début, lorsque je n’étais qu’un petit vagabond errant dans les rues de New-Stendel. Il avait vraiment changé. Il était venu pour me parler d’un projet un peu farfelu au nom étrange « Keysington » et qu’il avait besoin de mon aide, mon avis sur sa future cité volante, sous marine. Du jamais-vu pour moi, et pourtant j’ai déjà visité les quatre coins du monde. C’est donc avec plaisir que le lendemain, je fis mes valises et je partis à l’aventure. Je savais, dès à présent, que je voulais aider les autres dans l’architecture et dans leurs projets. Dans le but de leur instruire mon savoir accumulé toutes ces années. « Derière chaque grand homme, se cache une femme » — Vieil Adage Cela faisait déjà plus d’une semaine que mon amant était parti avec Glieps sur le monde de Nabes, pour leur aventure. Il voulait aider pour la création de la cité victorienne. Je n’étais pas réellement d’accord sur le point qu’il parte aussi loin, mais je n’avais pas le choix. C’était un moyen pour lui d’aider les autres. Je le remplaçais donc au conseil de Kélaïre, et c’est avec joie que je me rapprochais de Xaxicouzoulou. Dans une relation tout à fait amicale bien sûr. Certains le disaient étrange, un peu fou et difforme. C’est son problème, s’il aimait bien se mettre une pastèque sur la tête, pas le mien. Je le pris comme il était, et non pour son physique ; c’est très important de ne pas juger sur le physique. Même s’il avait toujours sa pastèque sur la tête et un chapeau de paille. Il adorait porter la salopette. Tout cela nous rappelait bien qu’il était un fermier. Un bon fermier, dévoué à la culture. Lui aussi, grand passionné de constructions, et toujours au soutien des plus pauvres, il me rappelait beaucoup mon mari. Xaxi, comme je le surnommais à présent, parlait lui aussi de partir, se reposer. Il était lui aussi chevalier et cela le fatiguait, énormément. Il me racontait qu’il voulait créer un petit village sympathique où tout le monde se connaissait, mais ne savait jamais par où commencer tout cela. Tous les soirs, nous nous mettions autour d’une table en bois de chêne pour discuter de ce projet. Il prenait petit à petit forme. On avait décidé de créer un village au nom de Mittelhintenüberoberaltensouffelheim (HRP si quelqu’un arrive à le prononcer correctement, qu’il me fasse signe). C’était un nom totalement imaginaire que j’avais décidé de donner, je savais que mon mari allait nous en trouver un meilleur, avec ces origines tiois du coté de sa tante. Xaxi voulait que son village regroupe toutes sortes de personnes, que ce soit des vieux croûtons ou des jeunes arrivants ! Il voulait un projet pas comme les autres, un projet différent, un projet hors du commun, un projet qui se démarque réellement. Il me parlait surtout de l’entraide entre les habitants, de façon à ce que chacun n’hésite pas à demander de l’aide aux l’autres. Ce dernier voulait aider ses habitants à avoir leur propre style d’architecture, avec des matériaux simples, il voulait faire un village d’apprentissage, si je pouvais m’exprimer ainsi. Xaxi voulait aussi une rivière qui séparait le village en deux parties, une partie haute « Ober “et une partie basse ‘Nieder ‘. Lui pensait que cela allait créer une harmonie, un reflet séparé par la rivière, moi une sorte de concurrence entre les deux opposés. On avait passé plusieurs soirs à dessiner des représentations pannées d’un village idéal sur ma table. Xaxi avait vraiment hâte que TheGaudis revienne, et moi aussi pour tout dire. Cependant, il fallait encore attendre. Un matin, nous allions partir pour chercher une région parfaite, un terrain idéal. Je m’étais donc hissé sur mon destrier, un cheval magnifique que je m’attardais toujours à bien soigner. Il avait un poil lisse et brillant. Il était aussi plus grand que la normale, un dos bien droit et une longue crinière tressée. Des fers usés par le temps, mais polis. C’était mon cheval. Nous étions donc sur la route en direction du nord. Il y avait plusieurs terrains propices à la construction du village, mais ils étaient soit trop plat, ou simplement pas à son goût. Xaxicouzoulou voulait quelque chose de spécial, quelque chose de propice à son imagination. Après maintes heures de route, et j’en passe, j’entendis un gloussement. Non, c’était juste notre chevalier, Xaxi qui s’écriait ‘Nous y sommes, il est parfait ‘. J’étais un peu troublé, car le terrain était vallonné, avec beaucoup d’arbres et des crevasses immenses. Il y avait aussi un cours d’eau, mais rempli d’algue et de branchage sur les rives. Il me parlait d’un terrain plat dans ses descriptions, pas de ce terrain vague. Mais à le voir, festoyer sur place en criant ‘Nous y sommes ‘j’avais vite compris qu’il s’agissait du bon terrain. Après tout, c’était son idée, pas la mienne. C’est lui qui devra tout creuser, arranger et reconstruire. Nous étions donc déjà sur le chemin du retour quand je décidai de faire un petit tour sur divers projets, tel que Icarus pour voir l’avancement, ou simplement me balader dans les rues de la capitale. Arrivée donc à la capital, dans cette marée humaine, j’eus des souvenirs de mon arrivée ici, une arrivée un peu chaotique mais que j'aimais bien. Ces rue sont toujours aussi magnifiques que dans mes souvenir. Il faut dire que je ne vais pas souvent dans cette capitale, il y a trop, vraiment trop de monde à mon goût. Cependant, je voulais faire un cadeau à mon mari. Un Grimoire pour ses constructions. C’était le cadeau parfait pour qu’il puisse archiver toute ces esquisses de constructions et ces plans. Je me baladais donc sur le marché quand je vis, ce qui m’avait l’air d’un grimoire. Il avais une belle couverture en cuir et des ornements tissés, c’était vraiment beau à voir. Il était pas plus grand que deux mains, et pas plus épais que deux pouces. C’était un joli cadeau que je pouvais lui faire. Un peu cher mais il valait le coup. Mon oeil s’était arrêté sur un autre livre aussi. “ Comment cuisiner pour les noobs “ Le truc parfait pour Gaudis, lui qui était nul en cuisine, une vraie catastrophe. J'espère qu’il va essayer au moins de cuisiner avec ceci. Je décidai donc de continuer mon chemin après ces deux achats. Il fallait absolument que j’aille sur la cité volante qu’est Icarus. Je me mis donc sur la route pour y aller. Sur les îles, je ne vis personne, sauf Glieps. Il m’avait appris que tout le monde était parti à d’autre occupation. C’est comme si la ville était éteinte. Je ne comprenais pas ceci. Comment une ville si magnifique et immense avait pu appartenir au passé ? L’homme aux chats parlait avec nostalgie de la ville, je lui soufflais donc l’idée de la remettre en ordre et de recommencer. Recommencer par des petits détails, tel que la mise en ordre des bâtiments et des îles qui avaient pris poussière. Mais surtout, revoir la banque. Je lui proposais donc mon aide pour quelques heures, le temps que mon chevale se repose. Glieps m’avait demandé de parler à Gaudis pour l’aider, je lui avais dit qu’il aurait du pain sur la planche mais que j’allais tout de même lui passer le message. Je me remis encore sur la route, pour rentrer cette fois ci. De retour à la maison, j’avais vu une tente remplie de gros bagages et de paperasse dispersée partout. Il était enfin de retour, mais je m’en doutais un peu dès le moment ou j’ai vu Glieps sur Icarus. Il n’avait guère le temps de se reposer que Xaxi, tout excité à l’idée de lui dire ses intentions, et moi nous apprêtions à lui parler de ce projet de Mittelhintenüberoberaltensouffelheim. J’avais déjà tout prévu pour lui. ‘Rien de grand ne s’est accompli dans le monde sans passion.’ — Friedrich Hegel Mittelhintenüberoberaltensouffelheim : c’était tout ce que j’avais retenu pour le moment. Ils avaient juste donné un nom aléatoire qui ne voulait pas dire grand-chose… J’avais réfléchi un petit instant sur ce problème. Il régnait un silence tueur dans la tente. On entendait le bois craquelé qui brûlait dans la petite cheminer improviser. Le vent soufflait sur la tente. Il nous filait un nom simple, facile à prononcer et surtout simple pour se repérer. Xaxi m’avait parlé d’une rivière sur le projet. Il y avait donc Ober et Nieder, au-dessus de la rivière et en-dessous. Comme il y avait une rivière, le nom finira par ‘bach’. Et puis, quoi de mieux qu’un nom court donc, Kurtz. Quand on assemble tout, cela donne Oberkutzenbach et Niederkutzenbach. C’était encore long, mais cependant on pouvait raccourcir, car ce fut un seul village, donc Kutzenbach. Voilà nous avions notre nom de projet Kutzenbach. Je leur faisais part de ma pensée, quand soudain la pastèque se mit à dire ‘Kutzanbakh’ ‘Kutzennbaaaaaakh’ ‘Kutzenbachchchch ! ‘ Il me demandait ensuite comment le prononcer correctement. À l’écrit, c’était Kutzenbach, mais l’oral était très différent, on le prononçait Kutzennbarh. Au bout de quelques essais, Xaxi arrivait à le prononcer correctement, comme un véritable Kutzenbachois ! Lliliee se mettait à rire en entendant le chevalier, mais il fallait bien un début à tout cela. Pour ma femme, c’était aussi un calvaire au début, mais maintenant, elle parlait couramment avec moi cette langue, un mélange de germain, juddish, latin. Je convaincs donc la pastèque de faire une hiérarchie sur la base du communautarisme, mais plus souple quand même. Nous ne voulions pas abuser de nos habitants, mais plutôt qu’eux-mêmes augmentent dans la société kutzenbachoise au fur et à mesure avec leurs propres moyens. C’était le véritable but de ce village, aider les autres à construire et que eux aident les suivant ensuite à construire et ainsi de suite. Il fallait aussi contacter les villages limitants pour savoir si notre localité ne dérangerait pas. Xaxi s’occupait de tout cela, en envoyant des pigeons dotés d’un petit message Quant à moi, je m’occupais de l’architecture. Il fallait une architecture, belle, simple et facile d’accès. L’idée était de faire une maison avec les moyens du bord. Après plusieurs essais, j’avais enfin trouvé la bonne combinaison, du relief et du détail, rien de mieux pour la maison. Cette maison, donc étais composer de poutre de bois de chêne, quelque choses d’habituel de mon ancienne régions natale. Il fallait bien sûr, auparavant, une bonne base solide en pierre. Le tout étair rempli de planches de sapin, un bois parfait si on le peint avec une bonne substence antimousse. Ma pastèque préférée était déjà rentrée pour nous annoncer que les projets étaient d’accord, à condition de ne pas les déranger. Ce qui, en soi, était totalement normal. C’est là que nous tous avions enfin tous les renseignements nécessaires pour le soumettre aux empereurs. Je laissais donc Xaxi galoper sur son magnifique cheval blanc en direction du château pour leur en faire part. Ce ne fut que des semaines, des mois plus tard, que nous recevions un pigeon qui nous apportait la lettre. ‘Chère future portant kutzenbachois, c’est avec joie que nous acceptons votre demande ; vous remplissez tout ce qui est nécessaire pour le bon acheminement de votre village. Bon vent’ Voilà qui était dit et nous pouvions enfin commencer notre petit Kutzenbach. Ce projet pour lequel nous avions investi depuis des mois. Il y avait quelques amis qui nous aidaient, au début pour les premières pelletées, puis nous étions délivrés à nous deux, la pastèque et moi. Lliliee était resté dans notre tente, sur Kélaïre, pour préparer le déménagement. Elle a à nouveau tout dû ranger dans des coffres pour les ramener. Et puis nous étions arrivés au moment des premières pierres posées. Ce moment plein d’émotions pour nous tous. Puis la première église en première pour accueillir les futurs bâtisseurs pour qu’ils puissent faire leur serment. Les semaines passèrent et les joueurs venaient visiter notre projet. Et des joueurs étrange, on en à vu. Il y avait un dénommé Pcote, il n'était pas tout à fait normal, lui. Il se trimballait avec une chemise de bûcheron, tout le temps. Oui, tout le temps la même. Elle était rouge, et en laine. Il avait des bretelles, une grande barde et un accent. Un peu le même accent que Lliliee a. Il avait aussi une hache sur lui et un cor de chasse. Il disait que c’était contre les Caribou. Il parlait d’un cheval à corne très féroce qui tuait tout sur son passage. En revanche, il avait aussi de quoi faire du sirop d’érable. Et c’était vraiment bon. Kutzenbach devenait petit à petit connu. Mais il y avait encore beaucoup de choses à faire, notamment le manoir que nous avions prévu de faire, un manoir décoratif pour y placer des objet mythiques ou importants. C’est cependant un beau jour d’été que nous étions Glieps, l’homme au chat, Xaxi, l’homme à la tête de pastèque, et Lliliee, ma femme, assis autour de ma table en train de dîner. Un repas rien de plus normal avec une bonne salade, des patates et un peu de viande de cochon. Nous parlions de divers sujets, tel que l’architecture en passant par le mouvement de nouveau arrivant. Quand soudain Glieps me demanda si je voulais passer chevalier. Il y avait alors un grand blanc, un silence trompeur. J’étais un peu perplexe au début, mais les deux chevaliers me conseillaient d’essayer, car j’avais le potentiel. Je ne savais vraiment pas ou me placer, commencer ma nouvelle vie et servir stendel ? Ou continuer ma vie paisible. Les jours passèrent, et j’avais toujours cette idée en tête. Lliliee, comme à son habitude, me soutenait dans cette démarche. Et puis, j’avais cette envie d’aider les gens et ce fut une très bonne occasion pour moi de le faire. Et voilà après maintes réflexions, je me suis dis, que j’allais essayer. Et c’est pour cela que je suis aujourd’hui, ici, pour vous soumettre ma postulation. ------------------------------------------------------------------- Bravo aux personnes ci-dessous pour la prononciation correcte de Mittelhintenüberoberaltensouffelnheim : - Glieps - Yuna_Moon - Pcote - Fydia - QuentHolmes - Theor67 - Stalroc ( Pour qu'il arrête de massacré la langue allemande ) - Davman17
  6. Et un de plus ! Voilà tu as enfin fini ton acheminement de candidature, tu as réussi ton objectif, être au plus haut de la société grâce aux divers candidatures. - Tu sera largement capable d'arnaquer de vendre aux joueurs de ce serveur. - Tu es aussi largement reconnu pour ton travail ici ! - Tu as vraiment toute les capacités nécessaire. Je te souhaite vraiment de finir ton chemin avec cette candidature. Sur ce bon vent et Bonne chance ! +1
  7. Nous avons hélas déjà un pêcheur ...
  8. Oui pour rownger, venusvitrix et Opulon1 !
  9. Yay, je suis ici pour soutenir Opulon1 ! En fait comme tout le monde je crois ... Donc nous nous retrouvons, aujourd'hui, ici en ces lieux, pour Opulon1. ( c'est un peu trop serieux ) Je l'aime bien ce type il le mérite vraiment il travail dur et est vraiment gentil, soumis, mais gentil ! Il à tout d'un comerçant ! Il sais même arnaquer vendre au personnes du server ! Et puis il est motiver à tel points que je lui ai promis un shop à kutzenbach ! Voilà je vais manger un pomme ( mais tout le monde s'en fou ) +1 pour Opulon1
  10. Yay, de très bonne fêtes à vous !
  11. Yay tu as tout le temps devant toi je ne te pose pas d'ultimatum ! Et puis IRL avant tout !
  12. Bon je trouve cela correc.t C'est un minimum du minimum mais correct ! En plus j'ai eu l'occasion de te parler sur mumble et tu es quelqu'un de fort sympathique ! C'est bien tu ne devrais pas avoir de mal à t’intègre ! yay !
  13. Voilà ta candidature pour le rang de bleu est fort plaisante ! Cependant, j'attends de discuter avec toi sur mumble pour apprendre a te connaître. Sur ce bon jeux Nils !
  14. Bonsoir, c'est pour enneiger Kutzenbach ! Sur New-stendel aux coordonnées -1600 70 -1700 Si vous pouviez glaçer la rivière et ses alentour ce serais parfait Un petit dessin pour la zone https://www.dropbox.com/s/gzq4hhn4fkyig2i/Territoire%20neige.png?dl=0 Voilà c'est tout merci !
  15. Kutzenbachois ^^ Donc bleu, le premier grade dans la hiérarchie kutzenbachoise
  16. Un coup de vent souleva un large nuage de poussière, qui aveugla Wilfried. Le jeune homme se couvrit le visage du pan de sa cape. Le soleil couchant, qui embrasait le ciel de sa douce lueur cuivrée,était sur le point de passer derrière les collines qui brisaient l’horizon. Sans nuage pour calmer son ardeur, il était terriblement aveuglant, mais la beauté de la scène valait bien cet éblouissement. Par chance, la journée n’avait pas été trop chaude : la température était donc idéale pour une marche soutenue. C’était justement la motivation qu’il fallait à Wilfried pour avaler la dernière lieue qui le séparait de sa destination. Entre les collines, baignant dans la vaste plaine alentours, s’étendaient Oberkutzenbach et Niderkutzenbach, les villes jumelles. Resplendissante, l’énorme ville — appelée Kutzenbach — qu’elles formaient ensemble semblait dévorée par un gigantesque incendie. Il n’en était bien entendu rien : le soleil couchant faisait merveilleusement bien son office dans cet artifice. À mesure que le jeune homme approchait, la compagnie sur la route se fit de plus en plus courante. Des paysans sortaient de la cité, où ils avaient terminé leurs affaires pour la journée, et retournaient dans leurs chaumières en périphérie d’Ober et Nider, comme on les appelait plus communément. Le reste des occupants du sentier étaient soit des marchands en quête d’une auberge où dormir avant de tirer parti de ce centre commercial florissant, soit de simples voyageurs comme Wilfried, en quête de ce lieu plein de promesses. Bientôt, il put voir le fleuve effectuer un coude, et longer la route. D’ici peu, il entrerait dans la ville, la partageant en deux, et formant du même coup les deux jumelles. Trépignant d’impatience, le garçon pressa le pas. Le soleil avait presque entièrement disparu lorsqu’il atteint finalement les portes de la ville. Comme il venait de Stendel, il fit appel à ses souvenirs : il devait être du côté de Ober. De ce qu’il en savait, Ober et Nider étaient respectivement dirigées par ceux que l’on nommait Gaudis et Xaxi, leurs fondateurs et les deux Omaitr de la cité. Il n’y avait que quelques années que la première pierre avait été posée, mais leur cité était déjà l’un des pôles commercial et culturel les plus influents de cette région de l’Empire, et encore maintenant, une foule de jeunes gens — et presque autant d’hommes et de vieillards audacieux — en quête d’un emploi et de connaissances venaient de tous horizons pour en bénéficier. Wilfried était de ceux-là. Il avait quitté la banlieue voilà presque quatre mois, laissant derrière-lui sa vie et ses parents, pour l’eldorado que représentait pour lui ce lieu si inespéré. On racontait qu’en l’espace de quelques semaines, on pouvait déjà devenir apprenti des plus grands maîtres charpentiers, potiers, ou même sculpteurs. En quelques mois, on était soi-même maître de chantier. Un peu plus tard, certains grimpaient encore et atteignait des postes prestigieux d’architecte en chef ou de superviseur. Non contente de déchaîner passions et rumeurs, ces villes jumelles offraient l’espoir d’une vie meilleure. Lorsqu’il passa les portes, Wilfried revint à la réalité. Il n’était pour l’instant qu’un simple vagabond, et ses économies serviraient à se payer une chambre dans une auberge bon marché. N’ayant pas dégusté de véritable repas depuis des semaines, il ne tenait plus en place. Il demanda son chemin au premier homme venu, qui lui conseilla une taverne assez confortable pour son prix. Le jeune homme pressa donc le pas, impatient de retrouver un lit confortable et une assiette chaude. Se glissant dans les ruelles et entre les passants en suivant les instructions qui lui avait donné l’homme, il déboucha sous peu devant une enseigne en bois de sapin qui pendait nonchalamment au gré du vent. Le Poulet Fleuri était noté en lettres écarlates sur le panneau en forme de coq. L’intérieur était en effet à la hauteur de sa réputation. Sans être extraordinaire, l’établissement avait le mérite d’être en bon état, accueillant, et bien fréquenté. L’aubergiste — un grand homme aux cheveux grisonnants et étonnamment musclé pour sa profession — l’accueillit lui-même. Sa sympathie étonna Wilfried. Pour quelques pièces, il eut droit au plat du jour — un ragoût de légumes qui le fit soupirer de bonheur — et à une chambre douillette et bien chauffée. Ce soir-là, il s’allongea sur son lit en appréciant ses retrouvailles avec le moelleux d’un matelas. Le lendemain serait une journée essentielle, et il devait être en forme. Il s’endormit en un clin d’œil. ————— « De quel côté est-ce ? — Par là. Suivez la rue et prenez sur la droite dès que possible, vous tomberez dessus. » Wilfried s’élança dans la direction indiquée en remerciant l’homme de la main. Celui-ci sourit, amusé par son enthousiasme. La jeunesse était décidément pleine d’énergie. Le jeune homme n’eut pas de mal à trouver son chemin. Au bout de la rue, sur la place centrale d’Ober et juste à côté de la grande église qui se dressait là, un grand rassemblement se créait peu à peu. Il se fondit à la foule, qui comme lui attendait les instructions. Un vieil homme à la moustache démesurée ne tarda pas à monter sur une petite estrade. Le silence ne tarda pas à planer au-dessus de l’assemblée. Après un discours de bienvenue que Wilfried n’écouta que d’une oreille tant il avait hâte de commencer, l’homme désigna plusieurs zones dans la place où devaient se répartir chacun selon ses compétences ou préférences. Le jeune homme se dirigea d’un pas décidé vers un petit homme costaud et à l’air peu commode, qui accueillait le groupe de futurs charpentiers. Le père de Wilfried étant lui-même menuisier, son fils avait donc pu acquérir une certaine expérience du travail du bois durant ses jeunes années. Une fois le groupe assemblé, le petit homme se fendit d’un étonnant sourire — compte tenu de son expression naturelle peu accueillante — qui fit étinceler ses yeux de bonheur et de fierté. « Mes amis, bienvenue ! s’écria-t-il. Pour vous, je serais monsieur Meyer. C’est pour moi un honneur de vous accueillir et de vous prendre en charge en tant que futurs charpentiers ! Dans les semaines à venir, vous apprendrez ou perfectionnerez cet art jusqu’à ce que le moindre de vos mouvements soit d’une précision millimétrique. La force de Kutzenbach est son organisation : une fois que je vous aurais formé, vous deviendrez Trailleur Charpentier, comme moi, et vous enseignerez à d’autres jeunes comme vous l’êtes aujourd’hui. « Plus tard, vous pourrez tenter de prouver vos compétences à diriger et devenir Cataine, puis Bâtisseur. Et à mesure, vous deviendrez peut-être Seil, voire Pada. C’est en tout cas ce que je vous souhaite, car ici le désir d’apprendre et les compétences sont récompensés. À présent, je vais vous demander de vous organiser suivant votre expérience et votre connaissance du métier ou du bois en général. Nous pourrons ainsi constituer des groupes de travail et commencer dès aujourd’hui ! » Une fois les groupes constitués, tous traversèrent Ober et arrivèrent près du fleuve qui traversait la ville. Ils passèrent le pont qui reliait cette partie de Kutzenbach à Nider. Ils rejoignirent ensuite une petite place en bordure de la cité, où attendait un nombre conséquent de blocs et bûches de bois de toutes tailles et de toutes formes. C’est ici qu’un long apprentissage allait se dérouler, où tous ces jeunes gens allaient apprendre l’art d’un charpentier. ————— « Applique-toi plus Jonathan ! Ce n’est pas un travail de gros ici, mais de précision ! Si ton poinçon n’est pas parfait, ton toit s’écroulera ! — Oui monsieur, pardon monsieur ! — Wilfried, essaie de tenir ton rabot plus fermement. Il a tendance à dévier. Autrement, c’est parfait ! — Tout de suite monsieur ! Et merci. » Fier de lui, Wilfried poursuivit le rabotage de son entrait de plus belle. Il avait fait de gros progrès ces dernières semaines, et voyait la fin de sa formation approcher. Meyer appréciait et reconnaissait le travail bien fait, et l’avait prit en affection en observant son ardeur à la tâche. Le jeune homme avait pu se louer une petite chambre pour un prix raisonnable, et il était à présent parfaitement à l’aise. Les us et coutumes des gens de Kutzenbach étaient étranges, mais au final assez conviviaux. Wilfried avait entre autre appris que la ville comptait une religion, mais deux églises distinctes. Les habitants célébraient également une fête presque chaque semaine en l’honneur d’un plat étrange mais pas spécialement mauvais nommé « Schoukhr-Ouhte ». Si l’on omettait ces étranges habitudes, les habitants étaient amicaux et pleins de joie de vivre. Le jeune homme avait également eu l’occasion d’en apprendre plus sur l’histoire profonde de la cité, là où il n’avait jusqu’à présent entendu que des rumeurs. Il avait en fin de compte suivit le même chemin que Xaxi et Gaudis longtemps auparavant. Animés de l’envie de fonder un projet pour tous, où chacun puisse apprendre et s’améliorer dans ses compétences, les deux fondateurs de Kutzenbach avaient longtemps voyagé pour trouver le lieu idéal à leur colossal projet. Chacun des deux associés étaient jeunes et ignorants. Aussi ne prirent-ils pas la peine de décider d’une direction. Le hasard voulut qu’ils partent du côté du Saint Royaume Névain. Se dirigeant toujours au nord-est, ils traversèrent le gigantesque territoire de Nevah, ne manquant pas d’enrichir leurs connaissances auprès d’un des plus grand et réputé répertoire d’architecture de tous les mondes de Minefield. Lors de cette partie du voyage, ils apprirent beaucoup de ce royaume, ne manquant pas d’y ajouter leurs propres idées. L’extrémité de cet immense territoire fut pour eux l’occasion de quelques détours. En effet, à quelques miles au sud se trouvait la célèbre citadelle du Dominion. Bien que cette célèbre alliance soit à présent dissoute et inexistante, la citadelle — merveille d’architecture et de gigantisme — et quelques cités membres avaient survécu. Ils ne manquèrent donc sous aucun prétexte cette occasion unique d’admirer l’une des plus grandes merveille de la région. Ils s’offrirent également un petit voyage vers le nord, où Amateratsu, bien que désertée, resplendissait tel un improbable îlot oriental au milieu de ces contrées emplies de mystères et de magie. À l’issue de ces quelques visites touristiques, ils cherchèrent donc un endroit où s’installer enfin. Après tant d’épuisantes et fastidieuses lieues derrière eux, la motivation ne leur manquait pas. Ils avaient hâte d’en finir au plus vite. Finalement, un petit redressement de leur parcours vers le nord-est leur permit de déboucher sur une vaste plaine bosselée de collines verdoyantes. Aucune ville n’était en vue, et seules se démarquaient au loin les statues de la Porte des Rois, vestiges d’une ancienne et aujourd’hui disparue civilisation orque. Le lieu était bien situé, et idéal. Bien vite, ils s’installèrent et bâtirent de leurs mains ce qui serait la première maison de Kutzenbach, une petite cabane sommaire. D’étranges rumeurs racontent également que quelques semaines plus tard, alors qu’ils entamaient un nouveau bâtiment, une étrange procession de fourmis géantes les était venue à leur rencontre, et leur aurait offert protection… Mais pour l’heure, le jeune Wilfried avait d’autres préoccupations. Il s’appliquait à son travail comme s’il taillait une poupée de verre. Bientôt, s’il était à la hauteur, Meyer le nommerait Trailleur… ————— « Thomas, il faut que tu ailles faire plus de ciment pour l’arche, ils ne peuvent pas s’en occuper eux-mêmes pour le moment. Jim, essaie d’aller voir ce que font tes camarades à la forge. On va bientôt manquer de clous pour la charpente si ça n’arrive pas bientôt. Je suis sûr que tu n’as pas envie que tout s’écroule sur nos têtes. — À vos ordres m’sieur Will ! » C’était le cinquième mois. Peut-être le dernier si le chantier avançait assez, ce qui serait un record. Du coin de l’œil, Wilfried observa les deux hommes qui hochaient la tête d’un air entendu, un peu à l’écart. Depuis le début des travaux, ils se relayaient chaque jour pour en observer le déroulement. Se savoir épié avait beaucoup perturbé le jeune homme les premiers jours. Ils s’y était finalement fait. Il le fallait bien. À l’issue de cet observatoire quotidien, il aurait peut-être la chance de devenir Bâtisseur. Après avoir appris les rudiments des autres métiers de la construction, il avait pu devenir Cataine. À présent, des mois de dur labeur allaient lui ouvrir les portes vers l’étage suivant. Sans plus attendre, il sortit de ses quelques secondes de rêverie et courut aboyer de nouveaux ordres. Plus que quelques poignées de jours… ————— « Wilfried ? » Wilfried regardait inlassablement les copies de ses plans, sans prêter attention au monde extérieur. Ce n’est que lorsque le tapotement retentit à nouveau dans la pièce qu’il s’aperçut enfin qu’on frappait à sa porte. « Entrez ! » Meyer entra, et posa immédiatement les yeux sur les documents épars sur le bureau. « Encore à revoir ces maudits plans ? Je t’ai pourtant dit que tu n’avais pas de soucis à te faire, et que te torturer l’esprit n’y changerais rien. — Je sais monsieur Meyer, pardon. J’ai juste peur d’avoir oublié quelque chose… Ça me traquasse depuis la semaine dernière. — Arrête un peu ces « monsieur Meyer » enfin ! Je ne suis plus ton suppérieur, et en tant qu’amis tu peux bien m’appeler par mon prénom. — Oui, pardon Stephan, l’habitude, rectifia Wilfried avec un petit sourire entendu. » Le visage du vieil homme s’éclaira à cette appellation. Toujours souriant, il prit son jeune ami par l’épaule : « De toute manière, je pense que tu peux arrêter de te préoccuper de tout ça. — Comment ça ? s’enquit le jeune homme, soudain très intéressé. — Tu devrais vite aller te changer : les Omaitr eux-mêmes te demandent aussi vite que possible dans leur bureau ! annonça-t-il avec un grand sourire. » La bouche grande ouverte, et sans trouver de commentaire, le jeune homme fonça enfiler ses plus beaux vêtements tout en échafaudant les théories les plus folles concernant cette soudaine convocation. :air: Il sortit de chez lui au pas de course. ————— Wilfried se gratta la barbe, nerveux. Il patientait tranquillement dans une salle d’attente d’un luxe et d’un goût auquel il n’était pas habitué. Le seul tapis devait valoir plus que le petit appartement qu’il louait depuis les sept années qu’il vivait ici. Et dans quelques minutes, il allait entrer dans le bureau des Omaitr… Près de lui était assis un jeune homme aux vêtements d’une richesse peu commune. Blond, affublé d’une barde de trois jours, il était enveloppé d’une longue cape blanche où se dessinaient d’étranges armories — un blason séparé en trois parties où étaient respectivement représentées un arbre, une fourmi et une bougie. Un petit carnet et une plume dans les mains, il lisait attentivement, écrivant de temps à autre, et ne prêtait pas un seul regard alentours, malgré les regards insistants et curieux de la secrétaire. Dans la pièce voisine, quelques pas retentirent sur le plancher. L’inconnu se leva et glissa le carnet dans une petite sacoche de ceinture avant de se diriger vers la porte. Sa cape vola sous son pas vif, et révéla une tenue d’apparat noire et rouge, ainsi que le cliquetis caractéristique d’une épée. Deux hommes sortirent du bureau, et regardèrent avec étonnement le jeune homme debout devant eux. Wilfried observait la scène avec appréhension et intérêt. « Dom, quelle surprise ! s’exclama l’un des deux hommes. Nous ne t’attendions pas ! Que nous vaut une visite si imprévue de ta part ? — Je venais prendre quelques nouvelles, répliqua Dom, tout sourire en empoignant l’avant-bras de son interlocuteur. Et j’en profite pour renouveler les engagements de la Cité Fourmi de Bel-O-Kube envers Kutzenbach. Un peu en avance, certes, mais j’ai jugé bon de m’en occuper. — Tu as bien fait ! lança l’autre homme avant de se tourner vers Wilfried. Néanmoins...nous attendions ce jeune homme pour nous entretenir avec lui. Tu es Wilfried n’est-ce pas ? — Euh… Oui, c’est bien moi, répondit le jeune homme, rouge jusqu’aux oreilles. — Nous t’attentions avec impatience ! s’exclama-t-il. Mais quel rustre je suis ! Je m’appelle Xaxicouzoulou — mais Xaxi va très bien en règle générale — et voici mon collègue Gaudis. Je pense que tu sais très bien qui nous sommes, il serait inutile de nous attarder là-dessus. Donc… Comme je sais que ton temps est précieux mon cher Dom, je te propose de venir avec notre ami Wilfried dans notre bureau, nous pourrons discuter calmement. Enfin, si votre temps vous le permet, bien sûr, ajouta-t-il en plongeant un regard interrogatif sur le pauvre Wilfried. » Ce dernier se contenta de hocher la tête, un peu dépassé par les évènements. Le dénommé Dom sourit et emboita le pas aux Omaitr. Il avait dit être de Bel-O-Kube, la cité fourmi du sud-ouest… Ce qui ferait de lui le représentant des fameuses fourmis géantes ayant abordé les fondateurs aux prémices de Kutzenbach ! Le Bel-O-Kubien s’assit bien confortablement sur l’un des fauteuils disposés autour d’une petite table. « Bien ! Quelles sont les nouvelles par ici ? Mes fonctions m’ont malgré moi empêché de revenir plus tôt, ce que je regrette, et j’ai donc du retard dans les évènements je présume… Toujours aucun problème avec le Bund ? — Non, et grâce à vous ! Malgré le repaire de malfrats qu’est leur Undercity, la protection que vos mages ont lancé sur la forêt de Ferbo'tenn reste toujours aussi efficace. Toujours rien à signaler ! — Fort bien… Je passerais faire le tour de tous nos postes de garde de la forêt pour annoncer la relève à nos guerrières de la Déferlante. — Tu as dit que tu venais aussi renouveler nos accords ? s’enquit Gaudis. — Tout à fait ! Je viens en tant que Sexué Femelle de Bel-O-Kube en charge de la diplomatie m’assurer que nos accords commerciaux tiennent toujours, afin que je puisse confirmer à la Reine Arthur que nous continuons bien à maintenir le protectorat que nous vous offrons. — Bien entendu ! Du bois, des champignons et du sucre pour les ressources principales comme d’habitude je suppose ? — Tout à fait ! Nos ouvrières seront ravies de pouvoir apprécier de nouveau de la Gorgeraide à flot ! Marché conclu alors, et avec plaisir comme toujours ! J’ai pris la liberté de préparer les papiers pour nous faire gagner du temps, allons à un de vos bureaux. » Tous trois se dirigèrent vers l’une des tables installées dans la pièce, laissant Wilfried seul, assis et n’osant esquisser un geste. En revanche, si l’immobilité ne le quittait pas, il ne cessait de ressasser la conversation qui avait eu lieu devant lui. Ainsi, les rumeurs avaient raison. Le Vampire Bund, ville voisine, était en effet une menace non négligeable pour un peuple d’humains comme celui de Kutzenbach. Certes, leur fameux Stigma limitait les éventuelles attaques, mais elles n’étaient pas non plus impossibles. Xaxi et Gaudis, lors de leur arrivée, étaient loin de se douter qu’un tel peuple était leur voisin. Les fourmis de Bel-O-Kube étaient bel et bien venues à la rencontre de leurs nouveaux voisins, et leur ont offert une protection contre le Bund. Même dans la campagne d’où était originaire Wilfried, la réputation de la terrible Déferlante Noire de Bel-O-Kube et les compétences des mages de la Colonie du Kubnigera avaient fait route et n’étaient pas inconnues pour grand monde… Un accord vénal et amical d’une dangereuse simplicité, mais qui faisait son office depuis bien des années déjà… À l’autre bout de la pièce, les trois hommes discutaient en signant une pile considérables de documents. Ils eurent bientôt finis, et les Omaitr raccompagnèrent leur invité vers la sortie. « Messieurs, ce fut un plaisir ! lança Dom en s’inclinant légèrement. Et promis, j’essaierais de passer vous voir et vous aider plus souvent. Aussi souvent que me le permettront mes postes à Bel-O-Kube et au Kubnigera en tout cas. — Ce sera toujours avec plaisir, sire Fulmen, le remercia Gaudis avec un grand sourire. Notre porte te sera toujours ouverte ! » Le jeune homme inclina respectueusement la tête à chacun des trois hommes de la pièce, et sortit à grands pas, ses bottes claquant contre le plancher. Les deux fondateurs de Kutzenbach se tournèrent vers Wilfried et s’approchèrent. « Bien, c’est enfin à nous ! lança Xaxi. Je peux te servir quelque chose à boire ? » Sans même attendre sa réponse, il prit trois verres, une bouteille, et Wilfried se retrouva bientôt avec un verre empli d’une étrange liqueur en face de lui, posé sur la petite table basse qui trônait entre les fauteuils. « Dis-nous Wilfried, est-ce que tu connais l’histoire d’Ober et Nider ? s’enquit Xaxi. — Bien entendu ! Qui ne la connaît pas ? annonça fièrement le jeune homme, oubliant sa timidité. La volonté que vous aviez de construire une ville pour tous, que les habitants puissent s’enseigner l’un à l’autrre le savoir de leur profession, et que tous aient une chance de monter à la force de leurs bras pour avoir une vie meilleure… C’est votre histoire qui m’a fait venir ici il y a sept ans, et qui m’a fait arriver là où j’en suis ! — Bien, acquiescèrent-ils en cœur. Vois-tu, ajouta l’Omaitr Gaudis, c’est exactement pour cela que nous t’avons fait venir. Tu représentes tout ce que nous souhaitions pour cette cité. En partant de rien, tu es venu et demeuré ici pendant de longues années. Grâce à ton travail studieux, tu as appris les plus obscurs secrets de ton domaine d’expertise, et tu es devenu l’un des meilleurs. — Et parce que tu es l’un des meilleurs, poursuivit son collègue, tu as pu apprendre les rudiments d’autres professions pour t’améliorer et diriger ton équipe, jusqu’à monter encore et encore pour en arriver là où tu es. C’est ton histoire qui représente exactement ce que nous voulions en posant la première pierre de Kutzenbach. Ainsi, nous voulions t’adresser personnellement nos félicitations pour ton remarquable travail… — Oh… Je… Ce n’est pas la peine vous savez, je n’ai fait que… — … et t’annoncer nous-mêmes ta promotion. — Pardon ? — Notre Pada nous a appris qu’il comptait te nommer parmis ses Seil. Vu ton remarquable travail, nous tenions à t’annoncer la bonne nouvelle en personne. À partir de demain, tu deviendras donc l’un des architectes officiels de Kutzenbach ! » Wilfried en resta sans voix. Un rêve. Oui, ce devait être un rêve, il n’y avait pas d’autre explication. Mais, après tout, c’était bien la réputation d’Ober et Nider, les cités jumelles, que de réaliser les rêves…
  17. TheGaudis

    [New-Stendel] Kutzenbach

    Lou007 ou le type qui joue avec nous mais qui ne sais pas qu'on a une section forum ^^
  18. Comme tu le sais déjà, tu es accepté suite aux heures passés ensemble IG !
  19. J'ai remarquer que je me suis fail dans mes coordonées >< Donc le cochon aléatoire -1592 67 -1649 Et le pigeon -1545 72 -1745 Et donc tu peux reprendre les 100 PAs
  20. Bonsoir, Je poste ici pour une demande d'animaux sur Kutzenbach, New-stendel. palefroi blanc : -1534 69 -1648 palefroi noir : -1526 69 -1648 destrier ( qui bois dans les chaudrons ) : -1534 69 -1640 cochon : -1521 69 -1699 cochon deplace aleatoire : -1521 69 -1701 cochon : -1592 67 1649 cochon déplacement aleatoire : -1592 67 -1650 Pigeon gris statique : -1508 73 -1689 Pigeon gris statique : -1545 42 -1745 Vache déplacement aléatoire : -1499 71 -1739 “ Si possible “ Chien aléatoire : -1582 67 -1657 Voilà j'ai payer 500 Pa le 09/12/14 19h15 +- Si vous pouvez faire le chien aléatoire, prévenez moi je payerais 50 Pa supplémentaires. Merci
  21. Notre hiérarchie: Voici un schéma explicatif de notre hiérarchie: Omaitr (Ô maître) : Gaudis - Xaxi. Pada (Padawan) : Personne de confiance élue par les Omaitr. Seil (Conseiller) : Trois conseillers du Pada, élus par ce dernier, donnent des ordres au "Bâtisseurs" et s’occupent de l'économie. Architecte (Construteur) : Bâtisseur actif et expérimenté. Bâtisseur (Constructeur) : Favorise la construction dans la ville. Fournisseur (Farmeur) : Moissonneur actif et expérimenté. Moissonneur (Farmeur) : Favorise la récolte des ressources pour la ville. Bleu (Débutant) : Écoute et progresse. Voici les actuels rang des Kutzenbachois/e Omaitre: TheGaudis Xaxicouzoulou Pada: coco987 Seil: Aucun Architecte: Madgicarp Bâtisseur: xadrow Fournisseur: Aucun Moissonneur: Bleu: opulon1 Venusvitrix Sombrethéo Absent: Wifos Liliona450 Elkior Omnisfere Hugo4731 Balmir Gonzo13700
  22. Pour t'avoir parler IG et jouer avec toi, je dois dire que tu es quelqu'un d’ambitieux et je curieux. C'est donc avec plaisir que je t'accepte au nom de Xaxi aussi ! Bonne continuation nouveau Bleu !
  23. Bonsoir, J'aimerais inscrire Kutzenbach à ce projet ! Et je serais le chef de projet. Merci
  24. Bon excuse moi pour le retard, mais oui bien sur on t'accepte! Tu es quelqu'un de sympa et tu hésite pas à faire les choses que se sois pour toi ou que l'on te le demande, tu as pris quelque bonne initiative et c'est bien comme ça ! Tu remplis notre demande, malgré le nombre incontestable de fautes mais je penses que tu as le droit à ta chance ! bref, bienvenu parmis les Kutzenbachois Cordialement, TheGlaudis ! Wait c'est TheGaudis ! Haha je ne suis pas encore si " Glauque "
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